- Votre démarche, je dois l'expliquer à des militaires dont l'unique question est :
"Ça peut être utilisé contre nous ?"
Alors donnez-moi des munitions.
- Kangourou.
- Mais encore ?
- En 1770, le navire du capitaine Cook s'échoue près de l'Australie.
Lors d'une expédition, il rencontre les Aborigènes.
Un marin montre les animaux qui sautent et portent leurs petits dans une poche.
Il demande leur nom, les Aborigènes disent "kangourou".
- Et donc ?
- Plus tard, ils apprirent que "kangourou" signifie "je ne comprends pas".
Je procède ainsi pour éviter des contresens, sinon, ce sera 10 fois plus long.
- Je peux vendre ça pour l'instant. Mais montrez-moi les mots avant la prochaine session.
- Bien.
- Souvenez-vous du sort des Aborigènes.
Une race plus avancée les a presque anéantis.
- C'est une bonne histoire.
- Merci. Elle n'est pas vraie. Mais elle étaye mon propos.

Voyager,
c'est découvrir de nouvelles choses.
Et repousser ses limites.
Mon but cette année : voyager plus.
On se limite trop si on ne voit pas le monde de ses propres yeux.
Vous savez ce qu'on dit :
"Le monde est un livre.
Ceux qui ne voyagent pas n'en lisent qu'une page."
Pourquoi se limiter ?
Voyager m'a fait réaliser à quel point je n'avais rien vu.
La Thaïlande a une histoire super riche.
Je suis en paix ici.
J'adore m'imprégner de cette culture et partir à la découverte de l'Asie telle qu'on doit la découvrir.
Loin de notre zone de confort.
C'est à couper le souffle.
Pour que l'aventure vienne à vous, laissez-vous emporter par ce que l'univers vous donne.
Je vis vraiment la Thaïlande.



<< Je viens de descendre mon troisième rhum-coca.
Je vais passer la nuit ici. >>




Abandonnez-vous à l'instant présent, et vous découvrirez que cela vous suffit.
Il y a une certaine liberté à ignorer de quoi demain sera fait.
Il y a tellement de gens incroyables vivant l'instant présent.
Faites-vous de nouveaux amis partout dans le monde.
Ils voient les choses différemment.
La différence avec les Etats-Unis est flagrante.
Et j'adore m'en imprégner.
Il me reste plus que quelques jours pour m'immerger dans cet univers.
Bisous à tous.

_ J'avais pourtant tant attendu le moment où on s’entre-tuerait...

_ Je suis si heureux que ça n'en soit pas arrivé là.
Nanatchy, relève donc la tête, veux-tu ?
Je souhaite du fond du coeur que tout au long de votre route, vous soyez inondés de malédictions et bénédictions.

_ Boucle-la.

_ J'avais bien raison, tu es si adorable...

Il y a un pré
dans mon univers idéal
où le vent fait danser
les branches d'un arbre
et projette des taches léopard
à la surface d'un étang.
L'arbre se dresse immense,
majestueux et solitaire,
tout en ombrageant le monde
qui domine.


Et c'est là,
dans le berceau de ce qui m'est cher,
que je garde mes souvenirs de toi.
Quand je serai figée
dans la boue du réel,
loin de tes yeux aimants,
je retournerai dans cet endroit,
fermerai les miens,
et trouverai du réconfort
dans le simple fait de te connaître.

_ ET !

_ Elliott !

_ ET !

_ Elliott !

_ ET !

_ Elliott !

_ Sacrifier une vie en sauvera des millions.

_ Vous devez aimer ceux qui vous ont aidé et aider ceux que vous aimez. C'est un proverbe de Peggotty.

"On dit
que le monde est un théâtre
Où on a tous un rôle à jouer
Alors je me lance sans peur
Et avec cœur
Je lance mes répliques
Je m'applique
Entre spots et lampes
Pour donner
sous tous les feux de la rampe
un putain de...
show !


