Une confrontation Michel Simon/Gérard Philipe absolument incroyable, les deux acteurs exaltent de leur talent respectif. Ils sont l'un et l'autre magnifique dans cette histoire que l'on connait tous remodelée à la sauce René Clair. On ne s'ennuie pas une seconde et on tombe encore une fois sous le charme de ce merveilleux Gérard Philipe.

Un petit film qui paye pas de mine mais qui regorge d'émotions.
Martin Combes et Alain Chabat sont formidables, extrêmement justes, on a l'impression d'entrer dans leur intimité et de partager leur joie et leur tristesse. Les dialogues sont très bien écrits, toujours plus proches du réel, et l'humour est bien réparti sans jamais ternir les sentiments qui unissent ces deux êtres.
Un très joli film, à voir donc.

Je sais pas trop ce qui est passé dans la tête des scénaristes de Southpaw. Parce qu'en dehors du fait que cette histoire est déjà vue et archi-revue (vous savez tout ce qui va se passer de A à Z), Southpaw aurait pu être un très bon film grâce à la performance des acteurs (notamment de Gyllenhaal qui n'a plus rien à prouver à personne mais qui continue dans sa quête de rôle à oscar, et il a bien raison le bougre).
J'aime beaucoup les films de boxe, j'en ai vu tout un paquet, alors forcément au bout d'un moment, l'émotion n'est plus là, et j'ai l'impression de reregarder une énième fois le même film (le bonhomme tombe et se relève pour mieux vaincre, bon d'accord, à force on a compris...)
Dommage donc. Saluons quand même le talent Gyllenhaal qui vaudrait à lui seul le détour.

BON alors, je suis déception parce que moi j'aime les T-rex, les raptors et les trucs qui courent vite et qui ont existé autrefois (peut être pas exactement comme ça mais quand même).
Je n'aime pas les bébettes génétiquement modifiées sorties tout droit de MegaShark Vs Giant Octopus, où la bestiole est tellement ultra bien modifiée qu'elle a toute les qualités du monde

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(camouflage, intelligence, elle sait parler toutes les langues, arrive même à cacher son emprunte thermique... :).[/spoiler] J'ai pas envie de croire en un truc pareil.
J'aime bien quand la musique de John Williams s'intensifie pour nous montrer de magnifiques vues de dinosaures, pas quand elle arrive pour nous montrer des bâtiments...
J'ai bien aimé certaines scènes par contre, les raptors sont toujours aussi sympa à regarder [spoiler](la course poursuite en moto, celle où les deux gosses sont à l'arrière de la voiture poursuivis par les raptors sont franchement pas mal)[/spoiler], à d'autres j'ai ri [spoiler](mais comme je rigole devant un truc pas crédiblenotamment le combat Truc modifié Vs T-Rex à la fin qui a des relents de King Kong un peu et qui finit par être bouffé par le mosasaure qui se fait chier dans un piscine).


Je suis triste parce que j'attendais un truc qui me ramènerait en enfance, ça a été le cas 2 secondes peut être dans le film (surtout grâce à Chris Pratt qui a la classe de ces héros à la Indiana Jones et aux raptors quand ils courent -pas quand ils font les chiens dociles-)

Un très beau visuel, un soucis du détail, des passages vraiment originaux et plein d'entrain gâché par une interprétation molle et sans saveur.
Ce film aurait pu être une vraie perle, un vrai souffle d'air frais, si l'acting n'avait pas été si mauvais (je parle essentiellement des enfants, et ne me dites pas "c'est des enfants c'est normal" NON, on peut voir souvent des enfants jouaient mieux que des adultes, ici y'a clairement un mauvais choix de casting...)
C'est dommage parce que sinon tout est parfait, la réalisation est juste merveilleuse, arrrrgh, je m'enrage de ce cast si moyen qui bousille ce qui aurait pu être un des meilleurs films de 2014.

Faut être bien ouvert d'esprit pour regarder ce court quand même, surtout quand on le fait seul chez soi, et qu'on a personne pour nous expliquer le pourquoi du comment de la chose. Alors j'ai bien compris que le brave homme nous pondait ses rêves à l'écran (pourquoi pas), qu'il y avait des références à la peinture de Dali un peu partout (j'en ai vu quelques unes mais pas toutes, le surréalisme c'est pas trop mon fort), il en reste pas moins des idées originales, qui ne m'ont absolument pas touchées mais au contraire beaucoup fait rire (le truc des pianos avec l'âne mort et les deux prêtes attachés derrière c'est formidable, ça m'a fait jusqu'à la fin du court !)

