Commentaires de films faits par Gallearde
Répliques de films par Gallearde
Commentaires de films appréciés par Gallearde
Répliques de films appréciées par Gallearde
Et puis, il y a eu une sorte de brume rouge qui m'a enveloppée. Alors heu...
Carly : tu sais, quand je t'ai dit : mets un peu d'ordre dans ta vie.
Kate : oui.
Carly : hé ben, j'appelle pas ça un peu d'ordre mais j'appelle ça déclarer la guerre !
Carly : comment vous connaissez mon adresse ?
Kate : on vous a suivi ! Mais je voulais pas débarquer les mains vide alors j'ai apporté à manger...
Carly ironique : ouais ! C'est comme un rêve qui deviendrait réalité !
Kate : ne l'écoutez pas. Ignorez-la ! Elle essaie de résoudre des soucis affectifs en ce moment, elle a... elle a des problèmes ! Mais votre parfum est fantastique. Qu'est-ce que sais ?
Amber : c'est mon odeur quand je transpire...
Ernie : c'est justement le poisson qu'on cherchait.
Bernie : yé man ! Le boss veut te voir tous de suite, man !
Oscar : Ernie ! Bernie ! Mes frères en gélatines... Bou-ya-ga. Comment ça va les refrès ? Ça fait plaisir de vous voir, Hein ? qu'est-ce que tu dis Angie ? Ah ! Mes frères, je suis désolé, Il faut que j'y aille mais heu... [Chante]
Bernie où Ernie : Arrête de massacrer Bob Marley, man !
[Les frères méduses qui interpelle Oscar à la station de lavage des cétacés]
Requin 2 : mon oncle Vito s'est fait massacrer par un dauphin.
[À la réunion des pourparlers mafieuse des requins face au poisson Oscar]
Roger : Anita vous a annoncé la nouvelle. Elle va être maman.
Cruella désabusé : qu'est-ce qu'il raconte. C'est vrai ?
Anita contente : oui.
Cruella : oh non ! Pauvre chérie, mes sincères condoléances.
Anita : mais nous sommes enchantés ma chère Cruella.
Cruella : vous n'êtes pas sérieuse ?
Roger sec : elle est très sérieuse !
Cruella : à la bonheur, j'ai donc rien à dire. Chacun sa croix à porter.
Roger : on va même avoir des chiots.
Cruella : même des chiots ! Hé bien, vous n'avez pas chômé mon garçon... ma foi, j'admets qu'il s'agit là d'une bien meilleure nouvelle car j'adore les bébés chiens... J'attends que votre travail s'en ressente.
Anita : Oh non, je ne crois pas...
Cruella : prévenez-moi quand l'heureux événement aura eu lieu.
Anita : oh mais il reste encore huit mois à attendre.
Cruella : je parle des petits chiens, chérie ! Que voulez-vous que je fasse d'un bébé, voyons !
Barry : qu'est-ce que tu voulais me montrer ?
Vanessa : Ça.
Barry : qu'est-ce qui c'est passé ?
Vanessa : et ça, ce n'est rien à côté du reste.
Barry: non. C'est pas vrai. Tout meurt...
Vanessa : c'est pas jolie jolie, hein ?
Barry : non.
Vanessa : et qui est responsable d'après toi ?
Barry : au hasard, je dirais les abeilles.
Vanessa : les abeilles ?
Barry : particulièrement moi. J'ai pas pensé que si les abeilles arrêtait de faire du miel, ça aurait un effet négatif sur tout ça.
Vanessa : et pas seulement sur les fleurs. Les fruits, les légumes... Rien existe sans les abeilles. ••• donc tu supprimes le produit, cela affect le règne animal dans son ensemble, et par voie de conséquence...
Barry : l'espèce humaine... Alors sans la pollinisation, tout risque de partir en sucette, c'est ça ?
Vanessa : et je sais que c'est aussi en partie ma faute.
Nicolaï :
Hé ! Camarade. Approche. ••• Qui est tu ?
Naydenov :
Sergent Naydenov. Mécanicien conducteur de la deuxième compagnie.
Nicolaï :
Et qu'est-ce que tu faisais là ?
Naydenov :
Ce char là... c'est un panther qui l'a bousillé. Il était en embuscade.
Nicolaï :
Comment tu le sais ?
Naydenov :
Parce qu'il me l'a raconté.