Y a des choses dans la vie
Dont on n'a pas le contrôle
Numérotez vos abatis
Je suis née pour ce rôle
Je me démènerai avant de clamser
La Terre vaut encore d’être sauvée


Mlle Shepherd, vous n'comprenez rien
La messe est dite
pour l'extermination des humains
L'humanité est déconfite
Notre histoire touche à sa fin
Le décor prend feu, crépite
Alors amusons-nous bien


Levez le rideau
Éteignez à mon signal
Jouez, maestro
Pour le bouquet final
Si je dois tirer mon chapeau
Autant faire un putain de show


Vous êtes une bécasse sans cervelle
Et vous un pauvre taré
La vérité doit être dure à avaler
Pauvre vieux, vous délirez
Je vois surtout ce qui m'a aveuglé
Je n'ai jamais ressenti
un tel enchantement
Comment trouvez-vous ceci
divertissant ?


Levez le rideau
Éteignez à mon signal
Jouez, maestro
Pour le bouquet final
Si je dois tirer mon chapeau
Je dois y aller tout de go
Et faire...
un putain de show
Un putain de show
Un putain de show"

" Devant mon écran, tel un vice
Éclairé par un néon blafard
Perdu dans la matrice
Et sans échappatoire
Nous sommes devenus technologie
Monde binaire et code ASCII
Il reste quoi de ma vie ?


Notre heure est-elle arrivée ?
Combien de secondes
doivent s'égrainer ?
Je veux juste communiquer


Pas avec une voix synthétique
Quelque chose à quoi m'accrocher
À travers ce bruit électrique
Quelqu'un à qui parler


Des aiguilles me picotent
partout sur la peau
À gauche comme à droite
j'suis dans un étau
Dans cette atmosphère, j'empire
Je refuse de mourir
Aidez-moi à m'en sortir


Comment échapper à cette torpeur ?
Et raviver nos couleurs ?
Respirer un air meilleur ?


Je veux pas d'une voix synthétique
Quelque chose à quoi m'accrocher
À travers ce bruit électrique
Quelqu'un à qui parler


La tête posée
Sur mon oreiller
J'me remets à prier
Que par une belle journée
On puisse reparler
comme par le passé


J'entends que ça gronde
Quelque part sur les ondes
Ça semble si réel


Je veux pas d'une voix synthétique
Une voix synthétique...
Quelque chose à quoi m'accrocher
À quoi m'accrocher...
À travers ce bruit électrique
Ce bruit électrique...
Quelqu'un à qui parler
À qui parler...
La tête posée
Sur mon oreiller
j'me remets à prier
Que par une belle journée
On puisse reparler
comme par le passé


Mille peurs peuvent nous prendre
Dans ce capharnaüm


Alors que je ne veux qu'entendre
La voix d'un homme
La voix d'un homme"

"Nouvelle matinée
Y a quelque chose de différent
Première clarté
Et ça fait un moment que j'attends
Belle envolée
Mes pieds ne touchent plus terre
Je suis prête
À donner à ma vie un nouvel air
Enfin réveillée
J'ai joué la morte trop longtemps
Toute secouée
La déprime, c'est trop lassant
J'peux pas m'laisser
Écraser comme ça
Je suis prête
À donner à ma vie un nouvel air


Le jour vient de paraître
Et je plane à 10 000 mètres
À 10 000 mètres
Je plane à 10 000 mètres
Je plane à 10 000 mètres
Quelle belle journée !


Ciel dégagé
Dans les rues, pas un chat
J'me sens plus léger
Je ne ressens plus d'effroi
J'me suis rapproché
Du nouveau monde auquel j'adhère
Je suis prêt
À donner à ma vie un nouvel air


Le jour vient de paraître
Et je plane à 10 000 mètres
À 10 000 mètres
Je plane à 10 000 mètres
À 10 000 mètres


On se tue à me dire
comment je dois vivre
Mais je refuse d'écouter
J'ai tellement à donner
Je suis prêt, prêt, prêt
Je suis prêt, prêt, prêt
Je suis prêt, prêt, prêt
Je suis prête, prête, prête
Je suis prête, prête, prête
Je suis prête, prête, prête
Je suis prêt, prêt, prêt
Je suis prêt...