J'ai pensé au film My girl en voyant ce film. Bizarrement il m'a fait le même effet.
L'imagination est une force incroyable, d'une beauté insoupçonnée, ce film là lui rend hommage.
On devrait toujours garder notre imagination d'enfant, le monde serait définitivement plus beau si c'était le cas.
Ce film nous rend heureux, puis triste puis heureux à nouveau, et je n'aurai jamais cru ça quand j'ai commencé à le regarder il y a 2h de ça.
Une bonne surprise donc à découvrir.

Un film intéressant pour ceux qui s'intéressent aux heures de gloire de la new wave en Angleterre. On y retrouve des groupes qui ont fait les belles heures de Manchester (feu Joy Division et New Order en tête forcément).
Un biopic plutôt pas mal donc, avec une approche très intéressante (et une réalisation très dynamique qui donne le ton au film).

Un bon film de copains avec tous les drames et les joies qui viennent agrémenter une vie.
Une chouette BO, avec un chouette cast (John Simm, Andrew Lincoln, Marc Warren tous dans la vingtaine avec des têtes de nouveaux nés, plutôt marrant à regarder), et une chouette histoire.
À découvrir donc.

Je l'ai donc vu ce matin, il y a clairement des faiblesses dans le scénario, avec des clichés partout (même si ça se veut parodique ça reste néanmoins un peu chiant), mais par contre, il y a des scènes absolument fabuleuses comme la scène de l'église sous fond de Free Bird (rien que pour ça ça vaut le coup d'oeil), le scénario part dans tous les sens (et ça c'est plutôt agréable), le méchant est un vrai super méchant (il lui manque plus que le rire gras mais faut dire qu'il a déjà le zozottement qu'il lui va à merveille), la fin est géniale de n'importe quoi (et j'adore le n'importe quoi, donc).

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Mais sinon Luke Skywalker se fait exploser la cervelle au début, c'est injuste j'aurais bien aimé le voir un peu plus.

Sinon Colin Firth a trop la classe.

Human Traffic a carrément été le film d’une génération en Angleterre.

Ça parle de clubs, de potes, de drogues, de soirées endiablées.
Ça parle aussi d’une jeunesse paumée, qui se bloque dans des boulots alimentaires, sort le week end pour se vider la tête et anesthésier leur crainte du futur à coup de drogues.

Certains y voient une apologie de la drogue via un film qui se distingue des Trainspotting, Requiem for a dream et autres virées en enfer, d’autres y voient plutôt un cri d’alerte d’une jeunesse qui n’arrive pas à vivre autrement que dans l’excès.

On peut facilement voir dans ce film, une histoire simple sans grand fondement : en fait, on suit juste un groupe d’amis qui sortent dans des clubs. Voilà pour l’histoire.
Le scénario apporte pourtant bien plus que ça, de par ses personnages (Jip qui subit « l’enculage patronal » et une mère qui offre « ses services » pour un peu d’argent, Koop qui subit les troubles mentaux de son père, Moff, l’éternel adolescent qui loge toujours chez ses parents...) de par son regard sur une jeunesse paumée en attente de jours meilleurs.
Certains personnages se foutent de la gueule du qu’en dira t-on, et de cette image qu’ont les jeunes en général d’être des gens impressionnables, j’ai trouvé ça plutôt bien trouvé de bien montrer le fait que s’ils se droguent ils le font en toute conscience et connaissance de causes.

Le réalisateur/scénariste Justin Kerrigan n’avait que 25 ans lorsqu’il a fait ce film, ça se ressent peut être dans certains de ses dialogues qui peuvent paraitre un peu... naïfs, mais c’est un gros plus pour le scénario où on ressent sincèrement les craintes et les coups de folie de toute une génération.

Les acteurs sont quant à eux tous parfaits dans leur rôle (et pour dire un petit mot du doublage français, c’est toujours chouette de retrouver des gens Alexis Tomassian et Lucien Jean-Baptiste doubler ensemble ailleurs que dans Scrubs, même si rien ne vaut une bonne VO, c’est important de souligner qu’un doublage peut être parfois plaisant à écouter)

Ça faisait donc bien 15 ans, que je ne l'avais pas regardé.
Je me souvenais pas de grands choses, ça m'est revenu au fil du visionnage, le tout est quand même bien encré dans les années 80 : vêtements, coupes de cheveux, voitures, gros GROS ordinateurs, moustaches, et jean à gogo. Au début c'est bizarre on se dit que ça a mal vieilli, mais au fil du film, ça donne vraiment un charme au tout, quelque chose de nostalgique.
Eddie Murphy, je ne m'en souvenais plus, était quand même bien charismatique, drôle et touchant. Il est ce personnage cool et sympathique propre à tous films du genre, et il est beaucoup moins énervant que dans les films qu'il a pu faire par la suite.