Nicolaï :
Qui te l'a raconté ?
Naydenov :
Le char. Ce char là !
Nicolaï :
Et celui-là... Ce Tank, il t'a aussi raconté quelque chose ?
Naydenov : (observe le Tank HS)
C'est un Tigre qui l'a touché. C'est celui qui m'a eu moi aussi. Le Tigre Blanc !
Nicolaï :
C'est bon soldat. Traîne pas là, rejoind le convoi... Tu le connais ?
Camarade inférieur :
Oui ! C'est un excellent mécanicien. Seulement, depuis l'hôpital, sa mémoire c'est détraqué.
Nicolaï :
Faut voir qu'ils envoient au front maintenant ! Ce type là, c'est à l'asile qui devrait être et pas au front...
Camarade inférieur :
Tu sais Nicolaï, le Tigre Blanc, j'en ai entendu parler. Ce serait comme un fantôme à ce qu'il paraît.
Nicolaï :
Des foutaise ! Écoute pas toute ces conneries.
-
Naydenov :
le Tigre Blanc...
Camarade Colonel :
Quoi, le Tigre Blanc ?
Naydenov :
Il n'a pas coulé. Il est là-bas...
Chericov :
Comment ? Il a survolé le marais en déployant ses ailes ?
Camarade Colonel :
Attends, Sharicov. Pourquoi pensez-vous qu'il n'a pas coulé ?
Naydenov :
Il est parti. Il se prépare. Il attend.
Camarade Colonel :
Quoi. Qu'est-ce qu'il attend ?
Naydenov :
Qu'ont passent à l'offensive.
Camarade Colonel :
C'est le Dieu des chars qui te l'a dit ?
Naydenov :
Ouais !
Camarade Colonel :
Ce fameux Dieu, où il est ?
Naydenov :
Son royaume est là-haut, dans les nuages. Il possède un trône au milieu du ciel. Il siège parmi tout les chars qui ont péris au combat.
Camarade Colonel :
Et... Le Dieu des Chars, il ressemble à quoi ?
Naydenov :
Il porte une combinaison. Un casque de conducteur. Il a un T-34, tout en or. Quand il s'assoit dedans, il y a des éclairs dans tout le ciel et le tonerre se met à gronder.
-
Le tonnerre gronde brusquement...
-
Vous entendez ?
-
Un éclair jaillit dans le ciel. Le tonnerre gronde. Camarade Colonel observe...
-
Camarade Colonel :
Ton Dieu t'aide pendant les combats, c'est sa ?
Naydenov :
Oui. Il m'aide. J'entends les chars murmurer. Tout les chars parlent. Personne ne les entend, moi si. Je les écoutes. Quand un obus se dirige sur eux, ils me préviennent et je m'écarte de leurs trajectoires. Je survis grâce à eux. Ils me protègent. Ils veulent que je détruise le Tigre Blanc. Qu'il brûle ! Que je les venge.
Frankenstein : C'est la journée de l'euthanasie à l'hospice. Ils l'ont chaque année.
- Je pourrai faire cela toute la journée ''
- Wanda Maximoff et Captain Carter
Jack : ma nature ?
Père-Noël : si l'homme de la lune t'a choisi pour être gardien, tu dois avoir quelque chose d'exceptionnel au fond de toi...
Après un tant de réflexion, Père-Noël se saisit d'une poupée russe à son effigie.
Tiens ! C'est comme ça que tu me vois, non ? Très grand, un peu intimidant. Mais quand on apprend à me connaître... Tiens. Regarde ?
Jack regarde la plus grosse poupée russe à L'expression neutre. Il déboite les poupées russes à chaque expression de leur émotion pendant la conversation...
Jack : tu es plutôt jovial.
Père-Noël : mais pas seulement jovial. •••
Mystérieux aussi. •••
Et impétueux •••
Et sensible •••
Et au fond de moi, il y a •••
Jack : il y a un petit bébé en bois.
Père-Noël : regarde mieux. Qu'est-ce que tu vois ?
Jack : tu as de grands yeux.
Père-Noël : oui ! C'est ça. Des yeux immenses, grand ouvert, parce qu'ils sont toujours émerveillés de ce qu'ils voient. C'est ça, ma vraie nature. Je suis venu au monde avec des yeux qui voient d'abord de ce qu'y a de merveilleux dans toutes choses. Des yeux qui voient des lumières dans les arbres, de la magie dans l'air. Cet émerveillement, c'est ça que j'apporte au monde. Et, c'est aussi ce que je protège chez les enfants. C'est ça qui fait de moi un gardien. C'est ça ma vraie nature. Quelle est la tienne ?