Quelle joie d’être en vie
Oublie tous tes soucis
Quelle joie d’être en vie
Oublie tous tes soucis
Vis aujourd'hui
Car demain, ce sera peut-être fini
La lumière de la ville nous éblouit
Dans nos cœurs, c'est l'incendie



Je plane à 10 000 mètres
Quelle belle journée !


Le jour vient de paraître
Et je plane à 10 000 mètres
À 10 000 mètres
À 10 000 mètres
À 10 000 mètres
Quelle belle journée !"

"Les happy ends, ça n'existe pas
Les happy ends, ça n'existe pas
Les happy ends, ça n'existe pas
Les happy ends, ça n'existe pas


Je ne suis pas dans un Disney, là
Je perds la boule
Je pers le fil
Je suis pas McConaughey
Qu'a les filles pour lui
À qui tout sourit
Si c'était du ciné,
peut-être qu'elle voudrait
Entrer dans ma galaxie
J'ai enfin compris
que les gentils
Repartent pas toujours avec la fille


Car personne n'explique aux gamins
Que l'amour, c'est pas les films,
les chansons, les bouquins
On vit dans un mensonge sans fin
Marre de tout ce cinéma
Les happy ends, ça n'existe pas
Les happy ends, ça n'existe pas
Les happy ends, ça n'existe pas


Ne vous y trompez pas
Moi, mon cœur bat
J'leur laisse le bla-bla
J'en fais pas grand cas
Tuer, s'marier, niquer
Rien à branler
Je suis pas un pion
qu'attend son action
Ni une princesse en robe immaculée
Qu'attend une belle opportunité
J'veux pas m'en soucier
Rien à solutionner
Je veux juste m'amuser


Car personne n'explique aux gamins
Que l'amour, c'est pas les films,
les chansons, les bouquins
On vit dans un mensonge sans fin
Marre de tout ce cinéma
Les happy ends, ça n'existe pas


Mon âme sœur est juste à côté
Je prie le Ciel
que ce soit un succès
Et si c'était bien là
notre destinée ?
Je veux un amour tout sauf éphémère
Il est devant toi
Je suis suspendue dans les airs
Je ne disparaîtrai pas
Ô happy end, ma bannière


Les happy ends, ça n'existe pas
Les happy ends, ça n'existe pas
Les happy ends, ça n'existe pas
Car personne n'explique aux gamins
Ô happy end, ma bannière
Que l'amour, c'est pas les films,
les chansons, les bouquins
Je suis suspendue dans les airs
On vit dans un mensonge sans fin
Marre de tout ce cinéma
Les happy ends, ça n'existe pas
Ce n'est pas
L'histoire dont on rêvait
Dans laquelle on avait
tout ce qu'on voulait
Alors arrêtons notre cinéma
Les happy ends...
Les happy ends...
Les happy ends...
...ça n'existe pas"

"À moitié morte je me suis réveillée
dans mon vieux lit
Le jour vient de se lever
Comme un boulet
je traîne cette ville pourrie
Et je sais que j'dois me barrer


Il y a un monde hors d'ici
Pourquoi en faire fi?
Les autres sont-ils égarés
au milieu d'une partie ?
Ils ne voient pas la moitié
de ce que je veux exprimer
Et je sais que j'dois me barrer


J'ai menti et triché
Je me suis voilé la face
Au lieu de lever les poings
J'ai couru me cacher
J'ai foncé dans le mur
Enfermé mon cœur dans une armure
Mais je refuse que ma vie
soit ainsi jouée


Coincé sur le pont
Prêt à décoller
Je dois apprendre à voler
Un jour, pour de bon
On enverra tout valser
On doit tous se barrer


C'est trop galère de se cacher
Quand en nous la vérité
Gonfle comme une vague inexorable
Ça ne tourne plus rond
Depuis un temps bien trop long
Et je sais que j'dois me barrer


