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Commentaires de films faits par wind-of-river

Répliques de films par wind-of-river

Commentaires de films appréciés par wind-of-river

Répliques de films appréciées par wind-of-river

date : 14-04
- Maman m'a dit que je te trouverais ici.
- Ouais. Ces trois là étaient mes meilleurs amis. J'ai grandi avec eux, j'ai fait des conneries et draguer des filles avec eux. Et je me suis engagé avec eux. Et maintenant, ils sont là, recouvert de terre et tout bouffés par les vers. Je refuse de venir voir mes fils ici.
- Papa, j'ai déjà signé. Je pouvais pas faire autrement. Tout le monde va à la guerre.
- Les autres qu'est que j'en ai à faire… Tous ses imbéciles sautent à pieds joints dans une guerre ridicule sans réfléchir, on dirait les pauvres idiots qu'on étaient. Les soldats qui reste en vie, c'est qu'ils sont faits pour être soldats. Mais pas toi. Toi, t'es fait pour t'assoir, réfléchir et prier tout le temps. Tu vois à cette seconde ce que tu es en train de faire. Tu pourras plus te regarder en face si tu y vas.
- Si j'y vais pas, je ne pourrais plus me regarder non plus. Je serais infirmier. Ce sera ma façon de servir.
- T'as bien pesé le pour et le contre ? Tu crois que cette guerre va cadrer avec tes idéaux ? Ce en quoi tu crois ?
- Ce sera difficile.
- Ce sera pas difficile, ce sera impossible. Quelles que soient les idées que t'as dans ta tête de fou, elles colleront pas avec eux. Ils fonctionnent pas comme ça. Et si par je ne sais quel miracle, t'arrive à survivre, tu pourras pas rendre grâce au seigneur.
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date : 14-04
Desmond Doss mit 75 blessés à l'abri à Hacksaw Ridge.
Il fut le premier objecteur de conscience à obtenir la Médaille d'honneur, la plus haute distinction pour courage sur le champ de bataille. Il resta marié avec Dorothy jusqu'à sa mort en 1991. Il resta toujours modeste quant à ses actes et les attribua à Dieu. Il dit simplement : "Les vrais héros sont enterrés là-bas." Desmond Doss mourut à l'âge de 87 ans, en mars 2006.
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date : 14-04
- Laissez passer !
- Mais enfin ils arrivent d'où tous ses hommes ?
- Ils viennent d'Hacksaw.
- Ils sont pas tous déjà revenu ?
- Pas tous, mon capitaine. Une espèce de barge va chercher tout les blessés et les fait descendre. Il nous a même envoyé deux japs. Ils sont s'en pas sortis. Bon, moi je reviens.
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date : 14-04
- J'ai pas pu faire le test d'oxygène.
- On va être obligé de faire sans.
- Vous en faites pas, j'ai la solution.
- C'est quoi ca ?
- Apparemment l'armée n'a plus de canari donc il a fallut que j'improvise. Dites coucou à Fielding Junior.
- Il est crevé ton rat.
- Il est pas crevé, il est bourré. Je lui est donné du rhum. Peut importe du moment qu'on le voit respirer.
- Alors Fielding nous prive de mineurs et on les remplace par des rats bourrés. On va gagner au change.
- Puis-je interrompre vos études sur la faune locale ? Repos messieurs. Je suis vraiment fier. Extrêmement fier de chacun d'entre vous. De votre persévérance. De votre courage face à de grandes difficultés. Vous avez pratiquement passé toutes vos journées sous terre sans être vu ni même reconnu à votre juste valeurs. Mais cette nuit, dans seulement quelques heures, des milliers de hommes seront découper en charpies si nous ne déclenchant pas cette bombe. Il ne s'agit pas de faire nos preuves faces au haut commandement, sauver nos âmes c'est tout ce qui importe. Ecoute-moi cette nuit, nous ne feront peut être pas l'histoire mais ce qui est certain c'est que l'on va refaire la géographie. George. Shorty. Harold. Ce fut un privilège.
