Commentaires de films faits par Rayathea
Répliques de films par Rayathea
Commentaires de films appréciés par Rayathea
Répliques de films appréciées par Rayathea
Tout y est pour passer un excellent moment et pour faire de ce film le plus abouti et le plus recherché de la saga, surtout au niveau de la galerie de personnage, vraiment intéressante et bien écrite.
Je ne comprend pas trop pourquoi certains n'aiment pas ce film; le héros vit de nouveau, se repend, et retrouve foi en l'humanité jusqu'à vouloir en sacrifier sa vie.
Nous sommes ici plongé au cœur de l’action, où les bandes armées se retrouvent réduites à tuer pour du carburant, comme si cette denrée était la dernière chose utile sur terre. Un contexte post-apocalyptique des plus soft, qui mise avant tout sur le visuel et l’action pure. Un monde où la violence est légion et où la pitié n’existe plus. On retrouve bien évidemment Mel Gibson en baroudeur charismatique : un guerrier de la route. Même le côté old school est appréciable, avec ces véhicules customisés par le diable en personne, et ces costumes improbables d’un genre médiéval new age. Une petite virée en enfer au contacte de l’asphalte. Une excellente suite qui rehausse le 1er opus. 4/5
Franchement j'ai assez aimé le film, les acteurs sont plutôt bons, le gang de motard loufoque à souhait, des courses poursuites assez réussi pour l'époque.... Car oui le film a beaucoup vieilli, mais ça a son charme.
Au niveau des quelques défauts, un montage parfois assez laborieux et une fin abrupte, j'aurai aimé en voir un peu plus.
Mais sinon, un bon premier film, surtout avec un budget aussi restreint.
Et je le dis, cette nouvelle saga porte mal son nom. Parce que bon, les animaux fantastiques ne servent que de fond à un personnage, et ont finalement peu d'impact et d'importance sur l'histoire et les enjeux. Cette saga n'est pas l'histoire de Norbert, ce personnage sert au final à faire le lien entre tous les autres personnages.
L'histoire en elle-même est vraiment prenante, malgré une petite baisse de régime à la deuxième moitié du film. Au total je mettrais 2,5/5.
Comme Griffith ou Ford, Walsh oppose ici la noblesse et la prestance des gentlemen du Sud à la veulerie et à la brutalité des soldats nordistes. L’Esclave libre n’est pourtant pas une œuvre politique : la guerre de Sécession n’est que la toile de fond d’une aventure où se mêlent l’Histoire, l’amour, l’honneur, le danger… Une chaleureuse complicité unit visiblement Clark Gable à Raoul Walsh, qui le dirige pour la troisième fois. L’Esclave libre est, pour le cinéaste, l’occasion de composer un fascinant portrait de femme, victime des circonstances mais décidée à tout tenter pour faire triompher ses convictions.