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En 1938, Guido, jeune homme plein de gaieté, rêve d'ouvrir une librairie, malgré les tracasseries de l'administration fasciste. Il tombe amoureux de Dora, institutrice étouffée par le conformisme familial et l'enlève le jour de ses fiançailles avec un bureaucrate du régime fasciste d'alors. Cinq ans plus tard, Guido et Dora ont un fils: Giosue. Mais les lois raciales sont entrées en vigueur et Guido est juif. Il est alors déporté avec son fils. Par amour pour eux, Dora monte de son plein gré dans le train qui les emmène aux camps de la mort où Guido veut tout faire pour éviter l'horreur à son fils...
On commence le jeu, les retardataires sont éliminés ! Le premier qui obtient un total de 1000 points gagne un véritable char d’assaut. Sacrés veinards. Tous les jours le classement vous sera communiqué par ce haut parleurs là, et chaque jours la personne qui sera classée dernière devra porter la mention « Âne » sur un carton accroché dans le dos.
Nous on joue le rôle des très très méchants qui aboient sans arrêt et qui donnent des ordres en hurlant, ceux qui ont peur perdent des points. Dans trois cas on peut perdre le total des points acquis : premièrement, tous ceux qui se mettent à pleurer, deuxièmement, tous ceux qui demandent à voir leur maman, et tous ceux qui se plaignent d’avoir faim et qui demandent un goûter : aucun goûter !
Et on a vite fait de perdre des points parce qu’on a faim. Pas plus tard qu’hier, j’ai moi-même perdu 40 points parce que j’ai cassé les pieds à tout le monde pendant une heure pour avoir de la marmelade. À la confiture d’abricot. Lui à la fraise. Ah, euh toutes les sucettes sont interdites, c’est pas la peine d’en réclamer on en donne pas, on les mange toutes. Hier, j’en ai mangé une vingtaine. J’ai un de ces mal de ventre. Mais je me suis régalé.
Ça valait le coup. Excusez moi de vous fausser compagnie mais aujourd’hui on joue à cache-cache et si j’y vais pas, je vais m’faire engueuler.
Un film qui ne cesse d'être sur le fil entre drame et comédie, qui parvient à distiller de la beauté, de l'espoir dans l'horreur. C'est fin, c'est tendre, c'est émouvant, c'est magnifiquement réalisé.
Un film bouleversant entre drame et humour. Roberto Benigni livre une performance incroyable que peu d'autres acteurs aurait pu donner. Ce film est autant magnifique, qu'il est tragique. C'est le genre de long métrage qu'il faut absolument avoir vu au moins une fois dans sa vie.
Quel magnifique film ! J'ai adoré cet humour dans ce récit si poignant et triste de notre histoire. La naïveté et la façon dont le père tourne tout en jeu pour le bien de son fils est émouvant. Néanmoins, le message sur les horreurs de l'holocauste est passé.
Quelle figure paternelle livrée ici par Roberto Benigni!
Dans le cinéma des années 90 à nos jours, les figures paternelles sont plus souvent des pères divorcés et/ou absents et qui reviennent dans la vie de leur progéniture que quand ils ont été enlevés et qu'ils vont trucider tous les méchants pour les récupérer.
Ici, c'est juste un homme plein de vie qui va, pour préserver autant que faire se peut, essayer de faire passer la déportation et la vie des camps pour un jeu afin que son fils puisse garder un peu de son innocence.
C'est très bien écrit, le rôle est fait pour Benigni, on sait comment ça va finir mais on sourit tout de même devant les pitreries de Guido, le sourire de son fils et la complicité entre les deux... sans oublier l'amour de Guido pour sa femme qu'il arrive à soutenir aussi.
Un très beau film, un classique ! Comment protéger ses enfants en leur faisant croire à une réalité qui n'existe pas, mais qui pourrait très bien être cohérente avec ce que l'on voit... Ce papa protège son fils en faisant passer des faits de guerre par de la comédie, à voir et à revoir...
se film, comment le décrire, touchant envers la thématique des lieux Spoiler(cliquez pour révéler)oui je parle des camps d'extermination et de concentrations et de beauté de l'histoire du père qui fais croire que c'est un jeux. juste magnifique.
Réussir à faire une comédie sur le thème de la Shoah est en soit une gageure. C'est l'impossible pari pourtant réussi de Roberto Benigni. De belles trouvailles d'inventions comiques et de poésie. Le titre ne ment pas, effectivement le personnage principal met tout en œuvre pour trouver en toutes circonstances que la vie est belle au yeux de son fils. Et cela aux heures les plus sombres de notre histoire contemporaine. C'est vraiment un très très beau film à voir absolument.
Synopsis
En 1938, Guido, jeune homme plein de gaieté, rêve d'ouvrir une librairie, malgré les tracasseries de l'administration fasciste. Il tombe amoureux de Dora, institutrice étouffée par le conformisme familial et l'enlève le jour de ses fiançailles avec un bureaucrate du régime fasciste d'alors. Cinq ans plus tard, Guido et Dora ont un fils: Giosue. Mais les lois raciales sont entrées en vigueur et Guido est juif. Il est alors déporté avec son fils. Par amour pour eux, Dora monte de son plein gré dans le train qui les emmène aux camps de la mort où Guido veut tout faire pour éviter l'horreur à son fils...
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