Le scénario est sympa aussi (maintenant on a fait beaucoup mieux et poussé), mais c'est souvent drôle sans être absurde.
Ça fait plaisir de revoir des films pareils, j'ai l'impression d'avoir de nouveau 8 ans

Ce film est improbable. Écrit par l’acteur qui joue le héros, le film est littéralement incompréhensible pour nous pauvres petits terriens.

J’ai vu le film en vostfr (il me semble pas qu’il y est de VF de tout façon), au début, je me demandais si ceux qui avaient fait les sous titres ne s’étaient pas foutu de ma gueule. Mais en fait, pas du tout. Les dialogues et l’histoire sont vraiment pourris.

Vous vous en doutez ce film est un gros nanar de première base. On retrouve tout ce qui peut être moche ou affreux dans le cinéma :
- déjà, on a de grosses atteintes aux droits d’auteurs : on peut voir des images de Star Wars montées à l’envers (le faucon millenium recule au lieu d’avancer, on voit même Dark Vador), des musiques sortant de plein de films qu’on connait notamment Indiana Jones dont la musique est parsemé partout dans le film
- ensuite les super méchants sont... indescriptibles, on a quand même le droit à des peluches rouges géantes
- les scènes de combats valent leur pesant de cacahuètes : le héros arrachent les bras et décapitent les gros méchants rien qu’à la force de ses bras, ses principaux atouts : son saut trampoline, son entrainement de bad ass où il apprend à sauter avec des pierres en cartons, sa fameuse épée en bois, et ses dents d’acier.
- notons aussi que la musique plagiée est insérée et coupée pour laisser place à des bruitages d’épée fait avec la voix (si, si, c’est très moche)

Je pourrais recenser encore longtemps toutes les aberrations de ce film, mais ça serait vous spoiler le bonheur de regarder un film pareil. J’ai ri tout du long, c’était pire que tout ce que j’ai pu voir à présent, ce film est un ovni, complètement hors du temps.
Un vrai chef d’oeuvre de n’importe quoi.

Un type un peu fou prend le pari de s’évader d’Allemagne et d’atteindre Paris grâce à l’aide d’une vache.
Ça c’est du bon synopsis.
J’ai sûrement du voir ce film étant petite mais j’en avais que très peu de souvenirs. Je l’ai donc vu en entier, et j’ai drôlement apprécié.

Déjà, Fernandel est dans ce film un brave gars hyper attachant, lui et sa vache forme un couple des plus attendrissant, ils passent par toutes les péripéties, c’est souvent drôle, quelque fois absurde, mais c’est très bien tourné et surtout il y a dans ce film des répliques géniales et des moments d’humour vraiment hilarants.
Et puis cette fin !

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on y croyait pourtant jusqu’au bout !
J’ai donc beaucoup aimé, ça m’a changé un peu des films vraiment tristes sur le sujet, et puis Marguerite est adorable, surtout quand elle lance un dernier « meuh » pour la route.

Benedict Cumberbatch est Alan Turing, un mathématicien de génie , qui tente tant bien que mal de cacher son homosexualité. Il agit comme un parfait égoïste, n’ayant aucune conscience du monde qui l’entoure, il passe sa vie à calculer. Quand on lui demande de venir décrypter les messages codés et de casser le code d’Enigma une machine allemande dont les codes sont indéchiffrables car ils changent chaque jour, débute alors pour Alan une collaboration avec quelques uns des plus grands "décodeurs" d’Angleterre.

J’ai bien aimé la manière donc ils ont abordé cette histoire, ça se regarde vraiment bien, on s’intéresse très vite à Turing, puisqu’on voit aussi son adolescence via ses souvenirs. Le rôle va très bien à Cumberbatch, les seconds rôles sont tout aussi géniaux.

Ça nous permet aussi de voir sous un autre aspect comment étaient traité les homosexuels en Grande Bretagne à l'époque et les effets dévastateurs sur leur vie (prise d'hormones, séquelles psychologiques...)
C'est quand même une histoire extrêmement importante ça valait bien un film. Rappelons que les statisticiens estiment que Turing a écourté la guerre de 2 ans, et sauvé environ 15 millions de vies.

