Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre
navigation
sur
notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces
outils,
nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des
publicités.
Nos publicités sont spécifiquement choisies pour être en harmonie avec notre contenu, centré
sur le cinéma. Elles sont non intrusives et peuvent vous connecter avec des opportunités
pertinentes et passionnantes dans le monde du cinéma. En bloquant ces publicités, vous
limitez non seulement une source de revenus essentielle pour nous, mais vous risquez
également de manquer de précieuses informations de l'industrie cinématographique.
Pour que vous puissiez continuer à profiter de nos articles, revues et nouveautés du monde du
cinéma, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités
spécifiquement pour notre site.
Une fois que vous avez désactivé votre bloqueur de publicités, veuillez cliquer sur le
bouton ci-dessous pour recharger la page et poursuivre votre exploration de l'univers
cinématographique.
L'ascension du célèbre chanteur/compositeur britannique Robbie Williams. Devenu une star avec le Boy Band, Take That, dans les années 1990, ce dernier a peu à peu plongé dans les paradis artificiels avant de retrouver le succès en solo en 1997 avec la chanson "Angels".
En règle générale, j’aime beaucoup les biopics, d’autant plus lorsqu’ils concernent la musique, alors j’avais de grandes attentes concernant celui-ci, plus encore, par son originalité, faire transparaître Robbie Williams, sous la forme d’un singe, ce que beaucoup n’ont pas compris, pourtant, tout s’explique, tout se comprend et ça sonne finalement comme une évidence. Parce qu’il fallait se détacher de la personne physique, il fallait que son sentiment de s’être toujours senti différent, à part, abandonné, laissé pour compte, traité comme une bête de foire, il fallait que ces sentiments prennent vie immédiatement, avec une image impactante et c’est à mon sens, une idée fabuleuse, qui fait toute la force de ce métrage. Plus que la vie de cette star que nous connaissons tous, c’est le récit de ce qui l’a fait devenir cet artiste, parce qu’il ne pouvait survivre qu’en devenant connu, parce qu’à travers ses yeux d’enfant, il ne pouvait exister qu’en devenant quelqu’un d’autre, un rôle créé de toute pièce, simplement pour plaire à ce père qui l’a abandonné, parce qu’il ne lui suffisait pas. On se rend compte alors d’à quel point les blessures de l’enfance peuvent influencer votre devenir, à quel point les cicatrices influencent vos décisions, vous orientent sans cesse vers les mauvaises directions et que même si le succès est au rendez-vous, que l’argent coule à flots, rien de tout cela ne fait le bonheur, parce que les souffrances restent, alimentées justement par les excès, détruisant encore plus, jusqu’au point de non retour. La réalisation de Michael Gracey est tout simplement grandiose, il a su mettre en scène ce destin avec une maestria absolument bluffante, d’une qualité rare et malgré les paillettes, la grandiloquence de l’univers, il a su y insuffler une intimité extraordinaire, qui vient nous bouleverser d’autant plus. Visuellement, c’est un véritable bijou, des prouesses techniques époustouflantes, des effets spéciaux qui paraissent naturels, tant ils sont utilisés à bon escient, ce sont des scènes de show et des chorégraphies hallucinantes, mais aussi des moments plus sombres, plus intimistes, dans un fabuleux équilibre. En ce qui concerne le scénario, s’il est évidemment convenu, puisque c’est une histoire vraie, les choix de sa chronologie, des chansons qui parsèment l’ensemble, tout a été minutieusement pensé et formidablement écrit, c’est d’une finesse tout simplement incroyable. Alors, nous serons littéralement portés par ce récit, par cette histoire de famille qui résonne si vraie, si fort, parce que finalement, chacun d’entre nous possède ses blessures et peu importe que nous venions d’un milieu aisé ou non, que nous soyons riches ou pauvres, elles nous impactent tous, nous mettant sur un pied d’égalité. Quant au casting, il est extraordinaire, bien que Robbie Williams ne soit pas reconnaissable, il crève pourtant l’écran, mais j’ai également été profondément touchée par le rôle de Raechelle Banno, ainsi que par celui d’Alison Steadman.
En bref : Un biopic pas comme les autres, qui a eu l’audace d’oser, un coup de poker largement vainqueur, mais qui s’explique parfaitement également, qui n’est pas là que pour faire original, nous plongeant dans un récit bouleversant, l’histoire d’un homme avant tout, qui a tout fait pour que son père l’aime un peu plus, mais le succès ne fait pas tout, les souffrances ne s’effacent pas avec lui, bien au contraire et nous serons témoins de cette ascension, qui sonne finalement comme une descente aux enfers, avant que la résilience ne puisse faire son travail de guérison !
Avis complet sur le blog : https://vampiloufaitsoncinma.com/2025/03/04/better-man/
Magnifique film; que je recommande totalement pour les personne de plus de 12 ans je dirais. Les musique les images le scénario tout était génial. Pour ma part je ne connaissez pas du tout robbie williams et sa ma donner envie de la découvrir lui et ses chansons
J’aime bien l’artiste, mais là le sujet est traité très intelligemment.
Alors oui, bien sur cela va relancer l’écoute de ses vieux tubes sur les plateformes, et c’est certainement un peu le but, mais ça a été du régal pendant 2H15.
Déjà, c’est bien filmé, le singe merveilleuse idée, fait certainement référence à une de ses chansons ou il avouait déjà à l’époque ses travers.
Mais en plus il y a ses musiques dans le film qui y sont intégrées (avec sous titres de ses paroles pour ceux qui regardent en V.F.) et qui permettent de faire défiler une partie de sa vie de façon réaliste ou onirique.
Sincèrement, c’est bien foutu, et je trouve que c’est une bon biopic original et intéressant.
J’avoue, je suis plutôt fleur bleue, j’ai même écrasé une petite larme à la fin, petite mais quand même😁.
J'avais envie de voir ce film, je savais que le rôle principal était fait par un singe, choix un peu particulier, j'ai aussi vu que le film faisait apparemment un flop mais personnellement j'ai beaucoup aimé. Le singe fait un peu étrange au départ mais on s'y fait très vite, on peut imaginer que le chanteur ayant des difficultés avec son image n'a pas voulu l'imposer à un acteur ou n'a tout simplement pas trouvé d'acteur qui lui corresponde. Le chanteur ne nous épargne pas, on peut voir que malgré le succès, il n'a pas eu une vie facile et les chansons et images sont superbes. Un film à voir vraiment. Faites vous votre propre opinion et n'écoutez pas les critiques. 😉
Synopsis
L'ascension du célèbre chanteur/compositeur britannique Robbie Williams. Devenu une star avec le Boy Band, Take That, dans les années 1990, ce dernier a peu à peu plongé dans les paradis artificiels avant de retrouver le succès en solo en 1997 avec la chanson "Angels".
Afficher en entier