Je mens, je triche ?
Je me voile la face ?
Pourquoi devrait-on m'écouter ?
Suis-je dépourvue d'originalité ?
Perdue dans la masse ?
Non, je refuse que ma vie
soit ainsi jouée


Coincé sur le pont
Prêt à décoller
Je dois apprendre à voler
Un jour, pour de bon
On enverra tout valser
Oui, on doit tous se barrer


La nuit, je rêve
d'une grande échappée
Dois-je attendre longtemps
pour m'évader ?
Je le sens jusque dans ma peau
Je suis dans un étau
Marre de cette vie
Dans ces bâtiments pourris
Je dois bouger
Avant de m'désintégrer
Si encore j'y croyais
Je me mettrais à prier


Faut se barrer
Faut se barrer


Coincé sur le pont
Prêt à décoller
J'ai peur de me lancer
Je dois apprendre à voler
Comment te pousser à rester ?
Un jour, pour de bon
Tu peux pas m'abandonner
On enverra tout valser
Tu peux pas me lâcher
On doit tous se barrer
Se barrer"

<<_ Et tu es sûr que c'est un homme ?

_ Les tueurs en séries sont toujours des hommes.

_ Qu'est que tu fais de la mère de Jason ? >>

<<_ Tu es sûr que c'est pas toi le tueur ?

_J'en suis pas complètement sûr. >>

<<_ Quant à toi,
Ô grand guerrier,
qui a su rester en vie
sans même lever le petit doigt,
qui a insufflé sa force et sa passion aux autres,
j'aimerais te laisser partir, mais...

_ Oui ?

_ Ne préférez-vous pas voir cet homme défendre l'Empire ?

_ Non.

_ Terrasser nos ennemis ?
Et devenir notre héros ?

_ Non, pas du tout. Pas du tout.
Baissez, c'est mieux. On préfère la liberté, comme les autres.
On préfère ça.

_ Un grand pouvoir implique de grandes responsabilités.
J'ai décidé de t'envoyer là où on aura le plus besoin de ton courage.
En Gaule.
Aider nos forces à terrasser ces sauvages Gaulois.

_ César, je t'en supplie, pas en Gaule.>>

<<_ Cours Fructus, cours.

_ Je sais pas courir...
J'ai pas envie de me casser la gueule. >>

<<_ Brutus ! Fuis, pauvre fou. >>

<<_ S'il vous plaît, restez avec moi. >>

<<_ Je sais !
Je sais que vous la protégez.
Je sais que c'est Kayla.
Je sais qu'elle l'a tuée !
Je sais. >>

<<_ Pourquoi as-tu changé de morceau ?

_ Je sais pas.

_ Pourquoi as-tu changé de morceau ?

_ Je voulais la battre.

_Sa technique n'est pas meilleure.

_ Non...

_ C'est un compliment.
Elle n'est pas meilleure.
Son rendement est moins bon.
Alors pourquoi Vivian est la star, et tu es... ce que tu es ?
Elle joue comme si le Diable était à la porte.

_ Et Moira ?

_ Moira ?

_ Elle a battu Vi, la première fois.
Elle jouait comme ça ?

_ Elle jouait comme si le Diable était dans la pièce.
La musique, c'est compétitif.
Si tu veux vraiment le devant de la scène,
rien ne devrait t'en empêcher.
Même pas Vivian.>>

<<_ On est des clones.
Ensemble pour toujours, non ?

_ Oui. >>

< Qui m'accueillera dans ses ténèbres.

Ce livre décrit la voie :
Un, deux, trois, quatre, cinq, six.>>

« 120 grammes peuvent déplacer 120 kilos. »

« La jeune pousse s'est élevée jusqu'au ciel.
Et ses ancêtres chantent ses louanges par-delà la voûte céleste.
La jeune fille est devenu soldat.
Le soldat est devenu un chef.
Et le chef est devenu une légende. »