La mer de l’aube est un téléfilm franco-allemand de 2011. On suit l’histoire de plusieurs points de vue : celui d’un officier allemand, celui des français de la résistance, celui d’un soldat allemand etc... Pour un soldat tué, 150 hommes seront pris en otage pour que ce remettent aux autorités les auteurs de l’attentat.
Pour un téléfilm, c’était plutôt intéressant, on y parle d’attentats et d’otages dans une France envahie d’allemands. Les acteurs sont tous très bons (notamment le jeune Léo-Paul Salmain qui joue Guy Môquet)
Après c’est plutôt filmé bizarrement, on a des cadres de travers parfois, on comprend pas trop pourquoi, des plans étranges...
Un téléfilm pas indispensable, mais intéressant pour le propos qu'il aborde.

J'ai beaucoup aimé ce film. L'histoire est bien amenée : celle d'un monsieur tout le monde qui sans le chercher ni le vouloir se retrouve à cacher des enfants juifs dans sa cave et à essayer de leur sauver la vie en partant avec eux pour la Suisse.

Batignole est un personnage attachant, un personnage qui ne défend ni sa lâcheté ni son courage. Il s'avère que les choix qu'il doit faire lui tombent dessus, si au début, il ne semble pas téméraire, ce sont les enfants qui lui donnent la force et le courage de se lancer dans une entreprise aussi dangereuse que salutaire.

Les acteurs sont tous formidables, à commencer part les enfants qui sont vraiment attachants et plein de force de jeu (enfin surtout Jules Sitruk qui est incroyable). Gérard Jugnot tient tout le film sur ses épaules, et Jean-Paul Rouve est incroyablement détestable.
Bref, un film à voir.

On suit donc une équipe de soldats de la Tunisie, à la Sicile, en passant par Omaha beach, la Belgique et l’Allemagne.
Ils sont 5 : Lee Marvin en grand chef, Luke Skywalker en dessinateur, Sam l’écrivain qui fume cigares sur cigares, le blond infirmier, et le dernier qui lui penche pour les cigarettes.
Ils m’ont beaucoup fait penser aux petits gars de The Pacific, ils sont jeunes, tout mignons, mais s’endurcissent au fil du temps.
Ils se retrouvent dans des situations improbables du genre

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ils font accoucher une femme dans un char en plein milieu d’un chant de bataille, Luke Sywalker fait l’amour dans un asile psychiatrique, Lee Marvin met une fesse à un garçon de la jeunesse hitlérienne...

J’ai bien aimé dans l'ensemble.

J'ai bien aimé ce film, déjà parce qu'il montre des trucs dégueulasses

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(du genre un char qui roule sur un homme dont la tête explose, où un autre qui se fait sauter la cervelle parce qu'il est en train de bruler); ça remet bien dans le contexte.
Ensuite les personnages sont sympathiques, on a l'éternel meneur dur mais excellent leader, que tous voient comme un menteur, le petit dernier trop adorable (oui, j'ai trouvé Logan Lerman adorable mais il faudrait qu'il sorte un peu de ces rôles de pipou, ça lui changerait un peu), ça reste un peu cliché mais faut avouer que ça marche bien. La suite du casting est un condensé de gens connus, de Shia LaBeouf à Michael Pena, du coup on reconnait beaucoup de têtes et facilement ce qui n'est pas pour déplaire dans un film de guerre où on a du mal à les reconnaitre de suite.

Ne suivre qu'un petit groupe est une bonne idée mais pas très originale, les suivre dans un char pendant 2h15 ça ça l'est. Comment ils faisaient ? C'est un peu comme les gars dans les sous marins c'est à devenir barjot !

Bref, j'ai bien aimé, dans l'ensemble.

J’ai bien aimé, la vision des allemands qu’on nous donne dans ce film. Le personnage de Marlon Brandon est tout en réflexion, on voit le développement de sa pensée durant tout le film, au début il donne une chance au parti nazi sans y prendre jamais part, il espère un renouveau du pays. Peu à peu, ses convictions s’effondrent pour laisser place à l’incompréhension. Nos américains eux, se voit engager sur le front, l’un est un homme qui tente d'échapper à la guerre, l’autre un petit juif qui tombe amoureux d’une jeune femme.
Le film est long, mais il se laisse vraiment bien regarder, notamment dû aux personnages très intéressants.

Il y a une tonne de personnages, tous plus attachants les uns que les autres, le film tire souvent vers la comédie, et même si ça tient du drame, on se voit plus souvent rire que pleurer.
J’ai beaucoup aimé, parce que justement ça joue sur deux registres, les acteurs sont tous sympathiques (et on les reconnait pour la plupart : Lee Marvin, Charles Bronson, John Cassavetes et Donald Sutherland en tête). C’est bien amené, bref, même si ça reste fictionnel, il n’en reste pas moins un bon divertissement.

