Commentaires de films faits par Beetlejuice
Répliques de films par Beetlejuice
Commentaires de films appréciés par Beetlejuice
Répliques de films appréciées par Beetlejuice
Tout commença lorsque les grands anneaux furent forgés. Trois furent donnés aux elfes, immortels. Les plus sages et les respectable de tous les êtres.
Sept, aux seigneurs nains, grands mineurs et sculpteures de la montagne. et neuf, neuf anneaux furent donnés à la race des hommes, qui par dessus tout désirés le pouvoir. Car à travers ces anneaux furent transmis la force et la volonté et gouverner chaque races.
Mais ils furent tous dupés, car un autre anneau fut forgé. Sur la terre du Mordor, dans les flamme de la montagne du destin, Soron le seigneur des ténèbres forgea en secret un maître anneau pour gouverner tous les autres.
Dans cet anneau il déversa sa cruauté,sa malveillance et sa volonté de gouverner toue vie. Un anneau pour les gouverner tous.
...
Trop cool, hein ?
Son venin neurotoxique est le plus efficace des poisons. Il agit sur les nerfs et provoque une paralysie générale. Le venin du mamba noir tue un être humain en environ quatre heures si celui-ci a été mordu à un doigt ou à une jambe. En revanche, une morsure au visage, ou sur le haut du corps, peut entraîner la mort en moins de vingt minutes.
La suite te concerne, écoute bien.
La quantité de venin qui est libérée dans une morsure peut être gargantuesque. C'est un mot que j'adore « gargantuesque ». On a rarement l'occasion de le placer dans une conversation.
Si on ne dispose pas d'anti-venin, 10 à 15 mg sont une dose fatale pour un homme, alors que le mamba noir injecte généralement au moins 100, et souvent 400 mg de venin par morsure à sa victime.
- Je préfère Docteur.
- Moi, je préfère Lionel. Comment dois-je vous appeler?
- Votre Altesse Royale. Et... Monsieur après cela.
- C'est un peu formel ici, je préfère les prénoms.
- Euh... Prince Albert, Frédéric, Arthur, Georges.
- Et pourquoi pas Bertie?
Toutes. Sauf une. Un détail.
Il ne faut jamais le perdre ou l'abandonner,il ne faut jamais laisser personne nous le prendre.
J'espère, qui que vous soyez, que vous vous échapperez d'ici, j'espère que le monde changera, et que tout s'arrangera.
Mais ce que j'espère plus que tout, c'est que vous me comprendrez quand je vous dit que meme si je ne vous connais pas, meme si je n'ai jamais eu l'occasion de vous rencontrer, de rire avec vous, de pleurer avec vous, ou de vous embrasser, je vous aime, de tout mon coeur, je vous aime. Valérie
Je suis née à Nottingham en 1985. Je ne me rappelle pas grand chose de cette époque lointaine mais je n’ai pas oublié la pluie. Ma grand-mère possédait une ferme à Tuttambrook et elle avait coutume de dire que Dieu vivait dans la pluie. Après avoir réussi l’école primaire, je suis rentrée au collège de jeunes filles. C’est là que j’ai rencontré ma première petite amie. Elle s’appelait Sarah. Ses poignets... Ils étaient magnifiques. Je pensais qu’on s’aimerait pour toujours. Je me souviens de notre professeur nous expliquant que ce n’était qu’une phase de l’adolescence qu’on oublierait. Sarah a oublié, pas moi.
En 2002 je suis tombée amoureuse d’une fille qui s’appelait Christina. C’est cette année là que j’ai tout dit à mes parents. Je n’aurais pas pu si Chris ne m’avait pas tenu la main. Mon père ne m’a même pas regardé. Il m’a ordonné de partir et de ne plus jamais revenir. Ma mère ne disait rien. Mais je n’avais fait que leur dire la vérité. Était-ce si égoïste ? On peut abandonner son intégrité pour presque rien, mais c’est tout ce que nous possédons réellement, tout ce qui nous reste à la fin ; et dans ce petit espace, nous sommes libres.
J’ai toujours su ce que je voulais faire de ma vie. Et en 2015 j’ai joué dans mon premier film, Les marais salant. Ca a été le rôle le plus important de ma vie. Pas pour ma carrière, mais parce que c’est là que j’ai rencontré Ruth. Dès notre premier baiser j’ai su que jamais je ne voudrais embrasser d’autres lèvres que les siennes. Nous avons emménagé ensemble dans un petit appartement à Londres. Pour moi, elle faisait pousser des Scarlet Carson dans notre jardinière et notre intérieur embaumait toujours la rose. Ce furent les plus belles années de ma vie.
Mais la guerre ne faisait qu’empirer aux États-Unis et elle finit par toucher Londres. Après ça, il n’y eut plus jamais de roses, pour personne. Je me souviens de quelle façon le sens des mots se mit à changer, de quelle façon des mots peu familiers comme « collatéral » et « interprétation » devinrent effrayants ; tandis que d’autres comme « le feu nordique » ou « article d’allégeance » montaient en puissance. Je me rappelle quand « différent » a pris le sens de « dangereux ». Je ne comprends toujours pas, pourquoi nous détestent-ils à ce point ?
Ils arrêtèrent Ruth alors qu’elle faisait les courses. Je n’ai jamais autant pleuré de ma vie. Ils n’ont pas tardé à venir me chercher.
C’est bizarre de me dire que ma vie finira dans un endroit aussi horrible. Mais pendant trois ans j’aurais eu des roses sans jamais devoir m’excuser.
Je vais mourir ici. Toutes les parties de mon être vont périr ; toutes, sauf une, un détail, un tout petit détail fragile, mais qui est la seule chose dans ce monde qui ait de la valeur. Il ne faut jamais le perdre ou l’abandonner. Il ne faut jamais laisser personne nous le prendre.
J’espère, qui que vous soyez, que vous vous échapperez d’ici, j’espère que le monde changera, et que tout s’arrangera. Et ce que j’espère plus que tout, c’est que vous me comprendrez quand je vous dis que même si je ne vous connais pas, même si je n’ai jamais eu l’occasion de vous rencontrer, de rire avec vous, de pleurer avec vous ou de vous embrasser, je vous aime. De tout mon cœur. Je vous aime.
Valerie
- ...
- Pas la voiture ! J’ÉTAIS en feu.
- Y a quelque chose chez vous qui m'angoisse.
- Et il vous habillait en radasse dresseuse de dauphins ?
Le seul verdict que je vois est la vengeance : Une vendetta violente, brandie tel un ex voto et non en vain, visant à faire vaincre la vertu face à cette vilénie lovée dans les veines de vos villes. Ces vagues vocales faisant de moi un ventriloque, vociférant ces volutes verbales...
Revenons-en à l´essentiel : Je suis très honoré de vous rencontrer, et pour vous, je serai V...
Dépêches-toi réveilles-toi ton petit déjeuné est prêt!
Regarde c'est de la bonne bouille, de la bouille de riz sourit
Hé! sors de la toi on t'as pas invité!
Shrek : Nan, crois moi l'âne, si c'était moi, tu serais mort. Snif, y'a des vapeurs de souffre, on dois pas être loin du ring.
L'âne : Ouais, c'est ce qu'on dit quand on lâche une bombe..."
Joker : Non, poisson.
Edward Blake: "What happened to the American Dream?" It came true! You're lookin' at it...
- Jamais je n'arrive jusqu'à la chute.