Kenneth Branagh
Réalisateur
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Quelques chiffres
Note moyenne : 7.38/10Nombre d'évaluations : 1 404
0 Citations 412 Commentaires sur ses films
Les derniers commentaires sur ses films
Bon j'avais lu des avis comme quoi ça s'éloignait du livre mais je ne l'ai pas lu donc je ne peux pas dire, en tout cas j'aime bien l'ambiance enquêtes de ces films et leur réalisation et j'ai bien aimé ce film même si niveau peur il ne m'en faut pas plus 🥴
Afficher en entierTechniquement parlant, je n'ai pas grand chose à redire. C'est un vrai plaisir pour les yeux, les images sont superbes. La réalisation se montre assez créative, dans ses choix de plans à hauteur d'enfant. La musique est parfaitement employée également. Le casting est globalement convaincant. Bref, rien à redire sur tous ces points.
Par contre, je suis méchamment passée à côté du scénario... Je ne m'étais pas imaginée le film comme ça en fait. Je pensais qu'on aurait parlé beaucoup plus frontalement de l'histoire de l'Irlande et de cette guerre civile, un peu à la façon de Le vent se lève de Ken Loach (nota : oui je sais, ça ne parle pas du même sujet, mais dans l'idée, je m'imaginais un film de ce style). Au final, je ne peux pas dire que c'est absent du film, mais c'est loiiiiin. C'est juste une toile de fond, qui parsème tout le film, mais sans jamais être réellement traitée. Le plus gros du film se compose d'anecdotes d'enfance du personnage de Buddy, comme le fait qu'il ait une amoureuse à l'école, ou qu'il travaille pour avoir des bonnes notes.
Ça ne manque pas de sincérité, avec l'inspiration autobiographique pour Kenneth Branagh. Ce n'est pas mauvais, c'est même bien fait, mais ce n'est pas ce que moi je venais chercher dans ce film. L'ensemble m'a semblé du coup un peu plat. Je ne me suis pas spécialement attachée aux personnages. L'émotion ne m'a pas complètement atteinte. J'ai même fini par trouver ça assez ennuyeux sur la 2nd moitié, alors que le film n'est pourtant pas long.
Je ne déconseille pas le film, car je pense sincèrement qu'il peut trouver son public, car il ne manque pas de qualité. Mais définitivement, il n'était pas fait pour moi, malheureusement.
Afficher en entierCette adaptation est plus proche d’une réécriture. Ce n’est pas une série de film qui m’a convaincue.
Afficher en entierSi j'avais vraiment énormément apprécié les deux premiers films sur Hercule Poirot de Kenneth Branagh, ce dernier film m'a un peu déçue. J'ai assez vite deviné l'identité du/de la meurtrier.re. Les costumes et l'ambiance sont bien réussies mais l'atmosphère d'Halloween n'est vraiment pas fidèle à ce qu'écrivait Agatha Christie. Même si un film est toujours une interprétation d'un livre, j'ai trouvé cela vraiment dérangeant, surtout qu'on ne trouvait pas cela dans les deux premiers films. Bref, cela reste un bon mystère.
Afficher en entierLa noirceur de ce nouveau Agatha Christie est surprenante, avec une ambiance très angoissante dans une maison… hantée. J’avoue qu’étant très loin d’être une amatrice de films d’horreur, certaines scènes m’ont mise mal à l’aise.
Du reste, je l’ai vu en VO où c’était vraiment chouette de voir les accents de chacun plutôt que de l’uniformisation et, évidemment, j’ai été happée et surprise par les grandes révélations finales.
Afficher en entierUn peu déçue de celui-ci que j’ai trouvé très lent, long et moins surprenant que les autres.
J’ai moins été happée par le suspense même si les décors sont superbes.
Afficher en entierTrès bon film. Beaucoup de Suspens et addictif.
Afficher en entierPersonnellement j'ai adorée Artémis Fowl, mais le film m'a beaucoup, beaucoup déçue... Aucune fidélité au livres du grand n'importe quoi ! Les effets spéciaux sont nuls, les acteurs aussi, bref le film ne ma même pas accrochée.
Afficher en entierUn bon film nous tenant en haleine jusqu’à la découverte de la vérité.
Afficher en entierJ'ai vu ce film parce que j'avais déjà beaucoup apprécié l'épisode précédent. L'ambiance créée m'a tout autant plu, on est tout de suite plongé dans les années 30 avec les décors, l'austérité qui ressort des personnages. J'ai bien aimé le thème des fantômes et de l'ésotérisme, l'histoire était pleine de rebondissements, et l'angoisse psychologique d'Hercule Poirot était intéressante même si peu creusée.
