Un dessin animé drôle, coloré, qui délivre un beau message. Ce film tourne autour du passage de l'enfance vers l'adolescence, puis l'âge adulte, et toutes les questions qui l'entourent : la puberté, la soif d'indépendance, la quête de son identité. L'intrigue est conçue comme toute autre histoire, de sa situation initiale jusqu'à son dénouement, mais le concept est intéressant : une adolescente qui, lorsqu'elle est submergée par d'intenses émotions, se transforme en panda roux. Va-t-elle refuser ou accepter cette nouvelle part d'elle qui vient de naître ? Tout l'enjeu du film réside ici.
Mais le personnage de Mei ne serait pas aussi développé si ses parents, en particulier sa mère, et ses amies n'étaient pas là. Mei ne veut pas décevoir sa mère, alors elle travaille dur pour obtenir de bonnes notes, elle l'aide à faire le ménage dans le temple familial. Seulement, cette transformation en panda roux risque de tout bouleverser… Elle veut s'affirmer, sortir avec ses amies, et commencer sa propre vie ; quasiment tout le monde est déjà par là. C'est certainement le grand point fort de ce film : il y a tellement d'éléments auxquels le public, petit (mais peut-être, surtout grand), peut s'identifier.
En résumé, c'est un bon film à voir, autour de l'amitié, de la famille, et du passage à l'âge adulte, des sujets qui parleront à toutes et tous !

Un film prévisible mais drôle, sympathique à regarder. Malgré tout, le scénario est bien ficelé et on ne s'ennuie pas.

Une bombe émotionnelle !
De la joie à la tristesse, en passant par le doute et la colère, on traverse avec les personnages tout un éventail de sensations et d'émotions. Mais en plus de se concentrer sur les personnages et toutes les phases qu'ils traversent, ce film nous donne matière à réflexion sur des questions de société.
Un film porté par un casting de qualité et une bande originale sensationnelle !

Un pur chef d'œuvre, autant visuel que scénaristique !

Rebondissements sur rebondissements, ce film ne cesse de nous surprendre jusqu'à la fin. Au travers du récit de Wuming et des dialogues dynamiques entre le soldat et le Roi, on comprend progressivement toute l'histoire.

Les changements sont visuellement représentés par des couleurs, subtilement amenés. Les paysages sont magnifiques, des combats au ralenti émanent une certaine beauté également. On remarque un réel travail esthétique entre le jeu des couleurs, des paysages et des mouvements.

Un film sensationnel, au-delà de toutes mes espérances !

Dès le début, notre attention est captée. On se retrouve avec une situation : la véritable identité de Spider-Man est révélée, engendrant de lourdes conséquences à la fois pour Peter Parker et ses proches.

Avec ce film, on atteint certainement un point de non-retour pour Peter. S’il est, au début, un adolescent encore immature, il prend progressivement conscience des conséquences que ses actions peuvent avoir. Ses répliques partagées avec Stephen Strange sont révélatrices de cette évolution.

En réalité, tous les personnages connaissent un tournant. Les possibilités sont démultipliées avec le multiverse, et je suis très curieuse de voir ce que Marvel va faire avec tout ça par la suite. Le thème a été lancé avec la série “Loki” et va continuer de prendre de grandes proportions, comme le laisse penser le second volet de Dr Strange.

En tout cas, dans ce film, le multiverse est utilisé de manière très intéressante et assez comique.

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On retrouve une série d’antagonistes des anciens Spider-Man : le Dr Octopus, Norman Osborn (alias le Bouffon Vert), Max, l’homme de sable et le lézard. Mais, ô grande surprise, les deux “anciens” Spider-Man incarnés par Tobey Maguire et Andrew Garfield font également leur apparition ! Ils viennent en aide au Peter Parker interprété par Tom Holland, et c’est une sacrée équipe qu’ils forment !

Enfin, que serait un Marvel sans une bonne dose d’humour ? Ce film ne fait pas exception, on a l’occasion de rire plus d’une fois.

Mêlant action, émotions et humour, ce film ouvre la porte sur de nouvelles possibilités. Désormais, plus moyen de faire marche arrière…

À travers les différents plans-séquences qui constituent le film, on suit plusieurs personnages au sein de ces "Maisons des fleurs". Ce huit clos dresse le portrait d'hommes, mais surtout de femmes aspirant à l'indépendance, à l'amour, à se libérer de leur condition dans ces maisons où elles semblent prisonnières.

Un film oscillant entre rêve et réalité. Du début à la fin, c'est difficile de dire où est la limite.