- Merci colonel.
- Je vous avez mal jugé Bill. Vous êtes un vrai soldat.
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date : 14-04
"Ma très chère Jane, je t'écris aujourd'hui, le cœur plus lourd que jamais. Hier soir notre ami Charlie a mis fin à ses jours. Harold m'avait bien dit que nos hommes étaient au bord de la rupture mais je refusais de le voir. J'aurais du voir. Charlie venait de recevoir une lettre de Margaret Parrish. Apparemment Ned est enfin revenu au pays et c'est pourquoi elle a mis fin à leur liaison. Cela me bouleverse de voir ce que l'amour peut nous faire accomplir. En ce sens, je dois reconnaitre qu'il est plus puissant que bien des choses ici. Pourrais-tu dire à la mère de Charlie qu'il est mort dans l'honneur ? Ce serait bien mieux qu'elle l'apprenne de toi plutôt que d'un inconnu en uniforme. C'est le moins que l'on puisse faire pour lui. Malgré ce qui s'est passé, l'équipe continue de travailler sans relâche. George fait preuve d'une force que je lui soupçonner pas. Il participe comme au premier jour. Nous sommes presque à bout de forces mais aussi insensé que cela puisse paraître je ne suis pas sûr de vouloir que ça s'arrête car dans ce cas je ne saurais plus qui je suis. Quelque chose en moi a soif de tout ce sang et cette terreur car je sais que je peux prouver ma valeur en y mettant fin. Et sans tout cela, je ne suis qu'un homme avec une casquette sur la tête. Mais une autre partie de moi est consciente que ma plus grande réussite se trouve chez nous avec toi et la vie que nous avons construite. C'est peut être toi qui avait raison. Je suis surement un peu bête. Je vous envoie tout mon amour, à toi et à Peter. Tu reste à jamais dans mon cœur, William."
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date : 14-04
"Ma très chère Jane, mon amour, je sais que tout les mois tu te dit que mon retour se rapproche un peu plus mais la guerre nous fait rompre nos promesses. Et pour être honnête, mon retour est encore plus lointain qu'avant. Ces derniers mois, le temps s'écoule lentement. Nos nouveaux tunnels se rapprochent doucement des lignes allemandes et de la plus grosse explosion de l'histoire. Je sais que nous sommes les seuls à pouvoir accomplir cette tache. Le travail est laborieux. À chaque secondes, nous prêtons l'oreilles aux galeries allemandes et nous prions pour que l'ennemies ne nous trouvent pas. On dit que quand un soldat meurt, il devient un "Patriot". Mais plus la guerre avance et plus les "Patriotes" semblent nombreux autour de moi.
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date : 14-04
- J'ai reçu le télégramme hier, il était inutile de venir.
- Puis-je entrer, malgré tout ?
- Il y a des termes qu'on me demande d'utiliser dans ce genre de situation. Tels que "Héros", "Sacrifice", "Patriote". Mais je ne vous ferais pas perdre votre temps.
- Parce qu'on sait déjà qui Williams était. Pas besoin d'une guerre pour le découvrir. Une médaille, c'est juste un joli bijou qu'on pose sur sa veste et une lettre du roi… Bouches-toi les oreilles. N'est même pas digne de la merde avec laquelle elle est écrite.
- Je ne crois avoir de ma vie rencontré d'homme plus intraitable et borné que votre mari, madame Hawkin. Il n'y a pas d'homme que j'ai plus respecté non plus. Ah, j'allais oublier. Ce petit bonhomme suivait ton père partout. Grâce à lui, il se sentait capable de faire de grandes choses. Et il l'en a fait. Il l'en a fait. Il a sauvé des milliers de vies. Parce que ce soldat t'appartenais. Et maintenant, sa place est à nouveau auprès de toi. Peter.
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date : 14-04
L'explosion de Messines fut la plus puissante jamais enregistrée.
Le Premier Ministre Britannique entendit la détonation depuis Londres, à 225 Km de là.
Les mines tuèrent plus de 10 000 soldats allemands.
