Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Cinéphile,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Nos publicités sont spécifiquement choisies pour être en harmonie avec notre contenu, centré sur le cinéma. Elles sont non intrusives et peuvent vous connecter avec des opportunités pertinentes et passionnantes dans le monde du cinéma. En bloquant ces publicités, vous limitez non seulement une source de revenus essentielle pour nous, mais vous risquez également de manquer de précieuses informations de l'industrie cinématographique.

Pour que vous puissiez continuer à profiter de nos articles, revues et nouveautés du monde du cinéma, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités spécifiquement pour notre site.

Une fois que vous avez désactivé votre bloqueur de publicités, veuillez cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page et poursuivre votre exploration de l'univers cinématographique.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe CineNode

Films
59 572
Membres
42 412

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de Cinenode

Commentaires de films faits par Libertad

Répliques de films par Libertad

Commentaires de films appréciés par Libertad

Répliques de films appréciées par Libertad

date : 14-01-2014
Iago : Regarde ça ! Regarde ça ! Chaque fois que j'déprime ça m'déplume !!!
Jafar : Patience Iago... Patience ! Dazim n'était pas digne d'y entrer...
Iago : Oh !! Oh ben ça c'est une surprise !! Oh c'est incroyable, j'crois bien que je vais crever d'une crise cardiaque tellement c'est surprenant !! Qu'est-ce qu'on va faire maintenant ! Oh on a un super problème là, un Supmmmm... [Jafar lui pince le bec]
Jafar : Ouiiii. Un seul humain pourra entrer... Il me faut trouver ce... Diamant d'innocence...
Avez vous apprécié cet extrait ? +3
date : 14-01-2014
Tony : Sale gueule ce mec...
Manny : Ah oui.
Tony : Tu dis à tes gars de Miami, que ton copain, que ce sera avec plaisir, quand je tue un communiste, j'ai le fou rire, mais pour le statut d'immigré, lui je vais lui faire une belle boutonnière...
Avez vous apprécié cet extrait ? -1
date : 14-01-2014
Tony : Mon père il était un Américain Uni. Comme toi tu es. Il était Yankee. Avec lui j'ai beaucoup été aux films tu sais, j'étudie, j'ai bien regardé l'acteur Humphrey Bogart, James Cagney... Eux, c'est eux qui m'apprennent à parler ! J'adore ces gars.
Avez vous apprécié cet extrait ? -1
date : 14-01-2014
Lopez : Eh Tony, si tu te trouvais une fille à toi ?
Tony : A moi tout seul ?
Lopez : Oui.
Tony : C'est bien ce que je fais, Franck.
Lopez : Bon, mais alors tu le fais ailleurs, fous le camp !
Elvira : Franck !
Tony : Y'a des moments où je suis très très dur d'oreille...
Lopez : Tu n'entendras plus rien du tout si tu continues sur ce ton.
Tony : Pourquoi ? Tu vas changer quelque chose ?
Lopez : Oh putain oui, ça va changer, et comment !! D'abord j'te donne un ordre, barre-toi !
Tony : Un ordre ? Tu me donnes un ordre à moi ? Amigo, la seule chose dans ce monde qui les donne les ordres, c'est le manche ! Tu as le manche ? Le manche et les couilles...
Avez vous apprécié cet extrait ? -1
date : 14-01-2014
Julien [enfant, narrateur] : J'aime bien les osselets ! Le Monopoly, mais, seulement quand je tiens la banque. J'adore jouer aux billes, je gagne tout le temps, le jeu de l'oie, c'est franchement débile, enfin, toujours moins que les dames, le rubiscube et toutes ces conneries des pays de l'est ! Les devinettes ? C'est pas mon truc, yams, crapette, marelle c'est ok. Oh, le chat perché ? Ça passe encore ! Mais ça s'arrête là ! Mais il y'a un jeu, auquel il ne faut jamaiiiis jouer ! Je dis bien JA-MAIS ! Même si c'est votre meilleur ami qui vous le propose. C'est de se faire enssevelir dans un bloc de béton ! Ce jeu il a commencé avec une jolie maison, un joli bus, sans chauffeur, une jolie boite et une jolie copine. Non, en fait ça a commencé avant, ça a commencé par un mot dégoûtant, qui veut rien dire du tout, un mot comme... Métastase... N'importe quoiiiii. Pourquoi pas Mammouth tant qu'il y est ! Et puis, y'a aussi d'autres mots pas sympas, comme... Kowalski ! Oh, cherche pas, ça veut rien dire non plus. Kowalski pue aussi, ou encore, sale polack, sans oublier, sale polack tête à claques. Mais tout ça, ça veut dire à peu près la même chose. Ça veut dire, j'ai mal, j'ai mal comme personne d'autre sur terre, sur mars et même sur Altair 4.
Avez vous apprécié cet extrait ? +2
date : 14-01-2014


Julien [narrateur] : Sacrée Sophie, le jeu avait repris sur les chapeaux de roue.

Du bonheur à l'état pur, brut, natif, volcanique, quel pied ! C'était mieux que tout.