Jack : je sais pas...
Bunny : nous, peur de toi ? Tu ne fais plus peur à personne depuis le Moyen-Âge.
Croque-mitaine : le Moyen-Âge... Tous ces gens qui vivaient dans la misère. La terreur. Comme j'étais heureux alors. Quel pouvoir j'exerçais ! Et puis, l'homme de la lune vous a choisis pour remplacer la peur que j'inspirais par votre émerveillement et vos lumières. Apporter du bonheur aux enfants et leur redonner de l'espoir. Et on m'a banni, oublié comme un mauvais rêve. " N'ayez pas peur. Le croque-mitaine ? Il n'existe pas voyons ! " tout cela va bientôt changer. [•••] Regardez ? Ça a déjà commencé. Les enfants se réveillent et ils constatent que la fée n'est pas passée. Ce n'est pas grand-chose, mais pour un enfant...
Ils ne t'ont pas prévenu Jack ? C'est formidable d'être un gardien, mais il y a un hic. Quand suffisamment d'enfants ne croiront plus à tout ce que défendent tes amis : l'émerveillement, les espoirs, les rêves... Tout cela disparaîtra ! Et, au bout du compte, eux aussi... Pas de Noël, pas de Pâques, ni de petites fées qui viennent la nuit. Il ne restera plus rien de tout cela. Juste que la peur ! les ténèbres ! Et moi... C'est à votre tour de sombrer dans l'oubli.
Mlle Kyoko traduit : c'est son œuvre personnel.
Robin : ... Vous griffonnez une tête et Boom, tout les gamins de la planète en veulent.
Nakasumi-san : Ne dites pas à mes actionnaires que c'est aussi facile. Ils me retireraient mon jet privé.
Robin : là, je vous comprends... Attendez ! Vous parlez français ?
Nakasumi-san : Assez couramment. Mais j'aime chuchoter à l'oreille de ma secrétaire.
Mlle Kyoko : Nakasumi-san est un peu, comment dites-vous... Allumé !
Curé : Et vous faites comment ?
Al : et ben... Je me concentre mieux sur ma prière, c'est tout.
Curé : soyez heureux que ça marche. Vous comprenez ce que je vous dis ?
Al : de quoi vous parlez ?
Curé : vous savez ce que je peux ressentir quand je suis devant ces femmes, qui sont alignées, à genoux, toutes à mes pieds la bouche ouverte, qui me présentent leurs langues et qui me regardent en faisant " Ha " !
Al : Et vous faites quoi ?
Curé : je me concentre sur mes prières...
Al : c'est scandaleux mon père. Comment vous pouvez penser à des trucs aussi dégueus à ces pauvres filles qui viennent à vous pour chercher un peu d'espoir, et que vous allez vous imaginer devant une rangée de suceuses. Vous êtes un gros dégueulasse !
Curé : oubliez jamais que je suis qu'un homme. Les curés aussi ont une queue.
Al: oooh... T'ira brûler en enfer toi.
Curé : comme vous ! Ni plus ni moins mon fils.
Al : tu m'écoeures. Je déteste les faibles ! Tu me déçois beaucoup mec... - deux enfants passent devant eux - Tu touches pas aux gamins ! D'accord ?
Je voulais pas te faire mal ou faire couler ton sang
Tu as souffert d'injustice comme tant d'autres taureaux
Je veux te demander pardon
Écoute mes sanglots
Je suis désolé
Taureau, je suis désolé
Entends moi, je dis la vérité
Nous sommes faits pour le combat
Mais ce soir arrêtes-toi pour une fois
Si tu peux pardonner
L'amour peut gagner "
Chanson de Manolo pour apaiser le taureau
Electra
Gabi, la Grenouille prête à empoisonner Blu et Perla dans leurs sommeil.
Linda qui apparaît en dépit d'elle-même sur un char, au milieu de la parade carnavalesque de Rio. J'adore son expression de surprise...
Charles Killian à Jimbo étant adolescent, interné dans un hôpital psychiatrique.
Carly : quoi ! T'as couché avec ton mari ?
Kate : non. Il ne fait pas encore nuit dehors