Le camp ennemi fut envahi par les Alliés en moins de 35 minutes.
Ce fut le tout dernier tunnel de la Grande Guerre.
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date : 14-04
Septembre 1915.
La Grande Guerre. Censé s'achever avant Noël, le carnage s'éternise.
Au Royaume-Uni, les hommes valides s'enrôlent pour accomplir leur devoir.
Ceux qui refusent de s'engager reçoivent une plume blanche, symbole de lâcheté et de traîtrise.
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date : 13-04
- T'as pas vu son regard. C'est Chucky en mignonne !
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- Alors, Madame Trappin… Madame Trappi… Madame Trappu… Madame Trappo…
- Trappet.
- Madame Trappet. Qu'évoquent pour vous ces images ?
- C'est bizarre, mais je trouve ça joli.
- Je ne sais pas si "joli" est le mot qui convient.
- Oui, je me doutais. Mais ces couleurs me font penser à des fleurs…
On dirait un bouquet de soucis.
- Là, on se rapproche.
- Qu'est-ce que c'est que ce truc ?
- Un truc rare, mais de plus en plus fréquent.
Une maladie professionnelle auto-immune.
- Auto-immune ?
- Ça veut dire que vos anticorps se retournent contre vous.
- Et pourquoi ils font ça ?
- Vous êtes coiffeuse, vous m'avez dit ?
Les sprays que vous utilisez ont esquinté vos cellules bronchiques. Et du coup, vos anticorps ne les reconnaissent plus.
- Mes anticorps ?
- Les anticorps sont des cellules qui font des contrôles d'identité en permanence dans l'organisme. Là, ils arrivent, ils reconnaissent pas les cellules esquintées et ils trouvent cela suspect. Tiens "ce serait pas des corps étrangers ?" Et comme la police, ils viennent et ils demandent : "vos papiers." "Nous sommes des cellules bronchiques." "Pas du tout, vous ne ressemblez pas aux photos d'identité. Allez hop, dehors." Et c'est
ça qui vous fait souffrir. C'est comme la police quand elle se trompe, ça fait des dégâts. En fait, ils s'en prennent à eux-mêmes sans le savoir.
- Ils sont bêtes, mes anticorps.
- Non, ma métaphore sur la police n'était pas tout à fait innocente.
- Et le traitement… Il est efficace ?
- Tout dépend de ce qu'on entend par "efficace".
Avec le temps évidemment les anti-inflammatoires limitent les dégâts. Ils protègent la cellule de la répression en quelque sorte.
- Et… Et moi… Moi… Je…
J'en ai, du temps ?
- La même chose, tout dépend de ce que l'on entend par "avoir du temps." Ça c'est une question très personnel. Avoir du temps pour vous, ce n'est pas la même chose pour moi. Et évidemment, je ne sais pas ce que vous faites quand vous avez du temps.
Comme vous ne savez ce que je fais quand j'ai du temps. Difficile de répondre objectivement à une question plutôt subjective…
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- Il y a des choses dont on ne doit pas parler. Des choses qui appartiennent au passé. Qui ont eu lieu il y a longtemps. Et qu'ont doivent pas en parler ne signifie pas qu'on pourra un jour les oublier. Car il y a certaines choses… qu'il est totalement impossible d'oublier.
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date : 11-04
- Nous sommes des émotions réprimés !
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- Ecoutez, je ne crois pas aux monstres mais je crois en revanche que l'homme peut être responsable d'actes monstrueux.
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date : 10-04
Les petits poissons dans l’eau, nagent, nagent, nagent, nagent, nagent.
Les petits poissons dans l’eau nagent aussi bien que les gros.

Les petits, les gros nagent comme il faut
Les gros, les petits nagent bien aussi.

Les petits poissons dans l’eau, nagent, nagent, nagent, nagent, nagent.
Les petits poissons dans l’eau nagent aussi bien que les gros.
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- Je ne ferais pas ça si j'étais vous.
Seulement ce milieu, n'est pas aussi propre et soigné que l'on pourrait y croire.
