Jean Becker
Réalisateur
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Quelques chiffres
Note moyenne : 7.27/10Nombre d'évaluations : 245
0 Citations 69 Commentaires sur ses films
Les derniers commentaires sur ses films
Un film passable, un peu drôle, avec des personnages émouvants.
Afficher en entierUn film bien tenu par Auteuil et Darroussin mais qui m'a laissé tout le long du visionnage et encore après, une impression de manque dans la relation entre les deux, même si leur amitié retrouvée est sympathique à suivre.
Jean-Pierre Darroussin est un acteur vraiment agréable à suivre dans chacun de ses films et celui-là lui donne encore matière à travailler les émotions de son personnage.
Encore un film de Becker que j'ai apprécié.
Afficher en entierLe génies d'acteurs pour un ode à la finesse, pour faire revivre en nous l'homme bléssé en chacun de nous, dans nos "têtes en friches".
Afficher en entierJ'ai l'impression d'avoir perdu le Jean Becker qui avait réussi à m'émouvoir dans "Les enfants du marais" ou "Effroyables jardins".
Non que le film ne soit pas bien, Patrick Chesnais en artiste qui en a marre de sa réussite et Jeanne Lambert en jeune femme qui a une situation familiale difficile, ça a ses bons moments et une fin qui émeut (un peu) mais je n'ai pas été attiré plus que ça par l'histoire
Afficher en entierUne petite comédie agréable à voir, avec de très bon acteurs qui jouent très bien. À voir
Afficher en entierUne bonne comédie, pleine d'humour dans une chouette histoire.
Afficher en entierL'interprétation d'Albert Dupontel est éblouissante. Une vision viscérale sans concession.
Afficher en entierJ'aime le cinéma de Jean Becker, c'est presque toujours un chef d’œuvre quand j'en vois un mais alors là, c'est de tout ceux que j'ai vu, mon préféré, avec Les enfants du marais.
Quand on dit que les grands acteurs français sont morts, ce n'est pas vrai et Dupontel le prouve souvent et clairement dans ce film.
Il a réussi à rendre son personnage imbuvable, clairement détestable au début mais en nous donnant tout de même envie de savoir pourquoi il est comme ça. Il sait déballer des vérités qu'on cache habituellement avec une sincérité et une réalité appréciable, avec une humanité qu'on ne voit nul part ailleurs.
Et avec Marie-Josée Croze et Pierre Vaneck pour donner encore plus de profondeur au personnage d'Antoine, on frise le parfait.
C'est un bijou d'écriture, brillamment interprété, terriblement humain, le tout avec la beauté des paysages et surtout les chansons bien choisies, surtout celle de fin.
Une magnifique découverte de la filmographie de Jean Becker.
Afficher en entierTrès bien joué ! Une histoire touchante
Afficher en entierJe me souviens peu de l'intrigue de ce film, mais je me souviens de ce que j'ai ressenti, et j'avais beaucoup aimé le jeu d'acteurs de Souchon et Adjani ! C'est un couple particulier mais qui fonctionne à l'écran !
Afficher en entierLes gens aiment aussi
Dédicaces de Jean Becker
et autres évènements
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Studios
Les Films Christian Fechner : 3 films
StudioCanal : 3 films
Rhône-Alpes Cinéma : 2 films
K.J.B. Production : 2 films
Apollo Films : 1 film
TF1 Films Production : 1 film
SND : 1 film
Sud-Pacifique Films : 1 film
Biographie
Jean Becker est un réalisateur et scénariste français, né le 10 mai 1933 à Paris.
Fils du réalisateur Jacques Becker, il est le frère d’Étienne Becker et de Sophie Becker (épouse de Pierre Vaneck). Jean Becker commence sa carrière en tant que stagiaire dans le film de son père, Touchez pas au grisbi en 1953, film qui contribue à relancer la carrière de Jean Gabin. Il reste assistant-réalisateur des films de Jacques Becker pour Montparnasse 19 (1958) et Le Trou (1959). Il est aussi assistant-réalisateur pour Julien Duvivier et Henri Verneuil.
Son père meurt juste après avoir fini Le Trou, et Jean Becker se lance dans l’aventure de la réalisation avec Un nommé La Rocca avec Jean-Paul Belmondo (1961), qu’il emploiera dans Échappement libre et Tendre Voyou. Ces films obtiendront des succès commerciaux.
Après avoir réalisé les épisodes de la série télévisée à succès Les Saintes chéries et Pas de caviar pour tante Olga, incursion inattendue dans le comique farfelu, il fait une pause de près de vingt ans avant de revenir derrière la caméra pour réaliser L’Été meurtrier avec Isabelle Adjani et Alain Souchon (1983).
Le film obtient un énorme succès et est nommé au Festival de Cannes pour la palme d’or et aux Césars.
En 1986, Jean Becker obtient le César du meilleur film publicitaire pour Le Clemenceau.
Depuis le succès public et critique d’Élisa avec Vanessa Paradis et Gérard Depardieu, Becker tourne régulièrement avec les mêmes acteurs, entre autres, Jacques Villeret, Suzanne Flon et André Dussollier pour les succès Les Enfants du marais (avec Michel Serrault), Un crime au Paradis (avec Josiane Balasko), inspiré du film La Poison de Sacha Guitry, et Effroyables jardins (avec Thierry Lhermitte et Benoît Magimel) d’après le livre éponyme de Michel Quint.
Il a fait tourner Daniel Auteuil et Jean-Pierre Darroussin dans Dialogue avec mon jardinier, sorti en 2007. Puis c’est au tour d’Albert Dupontel de tenir le rôle principal de Deux jours à tuer où il partage l’affiche avec Marie-Josée Croze et Pierre Vaneck.
En septembre 2009, il tourne La Tête en friche, dans sa patrie de Charente-Maritime, avec Gérard Depardieu et Gisèle Casadesus.
Une constante dans ses films est de montrer une France non-parisienne, qu'elle soit France des petites villes, rurale ou maritime.
Il est le président d'honneur d'Un réalisateur dans la ville, en 2010 à Nîmes, festival parrainé par Carole Bouquet et Gérard Depardieu.
Il est le grand-oncle d'Aurélie Vaneck et de Thibaud Vaneck
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