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Après la mort du Pape, le Conclave se réunit afin d’élire son successeur. Plusieurs votes sont nécessaires avant que ne s’élève la fumée blanche. Enfin, un cardinal est élu ! Mais les fidèles massés sur la place Saint-Pierre attendent en vain l’apparition au balcon du nouveau souverain pontife. Ce dernier ne semble pas prêt à supporter le poids d’une telle responsabilité. Angoisse ? Dépression ? Peur de ne pas se sentir à la hauteur ? Le monde entier est bientôt en proie à l’inquiétude tandis qu’au Vatican, on cherche des solutions pour surmonter la crise…
L'idée était originale et avec Michel Piccoli, ça annonçait du bon et au final, c'est assez mitigé tellement le film s'est perdu en route. Tout commençait bien, ça montrait les coulisses de l'élection papale, on voyait bien le déroulement et ce qu'en pensait chacun des cardinaux et d'un coup, le choix final, l'élection de cet homme qui n'arrive pas à se faire à l'idée et à la charge qui lui est confiée... Trop pour un homme simple, une histoire qu'il aurait été excellente à suivre si elle s'était focalisée uniquement sur lui, ne se perdait pas sur les autres personnages, le psy, les gardes et les cardinaux... Manque de chance, ça remplit tant que ça peut les blancs au lieu de dérouler les angoisses de son personnage et en tant que spectateur, je me suis vite ennuyé de ces à-côté qui perdent son personnage dans un ensemble pas terrible.
Un film qui passe mais je m'attendais clairement à mieux.
La mise en scène mettait bien en relief la grandeur du Vatican, le côté cérémonial, avec beaucoup d’humour derrière et de dérision.
Et puis la base, cet homme nommé pape qui n’y arrive pas, on fait venir un psy, tout le monde regarde, c’est drôle, c’est décalé, c’est très bon.
Et puis là, ça part en sucette.
D’un côté, on a l’errance d’un homme – qui n’a d’intérêt que parce qu’on SAIT qu’il est pape mais ça n’a aucune incidence, il aurait été veuf, licencié brusquement, échappé d’une maison de retraite, ça aurait été absolument pareil.
De l’autre côté, on a l’histoire assez bancale d’un psy confiné qui fait centre aéré avec des cardinaux…
Bref, le doute du début n’est pas exploité, pas de dénonciation, de magnificence dans la redécouverte de la foi, rien.
Bien joué, correctement filmé, drôle, mais pas très intéressant.
Je ne sais pas trop quoi penser de ce film. Le scénario de base est sympa, plutôt pas mal exploité, mais pour moi il manque un petit quelque chose pour que cela devienne un bon film. Un rythme un peu lent et un fin qui semble expédiée m'empêche de le mettre en liste de bronze. Je ne reverrai pas ce film.
Moretti nous invite au Vatican, au moment du conclave. Vu de l'intérieur, l'élection du nouveau pape donne des scènes très intéressantes, Piccoli y trouve un rôle très fort. Le reste devient un peu longuet. Moitié historique, moitié psychologique, un film en demi-teinte.
En gros, c’est l’histoire d’un cardinal fraîchement élu (Michel Piccoli) qui ne veut pas être pape. Nanny Moretti transforme ce sujet profond en farce. Il fallait le faire. Entre deux scènes creuses de cardinaux jouant aux cartes et trois épisodes loufoques, on s’ennuie. On touche le fond avec cette ridicule partie de volley dans la cour du Vatican entre les cardinaux (moyenne d’âge 80 ballets). Moretty dans le rôle du psy joue les arbitres, pendant que le nouveau pape erre dans les rues de Rome. À ne pas voir.
Synopsis
Après la mort du Pape, le Conclave se réunit afin d’élire son successeur. Plusieurs votes sont nécessaires avant que ne s’élève la fumée blanche. Enfin, un cardinal est élu ! Mais les fidèles massés sur la place Saint-Pierre attendent en vain l’apparition au balcon du nouveau souverain pontife. Ce dernier ne semble pas prêt à supporter le poids d’une telle responsabilité. Angoisse ? Dépression ? Peur de ne pas se sentir à la hauteur ? Le monde entier est bientôt en proie à l’inquiétude tandis qu’au Vatican, on cherche des solutions pour surmonter la crise…
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