Commentaires de films faits par wind-of-river
Répliques de films par wind-of-river
Commentaires de films appréciés par wind-of-river
Répliques de films appréciées par wind-of-river
C'est ca. T'es perdu.
- Ah, super chien de garde.
Enlevez-moi ca ! Enlevez-moi ca !
Je te tiens.
- Je te tiens.
Je sais pas ce qu'il a mais il n'est pas net ce poulet.
Ce pollo es dingo. Non ? Ok, on continu.
- Ça vient de l'extérieur.
- Hé, je croyais qu'on avait dit plus rien de malhonnête ?
- Désolé frérot, il faut bien que quelqu'un continu la tradition familiale. Pas vrai ?
- Viens on le rattrape.
- Ma chérie, c'est mon frère. On va lui laisser cinq minutes d'avance.
T'as compris, alors obéis.
Partout où je passe, je casse.
- Pisto-Gel ! Pisto-Gel ! Pisto-Gel ! Pisto-Gel ! Pisto-Gel !
Je passe une journée pourrie.
Si ça te vexe, pour moi pas de souci.
Regarde, ça va être marrant.
Ce que je suis méchant.
Et bien, les temps changent.
- Je t'aime Scarlett.
- Regardez tous ces visages autour de vous !
Nous sommes tous très différents mais nous avons une chose en commun.
- Nous sommes nés avec des nageoires ! Non ? Y a que moi ?
D'accord.
- Nous avons de grands rêves et pour qu'ils se réalisent nous ferions n'importe quoi. Est-ce que l'un de vous n'a jamais rêvé de travailler pour le plus grand super-méchant de tous les temps ? Et bien, justement si je vous disais que moi je cherche de nouveaux hommes de mains ? Je crois sincèrement que quelque part dans cette salle, il y a un méchant qui a le potentiel pour servir l'excellence et ça peut être n'importe lequel d'entre vous.
Cela dit inutile de se voiler la face. Les seuls qui ont l'étoffe pour cet emploi sont kevin et ses Minions !
Dix fois plus de méchanceté dans une demi-portion. Je l'admire tellement. Faites un triomphe à Kevin. Il a sauvé sa tribu !
- Kevin ! Kevin ! Kevin ! Kevin ! Kevin !
Lui, c'est Citron.
- Quoi, les fruits ?
- Tu connais Thomas le petit train ?
- C'est reparti.
- Tu regardes la télé aujourd'hui, t'as quoi ?
Rien, que dalles. Coups tordus, violences, drames, aucun message. Pourquoi voir ça ? Hein ? Tu crois que tu vas apprendre quoi ?
- Tout ce que je sais sur le genre humain perso, je l'ai appris de Thomas.
- Ah, t'as ta feuille de stickers sur toi ?
- J'ai toujours ma feuille de stickers sur moi et tu le sais.
Mandarine, par exemple, lui c'est un Gordon. Le bleu, là.
Gordon c'est le costaud, le mec le plus important mais seulement il n'écoute pas toujours les autres.
- Toi, tu dis ça ?
- Dans la vie, il y a pas mal d'Édouard, prudents, gentils.
Y a beaucoup de Henry, des gens bosseurs, costauds.
Et il y a des gens, c'est des diesel. Putain de merde. Eux, c'est les pires.
Mais toi…
Toi, tu serais plutôt un Percy. Jeune. Mignon. Un peu à l'ouest.
- Maintenant, il y a des fruits sophistiqué ?
- C'est des hybrides d'autres fruits, ils sont adaptables comme moi.
- Mandarine ?
- Tu saignes.
- Merde. Merde ! J'ai buté qui ?
- Trouve une lingette.
- C'est pas mon sang.
- Ah ?
- Je saigne jamais.
- Ouvre ton manteau, qu'on voie bien.
- Je montre ma cravate.
- T'es con ou quoi ?
Couvre toi, ça attire l'attention.
- Moins que nos noms de code débiles.
Comme fruits, y avait pomme, orange...
Un marais est un lieu de lumière où l'herbe pousse dans l'eau et l'eau s'écoule dans le ciel.
Mais au sein des marais, ici et là, se trouve de vrai marécage.
Le marécage sait tout de la mort et il ne la considère pas forcément comme une tragédie, encore moins comme un péché.
- Tu ne "religionnes" pas ?
- Non. J'ai de fortes croyances, mais j'aime pas vraiment... j'aime pas vraiment la religion.
- Je ne vais plus à l'église.
- Vera aimait y aller ?
