Commentaires de films faits par dadotiste
Répliques de films par dadotiste
Commentaires de films appréciés par dadotiste
Répliques de films appréciées par dadotiste
Pumbaa : C'est à moi qu'tu parles ?!
Timon : Oh ! Il le traître de porc !
Pumbaa : C'EST A MOI QU'TU PARLES ?!!
Timon : Erreur fatale !
Pumbaa : C'EST A MOI QU'TU PARLES ?!!!
Timon : Ça va chauffer !
Pumbaa : On m'appelle MONSIEUR Porc !!!
Je hais ta façon de conduire, et de me regarder dans les yeux.
Je hais tes stupides bottes d'armé et ce que tu devines en moi.
Je te hais au point d'en crever et même de te tuer parfois.
Je hais ta façon d'avoir raison, tes histoires inventées.
Je te hais quand tu me fais rire davantage quand tu me fais pleurer.
Je te hais quand tu n'es pas là et que tu es Dieu sais où.
Mais je hais surtout de ne pas te haïr. Ni un seul instant, ni une seule minute, ni meme du tout.
Lumière !"
- Je travaille à mi-temps à l'église, dites-moi combien il vous doit, je vais rembourser.
- Un million trois cent mille dollars.
Nous lisons et nous écrivons de la poésie parce que nous faisons partie de la race humaine ; et que cette même race foisonne de passions. La médecine, la loi, le commerce et l’industrie sont de nobles occupations, et nécessaires pour la survie de l’humanité.
Mais la poésie, la beauté et la dépassement de soi, l’amour : c’est tout ce pour quoi nous vivons.
Écoutez ce que dit Whitman : « Ô moi ! Ô vie !... Ces questions qui me hantent, ces cortèges sans fin d’incrédules, ces villes peuplées de fous.
Quoi de bon parmi tout cela ? Ô moi ! Ô vie ! ».
Réponse : que tu es ici, que la vie existe, et l’identité.
Que le spectacle continue et que tu peux y apporter ta rime.
Que le spectacle continue et que tu peux y apporter ta rime... Quelle sera votre rime ?"
François Pignon : Ah bon, il n’a pas de prénom ?
Pierre Brochant : Je viens de vous le dire Juste Leblanc... Votre prénom c’est François, c’est juste ? Eh bien lui c’est pareil, c’est Juste.
François Pignon : ...
Philippe : Nan ça c’est des bas de contention, si je les mets pas je risque de m’évanouir...
Driss : Moi je vais pas vous mettre des bas !! Même pour vous vaut mieux vous évanouir franchement ! Un moment donné faut... on dit non !!
Zazu : Monsieur Bec de banane, Peluche.
Mr Preskovitch : Non non, c'est Kloug.
Sanka : Je fume pas, j’expire !!
Thérèse : Non Pierre c'est un gilet.
Pierre : Ah oui, ah bah bien sûr, ah mais alors mais bien sûr c'est un gilet, y'a des trous plus grands pour les bras. [...] Ecoutez si vous saviez comme ça tombe bien, jme disais encore hier qu'il manquait quelque chose pour descendre les poubelles ! Je suis ravi Thérèse.
Mr Preskovitch : C'est une fabrication artisanale [...] Oui oui c'est fait à la main, c'est roulé à la main sous les aisselles.
- Qui est très justement entrain de s'égarer très au sud de ma taille...
- Oups, pardon, j'ai perdu de l'altitude..."
Kit : Un nom, elle veut un nom, mais j’en sais rien moi... Cette salope de Cendrillon ?!
Pierre Brochant : J'ai pas de sœur.
François Pignon : Vous n'avez pas de sœur ? Je lui ai dit : "Qui est à l'appareil ?" Elle m'a dit "Sa sœur"
Pierre Brochant : Il a appelé Marlène !
François Pignon : C'est pas votre sœur ?
Pierre Brochant : C'est son nom Sasseur ! Marlène Sasseur !
Une ado : Ben après j’lui demande de me le rendre, elle m’fait : « ben si tu veux le récupérer, faut que tu suces mes copains... » Bon ok !
Sue Ellen : Ok ? Ok quoi ?
Une ado : Bah pour sucer les mecs pour mon téléphone !
Sue Ellen : Mais t’y tenais vraiment beaucoup à ce portable ?!
Une ado : Bah ouais quand même !
Fred : Et pour un ordinateur tu fais quoi ?
- Patience."
La vendeuse : Je crois qu’il est à 30 000 euros, mais je peux vérifier si vous voulez.
Driss : Ouais vaut mieux vérifier quand même ! Ça me parait exagéré comme prix.
Vous allez pas acheter cette croûte là à 30 000 euros ? Le mec il a saigné du nez sur un compo et il d’mande 30 000 euros ?
Philippe : Aller arrêtez de dire n’importe quoi et donnez-moi un chocolat.
Driss : Nan.
Philippe : Donnez-moi un chocolat.
Driss : Pas d’bras, pas d’chocolat.
Philippe : ...
Driss : C’est une vanne, hein ! Nan mais je déconne !