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The Doom Generation



Description ajoutée par HoneyMoony 2022-04-04T15:25:39+02:00

Synopsis

Deux adolescents amoureux l'un de l'autre, Amy Blue et Jordan White, tuent le temps comme ils le peuvent, cherchant dans la drogue et les boîtes de nuit un peu du plaisir que la vie leur refuse.

Leur rencontre avec l'énigmatique Xavier Red va bouleverser leur existence. Peu à peu, les deux jeunes gens se laissent glisser dans la délinquance. Le meurtre du gérant d'une superette les fait définitivement basculer dans une fuite sans fin.

Amy et Jordan, mis en jambes, assassinent ensuite un ancien soupirant de la belle. Les cadavres s'alignent derrière eux. La police les traque mais c'est un groupe de jeunes fascistes qui finira par les trouver...

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Classement en cinéthèque - 28 spectateurs

réplique

Réplique ajouté par kaminari 2014-02-19T19:43:44+01:00

Xavier Red: You want a Dorito?

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Commentaires récents

Commentaire ajouté par OwlyElisa 2024-03-14T01:16:56+01:00
Pas apprécié

C’est encore un de ces films que je qualifierais de « what the fuck ?! ». Horrible et douloureux à regarder du début à la fin. La question est de savoir POURQUOI ?! Oh pourquoi un tel film ?!

J’en ai des nausées rien que d’y repenser ! Au secours !

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Commentaire ajouté par Lyran 2023-10-18T17:04:57+02:00
Bronze

Ce film est déroutant. Le ton est décalé, le scénario surréaliste, et si on essaye de le prendre au premier degré, on n’y saisit pas grand-chose. Évidemment, le fait que les protagonistes soient dans un état de conscience altéré suite à la prise de drogues interroge sur la véracité de ce qui se déroule, mais comme toutes les bizarreries sont acceptées comme normales par les personnages (une tête décapitée qui parle, des personnes aléatoires qui reconnaissent toutes Amy) ou bien s’intègrent naturellement à l’arrière-plan (la récurrence du nombre 666, les posters aux slogans étranges), on finit par arrêter de questionner cette réalité. On se laisse porter par l’ambiance psychédélique de ce road trip cauchemardesque, et même si on ne comprend pas tout, on ne s’ennuie pas. Ceci grâce à deux choses : des dialogues rythmés et inventifs dans leur vulgarité, et le caractère outrancier des scènes, qui poussent toujours plus loin la violence et la sensualité.

Visuellement, j’ai adoré le travail de l’esthétique kitsch et crasseuse. Les lumières sont colorées de manière radicale, avec des scènes entièrement éclairées en rouge ou en bleu. Les décors sont fantaisistes, comme cette chambre de motel intégralement recouvertes de motifs de damiers. Et il y a des trouvailles ingénieuses dans les costumes et accessoires, qui reflètent le caractère des personnages : une succession de lunettes de soleil pour Amy, qui refuse de se dévoiler, un yoyo lumineux pour le naïf Jordan, une ceinture avec une boucle ornée d’une image stéréoscopique pour Xavier le séducteur…

J’ai eu un peu de mal au départ avec le jeu des personnages, qui pris séparément, sont assez clichés. Ce sont leurs interactions les uns avec les autres qui les rendent intéressants et plus nuancés : notamment Amy, mordante et agressive, qui s’adoucit dès qu’elle est seule avec Jordan. Dans la dynamique du trio, c’est surtout Xavier qui initie l’action, en commettant le premier meurtre et en jouant le rôle du tentateur aussi bien pour Jordan que pour Amy.

Le ton du film est ironique et s’inscrit dans une démarche un peu canaille. En effet, placé au début, un panneau nous affirme qu’il s’agira d’un "heterosexual movie" – ce qui détonne par rapport à la filmographie d’Araki. On comprend cependant assez vite le sarcasme qui se cache derrière cette annonce : bien qu’on suive au départ un couple hétéro, et que chaque rapport sexuel implique Amy et l’un des garçons, c’est pourtant bien la relation entre Xavier et Jordan qui sous-tend la dramaturgie du film. Spoiler(cliquez pour révéler)Chacune de leurs scènes joue avec un sous-texte homoérotique palpable, allant toujours un peu plus loin dans la suggestion et jouant avec les attentes du spectateur… jusqu’à ce que cette relation soit interrompue avec une extrême violence au moment où elle allait être consumée. La scène finale est perturbante : viol, mutilation et néo-nazis au son de l’hymne américain, elle ne fait pas de concession dans son atrocité. Filmée avec un effet de lumière stroboscopique, elle augmente la tension via cette frénésie visuelle, qui ne cache même pas vraiment les actes de violence commis au cours du massacre.

Au final, quelle est cette génération condamnée que nous annonce le titre ? Nos trois protagonistes, clichés d’une jeunesse en perdition, se font écraser par une société qui juge et incrimine. Amy est constamment harcelée par des personnes qui la reconnaissent comme leur amour perdu et cherchent à se l’approprier ; sa simple existence la met en danger (une exagération pertinente de l’expérience féminine). Quant aux garçons, le moindre faux pas en dehors des codes de la masculinité est sévèrement puni. La découverte de la sexualité apparaît comme quelque chose de transgressif, voir même diabolique (Amy compare Xavier à un démon), et l’omniprésence des références religieuses constitue un énième poids moralisateur. Bien sûr, l’homosexualité incarne la faute ultime, Spoiler(cliquez pour révéler)et c’est elle qui est le plus sévèrement punie avec l’émasculation puis le meurtre de Jordan.

Araki nous dépeint ainsi la société américaine sous ses pires aspects : anti-libertaire, ultraviolente, homophobe et flirtant avec le fascisme.

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Commentaire ajouté par princessevoiture 2016-06-22T15:56:32+02:00
Diamant

Le film n'est clairement pas tout publics, il ne s'impose aucune limite et part très loin dans son délire qui est quand même loin d'être banal. Les acteurs sont très bons, très naturels et l'esthétique est assez particulière.

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Commentaire ajouté par Beka_B 2014-03-30T18:03:56+02:00
Vu aussi

un peu mieux que "nowhere" mais franchement chiant.

Acheté et vu pour Rose McGowan , je l'ai vu c'est bien , je ne le re-regarderai pas

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Commentaire ajouté par kaminari 2014-02-19T20:36:58+01:00
Argent

Ce film est destroy comme il faut ! C'est plus du splatter, c'est du slasher hardcore, et pour saigner, ça saigne, mais ça le fait. Pour une fois, l'intrigue n'est pas trop planante, ça fait mal mais les choses gardent un sens : j'aime bien. Et puis c'est intéressant de voir comment évoluent les personnages symétriques de Jordan et Xavier; je dirais que pris entre Xavier et Amy, Jordan n'avait pas cent cinquante destins possibles, mais vraiment, quel film, et quelle fin ! À connaître au moins pour le fun, et pour la picturalité impressionnante de certaines images.

J'ai perçu comme une allusion à "Massacre à la Tronçonneuse" dans le dernier tiers du film, mais c'est peut-être un simple jeu de l'esprit. Et des répliques vaguement shakespeariennes par moments, aussi !

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Date de sortie

The Doom Generation

  • France : 1995-11-15 (Français)

Activité récente

Lyran l'ajoute dans sa cinéthèque bronze
2023-10-03T21:10:34+02:00
phee l'ajoute dans sa cinéthèque envies
2021-03-03T22:16:50+01:00

Évaluations

Editeurs

Les chiffres

spectateurs 28
Commentaires 5
répliques 4
Evaluations 9
Note globale 5 / 10

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