Commentaires de films faits par morrigan
Répliques de films par morrigan
Commentaires de films appréciés par morrigan
Répliques de films appréciées par morrigan
- J'ai passé la moitié de ma vie en prison, alors des fois je me dis que j'ai trop d'expérience !
- Richard B. Riddick, fréquemment en cavale, meurtrier.
- Qu’est-ce que ça peut faire ?
- Combien vous pesez ?
- Environ 80 kg.
- Hé ben, ça fait 80 kg de viande blanche apeurée !
- Vous parlez de quel morceau ?
Guile : Oh, je l’ferai volontiers, mais y’a un pauvre con qui m’a retiré mon commandement.
Honda : Ca fais pas deux heures qu’on est là, tu peux pas t’branler seul ?
Balrog : Donne ta main, bouffon !
Il marchait les bras ballants,
Il voulait que le ruisseau soit rivière
Et la rivière, fleuve,
Que cette flaque soit la mer.
Lorsque l’enfant était enfant,
Il ne savait pas qu’il était enfant,
Tout pour lui avait une âme
Et toutes les âmes étaient une.
Lorsque l’enfant était enfant,
Il n’avait d’opinion sur rien,
Il n’avait pas d’habitude
Il s’asseyait souvent en tailleur,
Démarrait en courant,
Avait une mèche rebelle,
Et ne faisait pas de mimes quand on le photographiait.
Lorsque l’enfant était enfant, ce fut le temps des questions suivantes :
Pourquoi suis-je moi et pourquoi pas toi ?
Pourquoi suis-je ici et pourquoi … pas là ?
Quand commence le temps et où finit l’espace ?
La vie sous le soleil n’est pas qu’un rêve ?
Ce que je vois, entend et sens, n’est-ce pas…simplement l’apparence d’un monde devant le monde ?
Le mal existe t-il vraiment avec des gens qui sont vraiment les mauvais ?
Comment se fait-il que moi qui suis moi, avant de le devenir je ne l’étais pas, et qu’un jour moi… qui suis moi, je ne serais plus ce moi que je suis ?
Lorsque l’enfant était enfant,
Les pommes et le pain suffisaient à le nourrir,
Et il en est toujours ainsi.
Lorsque l’enfant était enfant,
Les baies tombaient dans sa main comme seule tombent des baies,
Les noix fraîches lui irritaient la langue,
Et c’est toujours ainsi.
Sur chaque montagne, il avait le désir d’une montagne encore plus haute,
Et dans chaque ville, le désir d’une ville plus grande encore,
Et il en est toujours ainsi.
Dans l’arbre, il tendait les bras vers les cerises , exalté
Comme aujourd’hui encore,
Etait intimidé par les inconnus et il l’est toujours,
Il attendait la première neige et il l’attend toujours.
Lorsque l’enfant était enfant il a lancé un bâton contre un arbre, comme une lance,
Et elle y vibre toujours.
– Embrassez-moi. (il l'embrasse)
– Nelly !
– Embrasse-moi encore.
- Ouais, on les cherche jusqu’à ce qu’on les trouve.
- Et ensuite ?
- Ensuite ? On les tue tous !
- Et moi Cendrillon II !
- Vous feriez mieux de ne pas écouter tout ce qu’on dit.
- Vous pouvez parler. Après tout ce que vous avez pu dire sur les mariages arrangés, je n’arrive pas à croire que votre mère est en train d’arranger le vôtre.