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Le narrateur, sans identité précise, vit seul, travaille seul, dort seul, mange seul ses plateaux-repas pour une personne comme beaucoup d'autres personnes seules qui connaissent la misère humaine, morale et sexuelle. C'est pourquoi il va devenir membre du Fight club, un lieu clandestin ou il va pouvoir retrouver sa virilité, l'échange et la communication. Ce club est dirigé par Tyler Durden, une sorte d'anarchiste entre gourou et philosophe qui prêche l'amour de son prochain.
J'adore ce film, je vous expliquerais bien pourquoi, mais la première règle du Fight Club est : il est interdit de parler du Fight Club...
Plus sérieusement, je crois qu'il est impossible d'expliquer pourquoi on aime ce film. Son ambiance et son humour sont si particuliers que quoi on en dise, on n'arrivera jamais à faire comprendre à quelqu'un se qu'on ressent en le regardant. Et surtout en le re-regardant.
Car personnellement, c'est plus mes revisionnages que mon visionnage initial qui font que j'aime tant ce film. Je l'ai d'ailleurs vu un paquet de fois, on pourrait se dire que j'ai largement fait le tour... et non! J'y découvre encore des éléments nouveaux, qui nous renseignent parfois vraiment très bien sur la fin du film, et pourtant j'avais juste rien vu venir la première fois. Un vrai coup de maitre, à mon sens.
Un film déroutant qui aborde des thématiques sociétales : la société de consommation, l'insignifiance de la vie d'adulte : le vide moral, sexuel et même spirituel.
J'ai du mal à comprendre que ce soit un film culte (bien que la majorité des films cultes soient nuls en tout cas c'est l'impression que j'ai). C'était sans intérêt, long, le scénario brouillon et avec beaucoup de trop de grossièreté
Un classique du cinéma que je me devais absolument de voir. Malheureusement je n'ai pas été surprise par le retournement de situation, car on m'avait spoilée, mais j'ai quand même apprécié comprendre à quel point le personnage principal était tortueux.
J’ai adoré l’ambiance de ce film, avec ces personnages déjantés et clairement au bord du précipice. Edward Norton et Brad Pitt forment un duo inattendu et explosif. La fin m’avait vraiment retourné le cerveau, c’était juste incroyable.
J'ai vraiment besoin de revoir ce film car je n'ai pas compris le dénouement à l'époque... J'étais restée sur ma faim, mais vu l'engouement de ce film, ça mériterait de le voir une seconde fois !
Il fait certainement partie des films qui ne laissent pas indifférents. Non seulement par le traitement de l'histoire, par son twist, par le montage ingénieux des plans, mais aussi par les messages qu'il délivre sur la société de consommation, par sa violence… Porté par un très bon casting et une musique à la hauteur de cette ambiance à la fois sombre et rythmée, "Fight Club" est une bonne surprise ! À voir et à revoir pour les innombrables détails qui, au vu des autres commentaires, semblent se glisser dans ce film.
Synopsis
Le narrateur, sans identité précise, vit seul, travaille seul, dort seul, mange seul ses plateaux-repas pour une personne comme beaucoup d'autres personnes seules qui connaissent la misère humaine, morale et sexuelle. C'est pourquoi il va devenir membre du Fight club, un lieu clandestin ou il va pouvoir retrouver sa virilité, l'échange et la communication. Ce club est dirigé par Tyler Durden, une sorte d'anarchiste entre gourou et philosophe qui prêche l'amour de son prochain.
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