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Commentaires de films faits par Beetlejuice

Répliques de films par Beetlejuice

Commentaires de films appréciés par Beetlejuice

Répliques de films appréciées par Beetlejuice

- Connaissez-vous des histoires drôles?
- Jamais je n'arrive jusqu'à la chute.
Avez vous apprécié cet extrait ? +2
Même la plus petite personne peux changer le cours de l'avenir.
Avez vous apprécié cet extrait ? +4
Le monde à changé. Je le vois dans l'eau. Je le ressent dans la terre. Je le sent dans l'air. Beaucoup de ce qui existait jadis est perdues, car aucun de ceux qui vivent aujourd'hui ne s'en souviennent.

Tout commença lorsque les grands anneaux furent forgés. Trois furent donnés aux elfes, immortels. Les plus sages et les respectable de tous les êtres.
Sept, aux seigneurs nains, grands mineurs et sculpteures de la montagne. et neuf, neuf anneaux furent donnés à la race des hommes, qui par dessus tout désirés le pouvoir. Car à travers ces anneaux furent transmis la force et la volonté et gouverner chaque races.
Mais ils furent tous dupés, car un autre anneau fut forgé. Sur la terre du Mordor, dans les flamme de la montagne du destin, Soron le seigneur des ténèbres forgea en secret un maître anneau pour gouverner tous les autres.
Dans cet anneau il déversa sa cruauté,sa malveillance et sa volonté de gouverner toue vie. Un anneau pour les gouverner tous.
...
Avez vous apprécié cet extrait ? +4
date : 27-02-2014 par lapylapy69
"Preuve est faite que visages dévots et pieuses actions nous servent à enrober de sucre le Diable lui-même."
Avez vous apprécié cet extrait ? +5
date : 25-04-2015 par Alchimist
Qu'importe que le vent hurle, la montagne jamais ne ploie devant lui.
Avez vous apprécié cet extrait ? +6
Spoiler(cliquez pour révéler)
En Afrique, on dit que, dans la brousse, l'éléphant tue, le léopard tue, et le mamba noir tue. Mais ce n'est qu'avec le mamba, et c'est bien connu en Afrique où c'est tout sauf une fable, que le décès est assuré. D'où son surnom d'« Annonciateur de l'agonie ».
Trop cool, hein ?
Son venin neurotoxique est le plus efficace des poisons. Il agit sur les nerfs et provoque une paralysie générale. Le venin du mamba noir tue un être humain en environ quatre heures si celui-ci a été mordu à un doigt ou à une jambe. En revanche, une morsure au visage, ou sur le haut du corps, peut entraîner la mort en moins de vingt minutes.
La suite te concerne, écoute bien.
La quantité de venin qui est libérée dans une morsure peut être gargantuesque. C'est un mot que j'adore « gargantuesque ». On a rarement l'occasion de le placer dans une conversation.
Si on ne dispose pas d'anti-venin, 10 à 15 mg sont une dose fatale pour un homme, alors que le mamba noir injecte généralement au moins 100, et souvent 400 mg de venin par morsure à sa victime.
Avez vous apprécié cet extrait ? +2
- S'il vous plaît, appelez-moi Lionel.
- Je préfère Docteur.
- Moi, je préfère Lionel. Comment dois-je vous appeler?
- Votre Altesse Royale. Et... Monsieur après cela.
- C'est un peu formel ici, je préfère les prénoms.
- Euh... Prince Albert, Frédéric, Arthur, Georges.
- Et pourquoi pas Bertie?

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date : 27-02-2014 par lapylapy69
"J’ose tout ce qui sied à un Homme ; qui n’ose point n’en est plus un."
Avez vous apprécié cet extrait ? +13
-"Et notre devise : sic gorgiamos allos subjectos nunc : nous aimons nous repaître de ceux qui aimeraient nous soumettre. Et ce ne sont pas des paroles en l'air."
Avez vous apprécié cet extrait ? +5
date : 05-02-2014 par Margotte1611
Je vais mourir ici, toutes les parties de mon etre vont périr.
Toutes. Sauf une. Un détail.
Spoiler(cliquez pour révéler)
Un tout petit détail,fragile, mais qui est la seule chose dans ce monde qui ait de la valeur.
Il ne faut jamais le perdre ou l'abandonner,il ne faut jamais laisser personne nous le prendre.
J'espère, qui que vous soyez, que vous vous échapperez d'ici, j'espère que le monde changera, et que tout s'arrangera.
Mais ce que j'espère plus que tout, c'est que vous me comprendrez quand je vous dit que meme si je ne vous connais pas, meme si je n'ai jamais eu l'occasion de vous rencontrer, de rire avec vous, de pleurer avec vous, ou de vous embrasser, je vous aime, de tout mon coeur, je vous aime. Valérie
Avez vous apprécié cet extrait ? +5
Je sais que je ne peux prouver que ce n’est pas un de leurs pièges, mais ça m’est égal. Je suis moi. Je m’appelle Valérie. Je ne pense pas que je vivrai encore très longtemps et je voulais raconter ma vie à quelqu’un. Voici la seule autobiographie que j’écrirai. Et mon Dieu ! Je le fais sur du papier toilette !

