Gérard Pirès
Réalisateur
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Quelques chiffres
Note moyenne : 6.54/10Nombre d'évaluations : 248
0 Citations 54 Commentaires sur ses films
Dernier film
de Gérard Pirès
Sortie France : 2005-11-09
Les derniers commentaires sur ses films
Un bon film, au début je ne voulais vraiment pas le voir mais au final il est bien.
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Un bon divertissement, un duo qui fonctionne plutôt bien, des personnages très différents mais pas juste des décérébrés, il n'en faut pas beaucoup pour une comédie qui passe bien.
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Très tres très bon film mais sans trop d'accroche
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Ce premier film est vraiment super j’adore les acteurs qui joue dedans et j'adore l'adrénaline et l'humour apporté
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Le commencement.... rencontre avec Daniel et Émilien, sa vaut le détour. Ils vont former un duo pour démanteler le gang des allemands
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un bon film un bémol pour le fait qu'il n'y ait pas de sous titres quand les personnages parlent étranger mais certaines répliques sont bien marrantes. Après c'est une histoire de bons et de méchants dans laquelle les méchants perdent à la fin mais ça ne me pose pas de problème c'est aussi pour ça qu'on le regarde, qui a envie que les gentils perdent?
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Bon, je ne suis pas fan d’avion (j’ai même pas aimé Top Gun, c’est dire).
Pis je connais pas Tanguy et Laverdure (qui ont un rapport tellement lointain apparemment qu’il n’y a pas de rapport).
Je partais donc avec un handicap. Renforcé par le scénario.
Petites blagues machos, on se connaît pas mais on couche ensemble, quelques phrases testostéronées parce qu’on est des vrais mecs, petites blagues lourdes, on se déteste mais on couche ensemble, on te vire comme ça mais on vient te rechercher comme ça… Un peu entre tout ça, on met des avions qui volent, ouh là, là, ça va vite, ça tangue, ça tourne. Une ou deux explosions. Un plan tarabiscoté avec un retournement de situation qui ne fonctionne pas.
Hop, torché.
Le moins qu’on puisse dire, c’est que je ne suis pas rentré dans le trip…
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Bon, je ne suis pas fan d’avion (j’ai même pas aimé Top Gun, c’est dire).
Pis je connais pas Tanguy et Laverdure (qui ont un rapport tellement lointain apparemment qu’il n’y a pas de rapport).
Je partais donc avec un handicap. Renforcé par le scénario.
Petites blagues machos, on se connaît pas mais on couche ensemble, quelques phrases testostéronées parce qu’on est des vrais mecs, petites blagues lourdes, on se déteste mais on couche ensemble, on te vire comme ça mais on vient te rechercher comme ça… Un peu entre tout ça, on met des avions qui volent, ouh là, là, ça va vite, ça tangue, ça tourne. Une ou deux explosions. Un plan tarabiscoté avec un retournement de situation qui ne fonctionne pas.
Hop, torché.
Le moins qu’on puisse dire, c’est que je ne suis pas rentré dans le trip…
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je le trouve bien mais cela manque d'action
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J'adore ce film ! Je le regarde depuis que je suis petite et je ne m'en lasse pas. C'est culte, c'est drôle et les répliques sont quand même géniales. À voir et revoir sans modération !
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de Gérard Pirès
Sortie France : 2005-11-09
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Dédicaces de Gérard Pirès
et autres évènements
Aucun évènement prévu
Studios
Filmguard Productions Inc. : 1 film
Films des deux-mondes : 1 film
Capitole Films : 1 film
Gaumont International : 1 film
Les Films du Jeudi : 1 film
Lira films : 1 film
Cathala Productions : 1 film
Selta Films : 1 film
Biographie
Réalisateur né le 31 aout 1942 à Paris. Après avoir débuté dans le cinéma comme assistant de Michel Deville sur Martin soldat (1966) et réalisateur du court métrage Un misanthrope (id.), Gérard Pirès met en scène en 1968 son premier long, Erotissimo, dans lequel Annie Girardot tente de ressembler aux mannequins des magazines de mode. Trois ans plus tard, il s'offre un joli casting - Lino Ventura, Jean Yanne et Mireille Darc - pour sa seconde comédie, Fantasia chez les ploucs, l'adaptation d'une série noire de Charles Williams.
Après le succès de Elle court, elle court la banlieue (1972), qui mêle fantaisie et réalisme, Gérard Pirès change radicalement de registre en dirigeant Claude Brasseur dans le très sombre L'Agression (1975), film auquel collabore le romancier Jean-Patrick Manchette. Surfant sur l'actualité - la classification des films X -, il réalise ensuite Attention les yeux !, une comédie légère sur le milieu de la pornographie. Ses films suivants, L'Ordinateur des pompes funèbres (1979) et L'Entourloupe (1980), ne trouvent cependant pas leur public, et ce malgré leurs distributions alléchantes...
Un malheur n'arrivant jamais seul, Gérard Pirès est victime, au début des années 80, d'un grave accident de moto. S'éloignant quelque peu du monde du cinéma, il réalise au cours de la décennie plus de 400 spots publicitaires dont plusieurs pour la marque Peugeot. Passionné de sports automobiles, il revient en force en 1998 avec Taxi, écrit pour lui par Luc Besson. Fort de ce succès public que viennent cautionner 6 millions d'entrées en France, il tente sa chance à l'étranger en réunissant en 2002 un casting international, notamment composé de Stephen Dorff et Natasha Henstridge, pour Riders, une série B peu convaincante.
Deux ans plus tard, Gérard Pirès confirme son penchant pour la comédie et l'action en signant coup sur coup Double zéro, une parodie des films d'espionnage emmenée par les turbulents Eric et Ramzy, et Les Chevaliers du ciel (2005), transposition à l'écran de la célèbre bande dessinée créée par Albert Uderzo et Jean-Michel Charlier.
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