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En 1957, un jeune garçon nommé Jason Voorhees meurt noyé au camp de Crystal Lake. L'année suivante, deux moniteurs sont également tués. Suite à ces événements, le camp reste abandonné.
En 1980, Steve Christy décide de le rouvrir un vendredi 13, jour anniversaire des décès survenus vingt-trois ans plus tôt. Lors de la préparation du camp pour l'été, les moniteurs employés par Christy commencent à disparaître les uns après les autres pendant la nuit.
Vendredi 13 a le charme désuet des films du début des années 80 (fin 70 inclus) et il faut garder à l'esprit cette date de création pour le voir. Il y a ces langueurs (avec un a) typiques de l'époque et loin de la fébrilité et des effets actuels. Une fois cela en tête, on passe un bon moment. Vendredi 13 surfe sur le succès d'Halloween mais n'est pas Carpenter qui veut et les silences pesants, les longueurs où l'on laisse entendre que l'assassin n'est pas loin ne sont que des silences et des longueurs, sans le charme de ceux de Carpenter... Cependant, les meurtres, s'ils sont discrets à l'écran (aujourd'hui, avec sa caméra, tout le monde est probablement capable de les réaliser) sont cependant variés (relativisons toujours : nous ne sommes pas dans Destination Finale) : il y a du couteau, de la hache, des flèches (laissant entendre qu'en plus d'être résistant, le meurtrier est doué en tout). Egalement varié dans les prises de vue : on est tantôt l'assassin assassinant sa proie, tantôt la proie assassinée. Parfois, on n'a pas vu le meurtre et on ne trouve que le cadavre... Vendredi 13 commence aussi très rapidement mais garde le rythme contrairement à des films commençant par une scène choc pour accrocher avant de sombrer en attendant la suite. L'ambiance très sombre (ce que ces fils électriques sont mal fichus) est renforcée par une bande son qui n'est en effet pas sans rappeler Psychose... Enfin, l'histoire - en tout cas pour moi - est suffisamment accrocheuse pour nous donner envie de savoir qui est le meurtrier (on est en 1980, rappelons-le, il y a déjà eu des trucs pire à l'époque dans des tas de série...). La révélation de celui-ci est d'ailleurs assez flippante (si on se met dans l'ambiance en s'imaginant tomber devant cette personne à deux voix, il y a de quoi frissonner). Pour résumer, un film qui ne supporte pas les effets et le dynamisme des films d'aujourd'hui mais qui, vu en se replongeant dans le contexte, reste une très honorable distraction réservant ses quelques sursauts.
C'est des début plutôt corrects, bien avant que la saga parte complètement en cacahuète.
Correct, c'est pas non plus fantastique, il manque déja le plus important dans un slasher : Un tueur mémorable.
Mais il arrivera bien assez tôt, pour le moment ça pose les bases de la saga, nous raconte l'histoire de Jason (dénommé jacky chez moi, je sais pas si ça vient de ma version) et nous prépare bien aux autres films.
En plus c'est pas désagréable, les scène de meurtres sont bien dosés, la musique passe bien, bon il y a juste au niveau de l'éclairage que ça pèche on voit pas grand chose grand chose.
j'ai trouvée ce film bien mais il n'est pas non plus génial...
hum certaines scènes sont un peu lourdes, ca fait un cliché... sinon les scènes drôles il y en avait quelques unes ce qui rendaient le film un peu absurde.
J'ai vu le remake il y a deux-trois ans avant de voir l'original, et oh! quelle erreur de ma part. J'ai détesté le remake. Et j'ai adoré l'original.
C'était hilarant et très effrayant. La musique est extrêmement bien placée, les sauts sont inattendus. C'était certes un peu stupide (surtout les décisions des personnages…) mais c'est ce qui rendait ce film encore plus absurde.
Je vais assurément regarder les autres de la série.
Synopsis
En 1957, un jeune garçon nommé Jason Voorhees meurt noyé au camp de Crystal Lake. L'année suivante, deux moniteurs sont également tués. Suite à ces événements, le camp reste abandonné.
En 1980, Steve Christy décide de le rouvrir un vendredi 13, jour anniversaire des décès survenus vingt-trois ans plus tôt. Lors de la préparation du camp pour l'été, les moniteurs employés par Christy commencent à disparaître les uns après les autres pendant la nuit.
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