Je suis née à Nottingham en 1985. Je ne me rappelle pas grand chose de cette époque lointaine mais je n’ai pas oublié la pluie. Ma grand-mère possédait une ferme à Tuttambrook et elle avait coutume de dire que Dieu vivait dans la pluie. Après avoir réussi l’école primaire, je suis rentrée au collège de jeunes filles. C’est là que j’ai rencontré ma première petite amie. Elle s’appelait Sarah. Ses poignets... Ils étaient magnifiques. Je pensais qu’on s’aimerait pour toujours. Je me souviens de notre professeur nous expliquant que ce n’était qu’une phase de l’adolescence qu’on oublierait. Sarah a oublié, pas moi.

En 2002 je suis tombée amoureuse d’une fille qui s’appelait Christina. C’est cette année là que j’ai tout dit à mes parents. Je n’aurais pas pu si Chris ne m’avait pas tenu la main. Mon père ne m’a même pas regardé. Il m’a ordonné de partir et de ne plus jamais revenir. Ma mère ne disait rien. Mais je n’avais fait que leur dire la vérité. Était-ce si égoïste ? On peut abandonner son intégrité pour presque rien, mais c’est tout ce que nous possédons réellement, tout ce qui nous reste à la fin ; et dans ce petit espace, nous sommes libres.

J’ai toujours su ce que je voulais faire de ma vie. Et en 2015 j’ai joué dans mon premier film, Les marais salant. Ca a été le rôle le plus important de ma vie. Pas pour ma carrière, mais parce que c’est là que j’ai rencontré Ruth. Dès notre premier baiser j’ai su que jamais je ne voudrais embrasser d’autres lèvres que les siennes. Nous avons emménagé ensemble dans un petit appartement à Londres. Pour moi, elle faisait pousser des Scarlet Carson dans notre jardinière et notre intérieur embaumait toujours la rose. Ce furent les plus belles années de ma vie.
Mais la guerre ne faisait qu’empirer aux États-Unis et elle finit par toucher Londres. Après ça, il n’y eut plus jamais de roses, pour personne. Je me souviens de quelle façon le sens des mots se mit à changer, de quelle façon des mots peu familiers comme « collatéral » et « interprétation » devinrent effrayants ; tandis que d’autres comme « le feu nordique » ou « article d’allégeance » montaient en puissance. Je me rappelle quand « différent » a pris le sens de « dangereux ». Je ne comprends toujours pas, pourquoi nous détestent-ils à ce point ?
Ils arrêtèrent Ruth alors qu’elle faisait les courses. Je n’ai jamais autant pleuré de ma vie. Ils n’ont pas tardé à venir me chercher.
C’est bizarre de me dire que ma vie finira dans un endroit aussi horrible. Mais pendant trois ans j’aurais eu des roses sans jamais devoir m’excuser.
Je vais mourir ici. Toutes les parties de mon être vont périr ; toutes, sauf une, un détail, un tout petit détail fragile, mais qui est la seule chose dans ce monde qui ait de la valeur. Il ne faut jamais le perdre ou l’abandonner. Il ne faut jamais laisser personne nous le prendre.

J’espère, qui que vous soyez, que vous vous échapperez d’ici, j’espère que le monde changera, et que tout s’arrangera. Et ce que j’espère plus que tout, c’est que vous me comprendrez quand je vous dis que même si je ne vous connais pas, même si je n’ai jamais eu l’occasion de vous rencontrer, de rire avec vous, de pleurer avec vous ou de vous embrasser, je vous aime. De tout mon cœur. Je vous aime.

Valerie
Avez vous apprécié cet extrait ? +6
date : 20-06-2015 par primevalREX
- Je suis un vrai espion. Une fois j'ai sauté d'un pont en voiture pour atterrir sur un train alors que j'étais en feu.
- ...
- Pas la voiture ! J’ÉTAIS en feu.
- Y a quelque chose chez vous qui m'angoisse.
Avez vous apprécié cet extrait ? +2
date : 20-06-2015 par primevalREX
- Ma pauvre petite Suzanne ! Mon père venait ici accompagné parfois.
- Et il vous habillait en radasse dresseuse de dauphins ?
Avez vous apprécié cet extrait ? +1
date : 17-12-2013 par ezery
Voilà !!! A première vue, je ne suis qu´un vulgaire comédien de vaudeville, à qui les vicissitudes de la vie font jouer le vilain et la victime, et vice-versa. Ce visage n´est pas que le vil reflet de ma vanité, mais un vibrant vestige de la Vox Populi, aujourd´hui vacillante et vaincue. Vous devez y voir les vieux restes d´une vexation vieillissante, aussi vive que vivante, et vouée à vaincre cette vermine vulgaire, vivace, virulente et vénale qui virevolte en privant ses malheureuses victimes vaincues de la vérité et des vraies valeurs !