- Le cercueil est si petit.
- C'est tragique, en effet.
Montgonery Dark, directeur de la morgue.
Serviteur si contrat dans l'au delà.
- Dark, vraiment ?
- C'est mon nom de famille.
- Je suis sam.
- Sam, mes condoléances.
Etiez-vous proche de l'enfant ?
- Non, j'ai vu un panneau devant la maison avec une annonce.
- Une annonce ?
- Oui, poste à pourvoir. Vous cherchez encore ?
- Oui, sans relâche.
- Veuillez me suivre.
Avez-vous de l'expériences dans les arts funéraires ?
- Non mais j'apprends vite.
- La plupart des gens trouverez cela déprimant.
- Je suis pas comme la plupart des gens.
- Nous verrons bien. Je vous en prie, assied-vous.
- C'est une sacrée collection de livres que vous avez là.
- Et ce n'est que le sommet d'un iceberg fort menaçant, j'en ai bien peur. Les archives des différents raisons qui ont menés nos clients à se retrouver dans nos salles sacrées.
- Donc tout ca raconte comment les gens sont mort.
- Pas seulement comment ma chère mais pourquoi.
- C'est plutôt cool.
- Eh, oui. C'est le cas en effet.
- Racontez moi.
- Vous racontez quoi ?
- Une histoire. Quelque chose de sombre et tordu. Un truc terrifiant.
- Peut être devrions nous nous en tenir aux affaires. Nous avons du pain sur la planche.
- Oh, s'il vous plait Monty. Si je dois travailler ici, je dois savoir où je met les pieds.
- Mais vous n'êtes pas encore embauché jeune fille.
- C'est vrai que vous avez une pile immense de cv à examiner.
- Quelque de sombre, tordu et terrifiant. Hein ? Et bien, voyons voir si celle-ci vous conviendra !
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Le monde n'est pas fait d'atomes, il est fait d'histoires !
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- Calvin…
As-tu déjà tué quelqu'un ?
- Non.
- Il dit la vérité.
- Skye, as-tu déjà tué quelqu'un ?
- Oui.
- Elle ment.
- C'est plus dur que ce que je croyais.
- Calvin…
Skye est ta meilleure amie ?
- Non.
- C'est un mensonge.
- Quoi ?
- Est-ce que je suis ton meilleur ami ?
- Non.
- Elle ment, c'est clair.
- Calvin…
Quand tu es tout seul chez toi renifles-tu l'odeur de tes pets ?
- Non.
- Eh bien, c'est pas tout à fait concluant.
- Calvin Lewis, prendrais tu ma place si tu pouvais le faire ?
- Oui.
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- C'est un poisson rouge ?
- Oui, c'est pour toi.
Voici Boris.
- Quoi ?
- Appelle-le comme tu veux, il n'a pas de mémoire.
- C'est pas vrai…
- Pourquoi tu es venue ?
- T'as encore moins de mémoire que Boris.
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- Merci d'avoir partagé ton histoire. Bien et maintenant, pourquoi on n'essayerait pas un nouvel exercice. Ok, ça va allez. C'est pas un test. Voilà pour toi. Maintenant… Faites une liste, faites une liste des choses que vous aimeriez faire. Laissez votre imagination s'envoler. Si vous aimeriez escalader l'Everest ? Allez-y, notez-le.
- Et si j'ai envie de braquer une banque ?
- Je peux pas dire que j'approuve, mais tant pis écrivez-le. Je connais un bon avocat. Vous pouvez en parler entre vous, d'accord. Et vous inspirer des idées des autres.
- Ravie que tu es pu nous rejoindre, Skye.
- Oh, tu me connais Dan. J'arriverais en retard à mon propre enterrement.
- Ecoute, tu peux rester tant que tu veux mais si tu te comportes comme la semaine dernière je devrais te demander de t'en aller.
- Je me tiendrai à carreau.
- Ok.
- T'es nouveau, toi…
Je m'appelle Skye.
- Calvin.
