Commentaires de films faits par dadotiste
Répliques de films par dadotiste
Commentaires de films appréciés par dadotiste
Répliques de films appréciées par dadotiste
Message à l'attention de Monsieur Cleaver : suis consternée par message, jupe n'est à l'évidence ni malade ni absente, suis consternée par attitude de la direction manifestement mini-jupophobe.
Signe que direction malade, pas jupe ! ... Début d'année désastreux, me suis laissée entraîner par messagerie peu protocolaire, à flirter avec vaurien de bureau.
Vais m'en tenir à ma résolution de trouver un homme bien et équilibré, vais mettre un terme à ce flirt, demain à la première heure, excellente décision !
Daniel Cleaver : Si passage devant bureau était destiné à prouver présence jupe suis forcé de conclure à échec cuisant. Cleav.
Bridget : Prière de se taire, je suis très prise : poste à responsabilités.
PS : comment oses-tu te livrer à ce harcèlement sexuel avec une telle impudence ?!
Daniel Cleaver : Message à l'attention de Jones : suis mortifié d'avoir eu propos outrageants, éviterai à l'avenir tout sous-entendu non politiquement correct, me confonds en excuse.
PS : mignons tes seins dans ce petit pull !
Bridget : ... ne pas tirer de conclusions hâtives de tout ça ... Tadatada, ta-da-ta-da ...
Daniel Cleaver : Et tout est parti d'un échange de mails tout à fait irresponsables à propos d'une jupe ... inexistante !
numéro 2 : mettrai toujours slip de la veille dans panier à linge. Tout aussi important, trouverai petit ami sympa et équilibré avec qui sortir et cesserai de nouer lien amoureux avec tout individu entrant dans les catégories suivantes :
alcoolique,
bourreau de travail,
phobique de l'engagement,
mégalomane,
voyeur,
enfoiré affectif,
pervers.
Et plus particulièrement, ne fantasmerai pas sur une certaine personne, qui est la synthèse de tout ça ...
Je hais ta façon de conduire, et de me regarder dans les yeux.
Je hais tes stupides bottes d'armé et ce que tu devines en moi.
Je te hais au point d'en crever et même de te tuer parfois.
Je hais ta façon d'avoir raison, tes histoires inventées.
Je te hais quand tu me fais rire davantage quand tu me fais pleurer.
Je te hais quand tu n'es pas là et que tu es Dieu sais où.
Mais je hais surtout de ne pas te haïr. Ni un seul instant, ni une seule minute, ni meme du tout.
Andy : Non.
Miranda : Et donc vous n’aviez jamais entendus parler de moi ?
Andy : Non.
Miranda : Vous n’avez aucune classe, aucun style...
Andy : Ah ça, je pense que ça dépend...
Miranda : Non, non ! Ce n’était pas une question !
- Qui est très justement entrain de s'égarer très au sud de ma taille...
- Oups, pardon, j'ai perdu de l'altitude..."
Ils savent pas la chance qu’ils ont ! Être juste comme ça, insouciant dans Paris...
Sa mère : Pourquoi?
Une ado : Parce que Papa il m’aime trop
Une ado : Oui mais c’était un beau portable !
Une ado : Ben après j’lui demande de me le rendre, elle m’fait : « ben si tu veux le récupérer, faut que tu suces mes copains... » Bon ok !
Sue Ellen : Ok ? Ok quoi ?
Une ado : Bah pour sucer les mecs pour mon téléphone !
Sue Ellen : Mais t’y tenais vraiment beaucoup à ce portable ?!
Une ado : Bah ouais quand même !
Fred : Et pour un ordinateur tu fais quoi ?
- Je travaille à mi-temps à l'église, dites-moi combien il vous doit, je vais rembourser.
- Un million trois cent mille dollars.
François Pignon : Quelle collaboratrice ?
Pierre Brochant : Ma femme ! Je vous ai dit qu'il avait écrit un bouquin avec elle !
François Pignon : Mais oui exact, ok d'accord... Excusez-moi.
Pierre Brochant : Non ça marchera jamais.
François Pignon : Mais siii ! J'ai compris, C'est pas simple, mais j'ai compris !
Pierre Brochant : Mais quoi c'est pas simple ? C'est tout simple ! Vous êtes producteur, ok ?!
François Pignon : Ok ok.
Pierre Brochant : Vous avez une maison de production à Paris. Non pas à Paris, il connait tout le monde. Vous êtes un producteur étranger...
François Pignon : Ok, Américain...Allemand...?
Pierre Brochant : BELGE. Voilà c'est parfait ça, belge.
François Pignon : Pourquoi belge ?
Pierre Brochant : Parce que c'est très bien belge. Vous êtes un gros producteur belge, vous avez lu "le petit cheval de manège",c'est le titre du roman et vous voulez lui acheter les droits pour le cinéma, ok ?!
François Pignon : C'est un bon livre ?
Pierre Brochant : Très mauvais, quelle importance ?
François Pignon : Ça m'embête un peu ça.
Pierre Brochant : Pourquoi ?
François Pignon : Si le bouquin est mauvais, pourquoi j'irai acheter les droits ? Ahahahahahaha !!!
Pierre Brochant : Monsieur Pignon ?
François Pignon : Oui...
Pierre Brochant : Vous n'êtes pas producteur ?
François Pignon : Non !
Pierre Brochant : Vous n'êtes pas belge, non plus ?
François Pignon : Ah non !
Pierre Brochant : Ce n'est donc pas pour acheter les droits du livre que vous téléphonez, mais pour essayer de savoir où est ma femme !
François Pignon : Ouuuh....Alors ça c'est très tordu mais bougrement intelligent !
Pierre Brochant : J'ai pas de sœur.
François Pignon : Vous n'avez pas de sœur ? Je lui ai dit : "Qui est à l'appareil ?" Elle m'a dit "Sa sœur"
Pierre Brochant : Il a appelé Marlène !
François Pignon : C'est pas votre sœur ?
Pierre Brochant : C'est son nom Sasseur ! Marlène Sasseur !
François Pignon : Ah bon, il n’a pas de prénom ?
Pierre Brochant : Je viens de vous le dire Juste Leblanc... Votre prénom c’est François, c’est juste ? Eh bien lui c’est pareil, c’est Juste.
François Pignon : ...
Je sais pas si c'était obligatoire que le monde devienne ça.
Tout est compliqué, mal foutu, pas rangé.
Avant, y avait des champs avec des vaches, des poules. Tout était beaucoup plus simple, j'imagine.
Avant, on avait un rapport direct aux choses.
Dans le monde de Martine, on avait des animaux, on bouffait ce qu'on faisait pousser, on se construisait ses vêtements, sa maison.
À la ferme, la vie était simple pour Martine.
Des fois, je me demande pourquoi on a quitté le monde de Martine.
La mère de Xavier : Ah oui, il est à la fac.
Wendy : What ? La fuck ?!
Je suis pas un, mais plusieurs.
Je suis comme l'Europe, je suis tout ça.
Je suis un vrai bordel.
Voilà, plus tard on aura habité cette ville, on aura marché dans ses rues, on aura été au bout des perspectives, on aura connu ses bâtiments, on y aura vécu des histoires avec des gens.
Quand on aura vécu dans cette ville, cette rue on l'aura pris dix, vingt, mille fois.
Au bout d'un moment, tout ça vous appartient parce qu'on y a vécu.