Depuis quelques semaines, un vieux poème de l'école, appris avec Mme Stoddard, me tourne dans la tête. Je ne sais plus si on avait dû l'apprendre par cœur. Il s'appelait "Thanatopsis". Je me rappelle de ce morceau :
Alors, vivez
Tant que vous n'avez pas été enjoint
De rejoindre la caravane innombrable
Qui se dirige vers ce royaume mystérieux
Où tout un chacun traverse les couloirs silencieux de la mort
Ne partez pas
Tel un esclave au milieu de la nuit
Enchaîné dans sa prison
Mais apaisé à la douce idée
De votre libération prochaine
Tel celui qui fait son lit
Et s'allonge
Prêt à rejoindre le royaume des rêves
C'est étrange, non ?
- Cabinet d'exploration métaphysique.
- Ça roule. Cabine d'exfoliation métal-musique. Bonjour.
comme un grand tapis de fleurs.
Et allongée sur ce tapis,
se trouvait une belle et jeune demoiselle endormie.
Et la mère pleura :
"Est-ce mon reflet que je vois dans tes yeux étincelants ?"
Et la fillette répondit :
"Est-ce mon reflet que je vois dans les tiens ?"
Puis la jeune fille se transforma en cygne majestueux
et déploya ses ailes puissantes.
- Oui, bien sûr. Il était assis dans le fauteuil et il te lisait des histoires. Tu te rappelles pas?
- Étrange, il paraissait si réel.
Tout ne meurt-il pas toujours et trop tôt ?
Dis moi, que vas-tu faire de ton unique, sauvage et précieuse vie ? "
Quand il pleut, ce sont nos ancêtres qui pleurent car ils partagent notre souffrance dans les cales sombres des navires à destinations de rivages lointains.
Quand le vent souffle, ce sont nos ancêtres qui nous poussent à aller combattre de toutes nos forces ceux qui nous réduisent en esclavage.
Quand le tonnerre gronde, ce sont nos ancêtres qui nous ordonnent de nous libérer du carcan de doutes qui entravent nos esprits et de fondre sur l'ennemi avec courage.
Nous nous battons aujourd'hui pour notre avenir.
Nous sommes la lance de la victoire.
Nous sommes l'épée de la liberté.
Nous sommes le Dahomey !
Une sale ordure talentueuse.
J'ai un travail pour vous.
- Roi de Finlande ? Je peux y penser.
- Le chef du service pénitentiaire va venir ici dans trois semaines.
Vous allez jouer pour ses proches. Vous allez faire un spectacle.
Si c'est drôle, vous et votre troupe survivrez.
Le sergent-majeur supervisera les répétitions.
Mettez-vous au travail. Vous avez 18 jours.
Faites rire le public. Ou vous serez exécuté.
elle sent son corps en trois dimensions.
Paradoxalement, la douche lui fait aussi perdre contact avec le temps et le monde qui l'entoure.
- Non.
- C'est un grand… c'était un grand écrivain de chez nous.
Il a écrit :
"Toute action humaine est une manifestation contre la mort".
C'est une phrase très importante.
- C'est une phrase très dangereuse.
- C'est une phrase qui m'aide à me réconcilier avec l'être humain.
- Bgnar Magnerson, c'est un nom qui sent la neige.
- Bjorn Magnussen, c'est la neige.
- Il est mort comment, lui ?
- Suicide.
- Couvrez-moi.
- Avec quoi ?
- Couvrez-moi, c'est tout.
- Trop tard !
- Le voilà !
- Où ? Derrière le lapin ?
- C'est le lapin.
- Sacré farceur !
Tu nous as bien possédés.
- Ce lapin n'est pas comme les autres. Il est plus sournois, cruel et irascible que le plus néfaste rongeur.
- A cause de toi, j'ai encore mouillé mes chausses.
- Il atteint sa victime à 100 toises. C'est un tueur.
- Fariboles !
- Il ne fera qu'une bouchée de vous.
- Pauvre écossais galeux !
- Je vous préviens.
- Il va nous grignoter le cul ?
- Ses dents sont acérées…
Il bondit…
Regardez les ossements.
- Vas-y, Bors, coupe-lui la tête.
- Petit buveur de sang !
Du civet en perspective !
- Regardez !
- Par le diable !
- Je vous avais prévenus.
- Ça y est, j'ai pas pu me retenir.
- Vous en saviez plus que moi…
Un petit lapin inoffensif…
C'est toujours pareil.
J'ai beau les prévenir…
- La ferme !
- …Ils refusent de m'écouter.
- Chargez !
- Sauve qui peut !
- Quelles sont nos pertes ?
- Gawain. Hector. Et Bors. Ça fait cinq.
- Trois, sire.
- Bon, trois.