- Alors ? Qu'est que tu fais ici, Calvin ?
Un exercice débile à propos d'escalader les montagnes ?
- Ouais, on dirait.
- Tu veux me copier ?
Je suis toujours ravie de pouvoir aider mes pairs.
Qu'est-ce qui t'arrives ?
- Désolé, ta tête…
- C'était un clin d'œil, abruti. Fini la récré, retourne à tes devoirs.
- Vous avez les mêmes.
- Quoi encore ?
- Je ne sais pas quoi écrire.
- Ecris n'importe quoi, les autres s'en cogne. Souviens toi que tu vas mourir. Mais n'écris rien de trop clichés, genre nager avec les dauphins. Et ne mentionnes pas Disneyland. Je suis allée à Disneyland, ça craint. Il y a des centaines d'adolescents malades donc personnes ne te traites comme si t'était spécial. Pas même Mickey Mouse, il s'en bat les couilles des enfants malades.
T'as une copine ?
Un copain ?
- Non.
- Mais t'aimes bien quelqu'un, non ?
- Peut être que tu penses à elle quand tu…
- Arrête.
- Quoi ?
- Tu peux pas me laisser tranquille, s'il te plait ?
- Dis-moi son prénom, bolos.
- Ne m'appelle pas comme ça.
- Pardon, pardon je ne voulais pas te blesser.
Des fois, je m'énerve toute seule. J'ai le seum.
C'est con la vie, dire que je devrais avoir tout l'avenir devant moi. Je me paye ta tête, bolos. Donne-moi ça.
Voilà, c'est déjà un début.
(Demander un rencard à bidule)
- Bravo tout le monde, vous avez fait du bon boulot.
- À plus, Calvin.
- Merci, Dan.
- Merci à toi.
- Bon travail!
- Salut papa. Comment ca va ?
- Eh bien, j'ai toujours un cancer.
- Oui, je sais que c'est un groupe de soutien ici, pas une séance de vaudou.
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C'est un endroit où il est impossible de vivre.
Ici, c'est nous les intrus.
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" Tandis que ce déroule une tragédie
Depuis mon nid, je vois des superhéros sans capes mes amis
Et même si parfois la colère m'envahie
Être avec vous est un beau cadeau de la vie"
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- C'était quoi ?
- On dit qu'au premier clair de lune où une sorcière touche l'homme avec lequel elle partagera sa vie… une flamme bleue jaillit.
- Donc, tu es une sorcière.
- Mon père est bohémien. Ma mère est une sorcière. Alors, ça fait de moi une sorcière. Je n'ai qu'elle au monde. Nous ne sommes pas toutes cruelles comme ton maître le prétend. Certaines sont bienveillantes. Certaines sont mauvaises. Et les autres ignorent être sorcières.
- Quel genre de sorcière es tu ?
- Où est-ce que vous allez ?
- À la montagne de Pendle.
- Pourquoi veux tu être comme lui ?
Il te martyrise et pense que nous ne sommes qu'abomination.
- Est-ce que tu nous espionnes ?
- Oui.
- Pour qui ?
- Une femme pour qui les humains ne sont qu'abomination.
- Qu'est-ce que c'est que ça ?
- Ça…
C'est Tusk. Il fait un cauchemar.
Qu'est-ce qui peut hanter les cauchemars des monstres ?
- Des humains, probablement.
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- Le sel et le fer sont cruciaux.
Le sel brûle. Le fer aspire la force des créatures.
Teintures de cuivre pour les blessures.
La limaille de fer repousse les sorcières.
Scrotum d'ogre, pour ton propre plaisir.
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La nuit tombe comme un guet apens.
En quelques minutes, la températures chutent de trente degrés.
Si on n'est pas morts dans l'accident, c'est le froid qui nous achèvera.
On s'empilent comme on peut, les vivants et les morts, entremêlés !


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date : 08-04
Ma rose d'Irlande
Jolie fleur de la lande
Nulle part ailleurs
On ne trouve une fleur
Qui égale en douceur
Ma jolie rose d'Irlande
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