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Dans l'entre-deux-guerres quelque part en Italie, le pilote Marco, aventurier solitaire, vit dans le repaire qu'il a etabli sur une ile deserte de l'Adriatique.
A bord de son splendide hydravion rouge, il vient en aide aux personnes en difficulté.
Il pourrait paraitre long, ennuyeux, mais c'est un maëlstrom d'humour, de tendresse, de passion, enrobé d'une ambiance latente presque magique, comme une sieste sous le soleil accompagnée d'une musique vibrante.
Nostalgique, c'est le terme qui me viendrait pour décrire ce petit bijou.
Une perle mélodieuse et apaisante virevoltant entre ciel et mer...comme l'oiseau qui s'envole se pose un moment puis reprend son envol. Une douce parenthèse, un bol d'air frais avec de très belles références notamment la plus frappante qui est celle du "baron rouge", de l'humour et une certaine passion pour l'aviation en temps de guerre, H. Miyazaki nous montre certainement ici ce qu'il sait faire de mieux parler de ce qu'il aime.
Il y a un magnifique sentiment de liberté dans cette œuvre.
Un film super intéressant et finalement pas assez long. On aurait aimé avoir plus de précisions sur les origines de la transformation de Marco et surtout plus d'informations sur la fin. Le film ne dit pas tout mais on peut trouver pas mal d'explications sur internet... Finalement sous des aspects enfantins le film pose des questions de sociétés sur l'honneur, le respect, la place de la femme, l'amour, la guerre, le tout dans la période des années 30, ne pas oublier ce détail. On ressort de la séance avec des questions, une impression d'avoir raté des passages, et surtout une envie de revoir le film. Une chose m'a gêné dans la VF: la voix de Jean Réno, qu'on reconnaît immédiatement, mais qui ne colle pas avec le personnage. Sinon, c'est un bon film.
Un film sympathique, visuellement très beau avec les graphismes que l'on connaît de Ghibli, sur fond d'une superbe musique signée Joe Hisaishi. On se laisse porter par l'histoire sans un brin d'ennui, avec une bonne dose d'aventure et d'humour.
Les personnages sont intéressants, notamment les femmes, qui occupent une place particulière dans ce film. Spoiler(cliquez pour révéler)À commencer par Fio, la jeune mécano de 17 ans qui va réparer l'avion de Marco et l'aider pendant le reste de son aventure - en usant non seulement de son expertise, mais aussi de son éloquence face aux pirates de l'air.
Cependant, le mystère entourant le personnage principal, Marco (surnommé "Porco Rosso"), demeure tout entier. La raison pour laquelle il a une tête de cochon reste inconnue. Spoiler(cliquez pour révéler)Gina parle à un moment donné d'un sort qui lui aurait été jeté, mais là encore, ne donne pas plus de détails. Mais peut-être que le doute est volontairement jeté…
Spoiler(cliquez pour révéler)De plus, l'enjeu de l'armée de l'air italienne n'est esquissé que partiellement, considéré comme une menace presque légère sur Marco, qu'il parvient à éviter à chaque fois. Mais je comprends le choix de se concentrer davantage sur Curtis, l'aviateur américain, comme antagoniste - avec lequel Marco semble malgré tout se réconcilier à la fin.
Hormis ces quelques points qui auraient pu occuper plus de place, Porco Rosso reste un très bon Ghibli, une belle histoire d'amitié, avec un grain d'amour, fondée sur la nostalgie. À voir et revoir !
Une belle découverte ! Je n'avais jamais entendu parler de ce Miyazaki mais c'est un de ceux que j'ai préféré. On retrouve l'univers un peu fantastique du réalisateur, les graphismes sont magnifiques... Que demander de plus !
Celui auquel j'ai le moins accroché, et c'est rare. Je ne sais pas si c'est le concept du cochon volant ou l'intrigue, mais je n'ai pas plaisir à le revoir.
Il n'y a pas dans ce Miyazaki là la magie qu'on trouve habituellement dans ses films, pas encore non plus le réalisme de son dernier film (Le vent se lève), non, c'est quelque chose d'autre, la nostalgie de l'ancien temps, d'une certaine liberté perdue...
L'histoire en elle-même a quelques longueurs, aurait mérité d'être un peu plus développée sur l'histoire de Marco, sur sa malédiction mais j'ai retrouvé dans ce film la passion de Miyazaki pour l'aviation. Ce n'est plus juste un film des studios Ghibli, c'est un peu du maître dans cette histoire.
Quelques très beaux passages dans ce film, la mer des nuages (paradis des aviateurs) et Le temps des cerises chantés avec cet accent pour ne citer qu'eux.
Certes, ce n'est pas le meilleur, mais il a un charme bien à lui et c'est toujours un plaisir de le revoir.
De tous les Miyazaki, c'est bien mon préféré. Les images sont, comme toujours, superbes, l'histoire nous tient en haleine jusqu'au bout et les personnages, parfaitement construits, font resurgir pleins de sentiments...
Synopsis
Dans l'entre-deux-guerres quelque part en Italie, le pilote Marco, aventurier solitaire, vit dans le repaire qu'il a etabli sur une ile deserte de l'Adriatique.
A bord de son splendide hydravion rouge, il vient en aide aux personnes en difficulté.
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