Le seul verdict que je vois est la vengeance : Une vendetta violente, brandie tel un ex voto et non en vain, visant à faire vaincre la vertu face à cette vilénie lovée dans les veines de vos villes. Ces vagues vocales faisant de moi un ventriloque, vociférant ces volutes verbales...

Revenons-en à l´essentiel : Je suis très honoré de vous rencontrer, et pour vous, je serai V...
Avez vous apprécié cet extrait ? +10
date : 05-11-2014 par ElijahDamon
C'est l'heure lèves-toi du lit belle endormi debout hop hop hop!
Dépêches-toi réveilles-toi ton petit déjeuné est prêt!
Regarde c'est de la bonne bouille, de la bouille de riz sourit
Hé! sors de la toi on t'as pas invité!
Avez vous apprécié cet extrait ? +1
"Oui ! Il a réussi ! En effet ce linge est plus souple, plus doux, plus blanc ! Les dieux font leur lessive avec Olympe qui laisse le linge blanc et les mains douces, douces, douces !"
Avez vous apprécié cet extrait ? +1
date : 29-12-2013 par Magenticia1789
L'âne : "Shrek c'est toi qui a fait ça ? Bon sang on prévient les gens quand on lâche une barrique, j'avais la bouche ouverte ! C’est crade.
Shrek : Nan, crois moi l'âne, si c'était moi, tu serais mort. Snif, y'a des vapeurs de souffre, on dois pas être loin du ring.
L'âne : Ouais, c'est ce qu'on dit quand on lâche une bombe..."
Avez vous apprécié cet extrait ? +4
date : 02-01-2014 par -Pauline-
Tu sais ce que tout le monde aime ? Le clafoutis. T’as déjà rencontré quelqu’un à qui tu dis : « fais péter le clafoutis ! », et qui te dit, « j’aime pas le clafoutis » ? Il n’y a rien de plus clafoutant que le clafoutis !
Avez vous apprécié cet extrait ? +11
date : 25-02-2014 par CC87
Vicky Vale : Vous êtes fou !!
Joker : Non, poisson.
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date : 21-01-2014 par Lisa-Marie
Ah cet Antoine, il fume dès qu’on l’asticote !
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date : 21-01-2014 par Lisa-Marie
Tu frapperais pas un type avec des lunettes.
Avez vous apprécié cet extrait ? +1
date : 27-12-2014 par Sergent_Keroro
Rorschach: I heard joke once: Man goes to doctor. Says he's depressed. Life seems harsh, and cruel. Says he feels all alone in threatening world. Doctor says: "Treatment is simple. The great clown - Pagliacci - is in town. Go see him. That should pick you up." Man bursts into tears. "But doctor..." he says "I am Pagliacci." Good joke. Everybody laugh. Roll on snare drum. Curtains.
Avez vous apprécié cet extrait ? +2
date : 27-12-2014 par Sergent_Keroro
Rorschach: None of you seem to understand. I'm not locked in here with you. You're locked in here with ME !
Avez vous apprécié cet extrait ? +2
date : 27-12-2014 par Sergent_Keroro
Rorschach's Journal. October 12th, 1985: Dog carcass in alley this morning, tire tread on burst stomach. This city is afraid of me. I have seen its true face. The streets are extended gutters and the gutters are full of blood and when the drains finally scab over, all the vermin will drown. The accumulated filth of all their sex and murder will foam up about their waists and all the whores and politicians will look up and shout "Save us!"... and I'll whisper "no."
Avez vous apprécié cet extrait ? +2
date : 27-12-2014 par Sergent_Keroro
Dan Dreiberg: What happened to us? What happened to the American Dream?

Edward Blake: "What happened to the American Dream?" It came true! You're lookin' at it...
Avez vous apprécié cet extrait ? +1
Hé bien des beatniks entre autres, des chanteurs de folk, des bikers, tu sais tous ces types dans le vent décontract’, sensas’ extra formid. Tout baigne dans l’huile mon pote, est ce que tu piges ? Ça va on est sur la même longueur d’ondes. Ah ouais tu m’étonnes ! Serres moi la pince mon frère !
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