Afficher en entierLes gens aiment aussi
Dédicaces de Kenneth Branagh
et autres évènements
Aucun évènement prévu
Studios
BBC, Renaissance Films : 2 films
Walt Disney Pictures : 2 films
Paramount Pictures : 1 film
Marvel Entertainment : 1 film
Marvel Studios : 1 film
United International Pictures (UIP) : 1 film
Home Box Office (HBO) : 1 film
TriStar Pictures : 1 film
Biographie
Issu d'une modeste famille irlandaise, Kenneth Branagh décide, selon la légende, de poursuivre une carrière d'acteur en découvrant, alors qu'il n'est qu'adolescent, Derek Jacobi jouer Hamlet à la télévision. Il s'engage peu après dans un cursus d'art dramatique à la prestigieuse Royal Academy of Dramatic Art de Grande-Bretagne, rejoignant à 23 ans la Royal Shakespeare Company (R.S.C.) où il triomphe grâce au rôle d'Henri V. Après quelques essais infructueux dans des téléfilms, Kenneth Branagh obtient en 1985 le premier rôle du drame en costumes Coming through, dans lequel il incarne D.H. Lawrence.
En 1987, le comédien se sépare de la R.S.C., jugeant les priorités de l'établissement plus bureaucratiques qu'artistiques, et entreprend de fonder sa propre compagnie, nommée Renaissance. Si la première pièce donnée en représentation dans le Renaissance Theatre est un échec, les productions suivantes remportent un certain succès et permettent à Kenneth Branagh d'adapter, de mettre en scène et d'interpréter Henry V aux côtés de l'actrice Emma Thompson, qu'il épouse la même année. Le film remporte un grand succès critique et public, lançant définitivement la carrière cinématographique du comédien et du cinéaste.
Au début des années 90, Kenneth Branagh alterne représentations théâtrales et réalisations cinématographiques. Il y rencontre le succès avec le film noir Dead again (1991), la comédie amère Peter's Friends (1992) et Beaucoup de bruit pour rien (1993), nouvelle adaptation de son auteur favori William Shakespeare, mais connaît ensuite son premier échec avec Frankenstein (1994).
Après avoir interprété le traître Iago dans Othello (1995, année où est prononcé son divorce d'avec Emma Thompson), Kenneth Branagh réalise son rêve d'adapter Hamlet sur grand écran dans une longue fresque épique de quatre heures, citée dans plusieurs catégories aux Oscars et remportant de nombreux prix. Après cette aventure épuisante, l'auteur-interprète accepte plus volontiers de se laisser diriger, que ce soit par Robert Altman dans The Gingerbread Man (1998) ou Woody Allen pour Celebrity, délaissant même son image classique pour interpréter l'extravagant et démoniaque Dr. Loveless dans Wild Wild West en 1999.
Après avoir modernisé les Peines d'amour perdues de Shakespeare dans un film rendant hommage aux comédies musicales des années 30, Kenneth Branagh prête sa voix au facétieux personnage de Miguel dans La Route d'Eldorado. L'acteur accepte en 2002 de tenir le rôle du professeur des Forces du Mal Gilderoy Lockhart pour Harry Potter et la chambre des secrets, second volet des aventures de l'apprenti-sorcier. Il prolonge ce rôle d'anglais excentrique dans une autre adaptation d'un best-seller pour enfants, Cinq enfants et moi (2004).
Après avoir enchaîné quelques films mineurs, il revient à la réalisation en 2005 en adaptant un autre grand classique: La Flûte enchantée de Mozart, qu'il transpose dans le contexte de la Première Guerre mondiale. Produit par la Fondation Peter Moore, cette œuvre a pour but d'élargir le public par rapport à l'opéra. Elle est suivie trois ans après par Le Limier, un remake du thriller de 1972 dans lequel Kenneth Branagh orchestre un duel psychologique sans merci entre Jude Law et Michael Caine.
L'année suivante, le cinéaste repasse à nouveau devant la caméra et joue les officiers allemands résistants aux côtés de Tom Cruise dans le drame historique Walkyrie, avant d'endosser le costume du ministre trouble-fête Dormandy, aux prises avec la radio-pirate de Good Morning England. Deux années passent avant son grand retour à la réalisation dans un registre inattendu : avec Thor, un blockbuster super-héroïque adapté des comics Marvel, il signe un long métrage fantastique mais à l'intrigue toute shakespearienne. En 2012, Kenneth Branagh décroche une seconde nomination aux Oscars en tant que Meilleur acteur dans un second rôle, pour sa performance dans My Week with Marilyn, le biopic porté par Michelle Williams. Il y incarne l'acteur et réalisateur Laurence Olivier, plongé en plein tournage du film Le Prince et la danseuse.
Cette même année, à l'été, ce n'est pas au cinéma mais à la télévision quil réapparaît. A la demande de Danny Boyle, en charge de la mise en scène, le Nord-irlandais incarne Isambard Kingdom Brunel, pionnier du chemin de fer britannique, lors de la Cérémonie d'ouverture des Jeux Olympiques de Londres, et y déclame un extrait de la tempête de William Shakespeare. Il faut attendre l'année suivante pour son retour au cinéma. Deux ans après Thor, il signe Jack Ryan : Shadow Rescuit ramenant au goût du jour le héros des romans de Tom Clancy. Pour la première fois depuis 2007 et Le Limier, Branagh se partage entre la réalisation et le jeu aux côtés de Chris Pine, Keira Knightley ou encore Kevin Costner.
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