Mieux que la drogue, mieux que l'héro, mieux que la dope, coke, crack, fix, joint, shit, shoot, snif, pét, ganja, marie-jeanne, cannabis, beyh, peyotl, buvard, acide, LSD, ectasy ...

Mieux que le sexe, mieux que la fellation, 69, partouze, masturbation, tantrisme, kama-sutra, brouette thaïlandaise. Mieux que le nutella au beurre de cacahuètes et le milk-shake banane. Mieux que les trilogies de George Lucas, l'intégrale des Muppet Show, la fin de 2001.

Mieux que le déhanché d'Emma Peel, Marilyn, la Schtroumpfette, Lara Croft, Naomi Campbell et le grain de beauté de Cindy Crawford. Mieux que la face B d'Abbey Road, les solos d'Hendrix.

Mieux que le petit pas de Neil Armstrong sur la Lune, le Space Mountain, la ronde du père Noël, la fortune de Bill Gates, les transes du Dalaï Lama, les NDE, la résurrection de Lazare, toutes les piqouzes de testostérone de Schwarzy, le collagène dans les lèvres de Pamela Anderson,

mieux que WoodStock et les rave partys les plus orgasmiques,

mieux que la défonce de Sade, Rimbaud, Morrison et Castaneda.

Mieux que la liberté, mieux que la vie.
Avez vous apprécié cet extrait ? +9
date : 14-01-2014
Aron : [Entrain de se filmer en voiture] On est vendredi soir, le 25 avril 2003. J’entre dans le parc national de Canyonlands ; il n’ya que moi, la musique et la nuit. Ça va être fun.
Avez vous apprécié cet extrait ? +2
César : La pudeur, c'est quand on est mal foutu, comme moi. Un type bien batti n'est jamais pudique. La pudeur c'est une qualité inventée par les gros pour pas qu'on s'moque de moi.
Avez vous apprécié cet extrait ? +1
César : La pudeur, c'est quand on est mal foutu, comme moi. Un type bien batti n'est jamais pudique. La pudeur c'est une qualité inventée par les gros pour pas qu'on s'moque de moi.
Avez vous apprécié cet extrait ? +1
César : Je m'appelle César, mon pére voulait m'appeller Romain, ma mére préférait Jules, ils ont donc trouvé un terrain d'entente : César. J'ai su trés vite qui était César et j'ai constaté qu'il y'a plus de chiens que d'hommes qui portent ce prénom.
Avez vous apprécié cet extrait ? +1
Aki : Ne m'abandonne pas !
Gray : Depuis le temps que tu veux me convaincre que la mort n'est la fin de tout, ne te renie pas alors que je commence enfin à croire. Je t'aime.
Avez vous apprécié cet extrait ? +1
date : 14-01-2014
Castella [en parlant de journalistes] : C'est vraiment des gros pédés, c'est incroyable.
Antoine : Des gros pédés, c'est-à-dire ?
Castella : Ben des pédés, quoi.
Antoine : C'est-à-dire des gens qui s'enculent ? Comme mon ami et moi, par exemple ?
Avez vous apprécié cet extrait ? +1
Duke : Tu veux t'envoler ?
Ripcord : Ouais.
Duke : J't'offrirai un trampoline.
Avez vous apprécié cet extrait ? +2
Le Docteur : L'heure est venue pour le Cobra de se dresser et de se dévoiler. Désormais, tu m'appelleras... Commander !
Avez vous apprécié cet extrait ? +2
date : 14-01-2014
Josépha : Monsieur le Curé est venu parce qu'il a eu une vilaine tornade...
Le Curé : Une mauvaise bourrasque, chère Madame.
Josépha : Ah, c'est ça, oui.
Le Curé : Une mauvaise bourrasque qui a enlevé le toit de notre pauvre chapelle.
La réponse de Cruchot...Josépha : Voilà ! Et Monsieur le Curé désirerait une petite aide financière pour les réparations qui s'imposent. [Pendant que Josépha parle, Cruchot fait comprendre par gestes au curé qu'il n'aura pas d'argent] Certes, il semblerait que la solidarité de tous les paroissiens devrait s'affirmer, mais la plupart d'entre eux font la sourde oreille. Eh bien moi, je n'hésite pas à dire que je trouve ça révoltant... [Le Curé regarde les mimiques de Cruchot] N'est-ce pas ?
Le Curé : Mais certainement, chère Madame.
Josépha : Il est très louable de s'intéresser aux misères des autres, mais n'a-t-on pas le devoir de se préoccuper au même titre de ceux qui nous touchent de plus près ? [Le Curé fait à son tour des grimaces à l'encontre de Cruchot] J'estime que c'est un devoir sacré de militer activement dans sa propre paroisse... [déroutée par le comportement du Curé] Monsieur le Curé, si ça ne vous intéresse pas, je peux arrêter...
Le Curé : Non, non... Mais pas du tout, chère Madame !
Josépha : Il y a aussi le patronage, les fêtes de bienfaisance... les misères à soulager... les malades ?
Avez vous apprécié cet extrait ? +1
date : 14-01-2014
Commode : Tu m'as écrit autrefois quelle sont les quatre vertus majeures : Sagesse, justice, force morale et tempérance. Quand j'ai lu cette liste j'ai su que je n'en avait aucune... mais j'ai d'autre vertus père. L’ambition. Qui est bien une vertu quand elle conduit à exceller. L'ingéniosité. Le courage, peut-être pas sur les champs de bataille mais... il y a plusieurs forme de courage. Le dévouement. A ma famille et à toi. Mais aucune de mes vertus n'était sur ta liste. Et même là tu te comportait comme si tu ne voulais pas de moi pour fils.
Les vertus de CommodeMarc Aurèle : Oh Commode, tu vas trop loin.
Commode : J'ai cherché sur les visages des dieux... les moyens de te plaire, de te rendre fier. Un seul mot tendre, une seule étreinte où tu m'aurais pressé contre ton coeur et serré très fort aurait été comme un soleil dans mon coeur pour des siècles et des siècles. Mais qu'est ce qu'il y a en moi que tu hais tant ?
Marc Aurèle : Oh schhh Commode...
Commode : Tout ce que j'ai voulu c'est vivre selon tes voeux, César... Père.
Marc Aurèle : Commode... Tes fautes de fils sont mes défaillances de père !
[...]
Commode : J'aurais massacré le monde entier... si seulement tu m'avais aimé !
Avez vous apprécié cet extrait ? +5
date : 14-01-2014
J’ai toujours pensé que cet endroit pouvait guérir les âmes.