Un pont trop loin c’est d’abord un casting de fous furieux : Sean Connery, Robert Redford, Ryan O’Neal, Anthony Hopkins, Gene Hackman, James Caan, Michael Caine etc... Bref le must des 70’s.
C’est bien dommage que le scénario ne soit pas à la hauteur de tout ce beau monde : les gars doivent aller libérer des ponts, plusieurs donc, on reste seulement sur le côté militaire et stratégique de la guerre. On perçoit la résistance en arrière fond mais que trop peu. Il y a beaucoup de lourdeurs, c’est long et souvent chiant, quelque peu contemplatif.

On s’amuse à retrouver dans le tas les têtes connues, c’est à peut près la seule chose passablement intéressante.
Ça reste quand même un film militaire qui peut plaire à certains. Ça n’aurait pas duré 2h40 ça m’aurait sûrement un peu plus enthousiasmer

J'aime bien quand Godzilla est un gentil, bon il détruit tout sur son passage mais c'est pas sa faute s'il est super géant. Godzilla est sympa donc, ses ennemis le sont moins et veulent faire plein de bébés.
À côté de ça Aaron Johnson essaye de sauver le monde mais à son niveau (un bon point, tout le monde n'est pas Bruce Willis).
Ce qui peut gêner reste la photographie un peu/beaucoup sombre.
Un blockbuster assez bon cela dit.

Je vais sûrement mettre ce qui sera la seule critique négative du site sur ce film (même si j'espère ne pas être la seule à penser ça).
Les comédies françaises ont ce don de tomber très vite dans la surenchère, tout est exagéré au possible, des blagues toujours plus grosses, aux acteurs toujours plus théâtraux.
Le sujet est à la base plutôt tentant, je suis fan d'humour noir, j'aime l'autodérision plus que de raison, mais quand il mène à une réflexion c'est un peu mieux. Là on nous sort le "oui on peut rire de tout", je suis bien d'accord, mais mettez y la forme, donnez nous de quoi réfléchir ensuite. L'histoire est plate, archi-revue, y'a pas un seul cliché de comédie romantique française qui ne se retrouve pas ici

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(les parents pas contents, les beaux frères/soeurs qui essayent de faire tout capoter, le happy ending...), c'est navrant de ne voir aucune imagination dans ce scénario.
Les scénaristes français nous ont prouvé qu'ils pouvaient largement faire mieux, que humour ne rime pas forcément avec "aucun fond" (je pense au Prénom par ex), les acteurs nous ont aussi prouver qu'une bonne comédie c'est aussi un BON ACTING (je pense à Intouchables).
En gros, j'ai trouvé ça assez ridicule, toutes les blagues sont déjà vus, on tombe direct dans la surenchère bref, peut largement mieux faire.

Ce Star Trek est assez marrant. D’abord dans son scénario : l’équipe de l’Entreprise pour sauver la Terre, doit retourner dans les années 1970 pour ramener un couple de baleines (voui voui) afin de pouvoir enrayer une destruction totale de la planète. Ensuite, la confrontation du futur aux années 1970 donne lieu à des situations et à des dialogues bien sympathiques (venant de toute l’équipe, Spock en tête).

Outre ce ressort comique, on a le droit à une belle fable écologique, en prenant pour porte-parole les baleines qui ont complètement disparu de la surface à l’époque de Kirk and co.
Ce film est dirigé par Leonard Nimoy (Spock), un Star Trek plutôt dans le comique, qui en fait un film bien sympathique.

J’ai jamais vu la série Star Trek, par contre j’aime bien me faire un petit film de la franchise de temps en temps, parce que c’est souvent drôle, plein d’imagination, et de personnages incroyables.
Dans ce cinquième volet, on retrouve nos amis contraints de voyager sur un Entreprise un peu obsolète que Scott est obligé de remanier entièrement. Après avoir fait semblant d’être en vacances (ces gens là ne sont JAMAIS en vacances), ils tombent

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sur le demi-frère de Spock (si, si, il nous étonnera toujours ce Spock)...

J’aime toujours autant les altercations entre Kirk, Spock, et McCoy, leur trio est toujours drôle, malgré les années. L’histoire est plutôt sympathique, avec des Klingons, des Vulcains, des révélations, et toujours cette équipe de choc aux commandes de l’Entreprise.

Ce que j’aime bien aussi dans les films, c’est que c’est parfois les acteurs qui sont à la réalisation et au scénario. Si le précédent était sous la réalisation de Leonard Nimoy (alias Spock), celui-ci voit William Shatner (Kirk) aux commandes, ainsi qu’à l’écriture.