Commentaires de films faits par Apollo8
Répliques de films par Apollo8
Commentaires de films appréciés par Apollo8
Répliques de films appréciées par Apollo8
"Le Fabuleux Destin d'Amélie Poulain" est un film poétique aux mille couleurs qui met de bonne humeur. On apprend à connaître les différents personnages par le biais du narrateur qui nous livre des anecdotes sur eux, des petits détails qui les humanisent. On suit l'histoire d'Amélie Poulain qui pense à toutes sortes de stratagèmes pour aider les autres, mais aussi donner une bonne leçon à ceux qui font du mal autour d'eux.
Un réel tourbillon de vies et une célébration de la vie, sur la douce et lancinante musique de Yann Tiersen.
Dans une société dirigée par la peur et la haine, un homme cherche à rendre la justice. Partant d'un désir de vengeance né de son histoire personnelle, il rallie ensuite les personnes à sa cause, souhaitant fonder un monde meilleur. Même si les méthodes sont plus que radicales. Malgré son masque dissimulant son visage, on ressent les émotions du personnage principal, motivé par la vengeance et la haine contre un gouvernement qui lui a fait du mal.
Nathalie Portman, quant à elle, offre une interprétation complexe de son personnage qui va progressivement accorder sa confiance à cet homme dont elle ne sait pourtant rien.
Bouleversant, captivant, émouvant. Un très bon film à voir et revoir !
On se doute de l’issue de ce film catastrophe américain ; les deux protagonistes finiront par arrêter le “train fou”, mais toute la question est : comment vont-ils y arriver ? La tension monte progressivement, les scènes d’action sont de plus en plus spectaculaires.
L'histoire aborde de manière originale l'invasion extra-terrestre, ou plutôt elle s'en sert pour mettre en avant les relations de cette famille, interroger la question de la foi à travers le personnage interprété par Mel Gibson.
Une chose que je regrette est sûrement le manque de mystère au niveau de l'intrigue. On sait très tôt qu'il s'agit d'extraterrestres, toutes les autres possibilités sont rapidement écartées. Il n'y avait donc pas vraiment de surprise à les voir "pour de vrai". Mais peut-être est-ce parce que je m'attendais à un "twist" à la fin de l'histoire, comme c'est le cas dans nombreux de ses films.
Au début, tout va mal pour Jake Scully,
La limite entre réalité et fiction devient floue.
Il va un peu à contre-courant des autres films de son genre. Il n'y a pas de petits extra-terrestres verts qui viennent envahir la Terre. Il n'y a pas non plus de virus qui transforme les humains en zombie. Ce film est beaucoup plus subtil, et c'est ce qui fait l'originalité que j'ai appréciée.
Par ailleurs, impossible de ne pas mentionner la superbe performance (comme toujours) de Nicole Kidman, qui interprète une psychiatre et mère d'un fils, pour lequel elle serait capable de n'importe quoi [spoiler]- même de menacer son amant de mort.
En bref, si vous voulez un peu de frissons avec une morale intéressante derrière, ce film est fait pour vous !
Un début comme on le voit souvent dans les films désormais, qui ouvre sur une scène du milieu du milieu. La question est alors : "Comment en sommes-nous arrivés là ?"
Par de multiples péripéties.
Retournant dans l'enfance de Johnny Cash, on comprend l'élément qui le hantera toujours à l'âge adulte.
Le traitement de l'histoire est relativement classique, mais on comprend bien tout l'enchaînement des évènements. J'ai beaucoup aimé en apprendre plus sur ce chanteur américain des années 50.
Le film a une belle photographie, des images très belles et des plans de qualité, accompagnés par une musique harmonieuse. On assiste aux scènes avec un certain recul, comme si on regardait depuis l'entrée de la porte sans entrer dans la pièce. Relevons également le bon jeu d'acteur, notamment d'Alan Kim qui interprète David. Il réussit bien à retranscrire les émotions du personnage.
Le film est assez lent, mais c'est certainement volontaire. Cela permet de capter en profondeur les scènes, les émotions des personnages, les changements qui s'opèrent.
En règle générale, "Minari" est un beau film, une chronique familiale qui pourrait parler à d'autres.
Comme le Truman Burbank de Peter Weir, Guy va découvrir que sa vie n'est pas celle qu'il croyait être, et qu'elle est en réalité une partie intégrante d'un jeu vidéo. Toutes ses journées se ressemblent, jusqu'au jour où il rencontre "la femme de sa vie". Il va alors sortir de la boucle temporelle dans laquelle il était jusqu'alors prisonnier, pour tracer son propre chemin.
Je me demandais comment le fait qu'un personnage non jouable puisse développer sa propre volonté ; et la réponse à cette question est très bien amenée.
Le film alternant entre scènes dans le jeu vidéo et dans la vie réelle, on finit par comprendre que
Toutes les références à d'autres films ont aussi le don de nous faire sourire ; [spoiler]que ce soit "40 ans, toujours puceau" de Judd Apatow ou les Marvel, avec la musique et le magnifique caméo de Chris Evans (iconique!)
On passe un très bon moment devant ce film, que je conseille !
"Bubble" est un beau film à voir, sans grande prise de tête, mais devant lequel on passe un bon moment. Un moment poétique suspendu dans le temps…
Je suis contente de ne pas avoir vu ce film trop jeune, car non seulement j'aurais eu quelques frayeurs, mais je n'aurais certainement pas bien compris tous les enjeux que ce film soulève.
Les personnages sont intéressants, notamment les femmes, qui occupent une place particulière dans ce film.
Cependant, le mystère entourant le personnage principal, Marco (surnommé "Porco Rosso"), demeure tout entier. La raison pour laquelle il a une tête de cochon reste inconnue. [spoiler]Gina parle à un moment donné d'un sort qui lui aurait été jeté, mais là encore, ne donne pas plus de détails.[/spoiler] Mais peut-être que le doute est volontairement jeté…
[spoiler]De plus, l'enjeu de l'armée de l'air italienne n'est esquissé que partiellement, considéré comme une menace presque légère sur Marco, qu'il parvient à éviter à chaque fois. Mais je comprends le choix de se concentrer davantage sur Curtis, l'aviateur américain, comme antagoniste - avec lequel Marco semble malgré tout se réconcilier à la fin.
Hormis ces quelques points qui auraient pu occuper plus de place, Porco Rosso reste un très bon Ghibli, une belle histoire d'amitié, avec un grain d'amour, fondée sur la nostalgie. À voir et revoir !
Inspirée de la jeunesse de l'auteur-réalisateur, ce film dépeint un quotidien difficile marqué par le travail et les conditions difficiles de vie. Plusieurs thèmes sont évoqués, dont la confrontation de deux mondes différents, celui des campagnes et celui des villes, [spoiler]qui se manifeste notamment lorsque les villageois découvrent pour la première fois le violon. Le scénario est bien ficelé, nous empêchant de nous ennuyer un seul instant. Les personnages sont bien développés et évoluent tout au long du film, qui aborde les thèmes de l'amitié et de l'amour avec finesse. Le tout dans de somptueux décors montagneux et des costumes qui nous font voyager vers la Chine des années 70.
Un film à voir et à revoir !
L'amour, l'humour, les réflexions philosophiques ; ce film les amène avec une finesse remarquable. Porté par un casting de qualité, Tom Hanks en tête, il porte un regard clairvoyant sur la vie et les rencontres que l'on fait et qui nous marquent à jamais. [spoiler]Pour Forrest Gump, ce sera Jenny, le Lieutenant Dan, Bubba.
Une belle leçon de vie, touchante, qu'il est difficile d'oublier.