Sept vies, Ben Thomas.
Avez vous apprécié cet extrait ? +3
date : 14-01-2014

Le genre qui expédie le monde sur la lune...

Sept vies, Ben Thomas.
Avez vous apprécié cet extrait ? +2
date : 14-01-2014
J’aimerais avoir le temps de découvrir qui je suis, de connaitre mes gouts...

Sept vies, Emily Posa.
Avez vous apprécié cet extrait ? +2
date : 14-01-2014
Buenos dias, yé m’appelle Inigo Montoya. Tou a toué mon père ! Prépare-toua à mouuurrir !!
Avez vous apprécié cet extrait ? +4
date : 14-01-2014
Il est servi .. une main meurtrière
Avez vous apprécié cet extrait ? +1
date : 14-01-2014
Pour moi, tout avait impeccablement bien commencé. L’ambiance était bonne, le Dj excellent, la température agréable, les filles superbes, l’alcool à gogo, la drogue de qualité. Non indéniablement mes 33 premières années ont été parfaitement bien réussies. Mais je ne vais pas travestir la vérité. Je ne suis pas un gentil garçon. Je suis une grosse merde. Un héros moderne quoi. […] Je suis désolé d’être tellement en avance sur vous, mais c’est moi qui vais décider aujourdhui ce qui vous plaira demain. Je me drogue à la nouveauté, et l’avantage de la nouveauté c’est qu’elle ne reste jamais neuve longtemps. L’idéal serait que vous commenciez par me détester avant de détester l’époque qui m’a crée. Donc voilà, je me prénomme Octave, Octave Parango. J’ai passé ma vie à vous manipuler contre 75 000 francs par mois. Quand à force d’économie vous réussirez à vous payer la bagnole de vos rêves, je l’aurais déjà démodé. Je suis celui qui pénètre votre cerveau, je jouis dans votre hémisphère droit. Votre désir ne vous appartient plus, je vous impose le mien. Jamais crétin aussi irresponsable que moi n’a été si puissant depuis 2000 ans.
Avez vous apprécié cet extrait ? +1
date : 14-01-2014
Alors, on veut de mon electricité n’est ce pas? Hin hin hin... Pour une fois que c’est le riche homme blanc qui est le maître !
Avez vous apprécié cet extrait ? +1
date : 14-01-2014
La sorcière : Ils avaient dit que tu viendrais. Un homme du nord. Un homme d'une très grande force. Un conquérant. Tu deviendras roi un jour de ses propres mains. Un homme qui écrasera les serpents de la terre.
Conan : Qu'est-ce que tu as dit ? Les serpents de la terre ?!
La sorcière : Que viens-tu chercher ?
Conan : Un écusson, un symbole. Peut-être sur un bouclier. Deux serpents dans le même dessin, en face l'un de l'autre, mais ne faisant qu'un !
La sorcière : Avec, avec le soleil et un croissant de lune. Un soleil noir une lune noire, symbole du mal. Tu dois le mériter, barbare !
Avez vous apprécié cet extrait ? +1
Fernand Naudin : Les cons ça osent tout, c'est même à ça qu'on les reconnait.
Avez vous apprécié cet extrait ? +3
date : 26-12-2013
La petite sorcière savait bien qu’elle ne pouvait pas tomber amoureuse, mais pour elle ça n’avait pas d’importance. Elle ne se posait pas de questions parce que... Elle se moquait des réponses.
Avez vous apprécié cet extrait ? +1


  • aller en page :
  • 1
  • 2

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de Cinenode