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Lorsque Sang Yu se réveille de nouveau devant ce magasin, avec la fille, on revient au début après toutes ces péripéties que l'on croit donc venir d'un rêve. Peut-être est-ce le scénario de son dernier film thriller dont son ami parlait. Mais alors que l'on finit par penser que tout cela est simplement sorti de l'imagination du scénariste, le vendeur de pancakes nous met de nouveau le doute : il fait aussi allusion à cet argent gagné "en troquant sa vie". Alors, rêve ou réalité ?
L'intrigue est bien ficelée et on suit les évènements tout en voulant en savoir plus. D'où viennent toutes ces créatures qui l'attaquent dans ses rêves ? Comment arrive-t-il à faire le pont entre ses rêves et la réalité ? Mais on n'aura pas le droit à des réponses très claires - ou alors, il mérite un second visionnage.
Les personnages sont attachants et on ressent tout de suite de la compassion pour ce jeune scénariste à qui toutes les mésaventures semblent arriver.

C'est certainement un bon film, avec un casting de qualité et une musique envoûtante ; mais il ne m'a pas emballée plus que cela. Il y avait quelques longueurs, l'action tardait à arriver. Soulignons malgré tout le développement très approfondi du personnage principal remarquablement interprété par Robert de Niro. Tout du long, il demeure ambigu : la limite entre le bien et le mal est floue. J'ai bien aimé comment la fin a été amenée.

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Tout d'abord, tout nous laisse penser qu'il va complètement basculer dans le meurtre et la folie. Mais, retournement de situation, on a eu tort ! Finalement, il a agi, bien que violemment, pour sauver une jeune fille de la prostitution.

Un film d'une grande beauté, que ce soit pour les plans, la musique, les acteurs. Le rythme est particulièrement lent, mais il illustre bien la relation progressive entre les deux personnages principaux, Mme Chan et Mr Chow. On éprouve de la peine pour eux et on aimerait qu'ils soient heureux ensemble. Si au début ils ne semblaient rien éprouver l'un pour l'autre, leurs sentiments viennent à changer, mais la vie aussi.
Cependant, certains passages peuvent paraître un peu flous au premier visionnage. Il faudrait sûrement revoir ce film une seconde fois pour en déceler plus de détails, car c'est là où se trouve toute la subtilité et l'art.

Blue Velvet dépeint une sombre ambiance, dès le début

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quand Jeffrey trouve une oreille humaine sur l'herbe, cela annonce d'ores et déjà la couleur ! Jeffrey se lance dans une affaire dont il n'aurait jamais imaginé l'issue… Mais après tout, s'il n'était pas aussi curieux, il n'y aurait pas de film, n'est-ce pas ?

En même temps que lui, nous, spectateurs, découvrons progressivement ce qui se cache derrière ce mystère ; pour cela, le film nous tient bien en haleine jusqu'à la fin. À chaque nouvelle scène, on attend de voir la suite, impatients de découvrir comment la situation va tourner.

Les chansons soigneusement choisies, leurs paroles font parfaitement écho avec chacune des scènes où elles sont jouées, la chanson "Blue Velvet" de Bobby Vinton en tête. La romance apporte une touche de légèreté appréciable parmi les scènes intenses et violentes.

Ce n'est pas le genre de films que je ne me lasserais pas de regarder, mais "Blue Velvet" est tout de même à voir, ne serait-ce que pour la culture - il s'agit du premier film de David Lynch que je vois.

Je ne m'attendais pas vraiment à cela, mais j'ai plutôt été agréablement surprise. S'il y a tout de même de la violence, ce n'est pas extrême et le film laisse la place à une histoire bien ficelée.

Jim Hanson risque de perdre sa maison située à la frontière entre l'Arizona et le Mexique. Alors que toute sa vie est en train de s'écrouler, elle est complètement bouleversée par une femme et son fils ayant fui le Mexique pour arriver aux Etats-Unis. Après la mort de cette femme, Jim décide de respecter sa dernière volonté et d'amener Miguel à sa famille à Chicago. Mais leur route sera semée d'embûches...

On voit la relation entre l'homme et l'enfant évoluer tout au long du film, passant de l'hostilité à la sympathie. L'intrigue peut être prévisible par moments, mais cela n'empêche pas d'apprécier ce film dont le rythme effréné de l'action chasse tout ennui.

Un film durant lequel on retient notre souffle, qui a un étrange écho avec la situation actuelle. Époustouflant, autant sur le plan des personnages que de l'intrigue et des dialogues.

L'idée d'un virus anéantissant l'humanité a peut-être été reprise maintes fois, mais l'angle adopté dans ce film est original. Robert Neville (Will Smith) se retrouve seul avec pour unique compagnie son chien, face à des contaminé.es devenu.es presque comme des zombies qui ne peuvent se déplacer que dans l'obscurité. Alternant entre moments de solitude la journée et scènes quelque peu angoissantes une fois la nuit tombée, ce film nous tient en haleine du début jusqu'à la fin. Et c'est sans compter les multiples péripéties qui rajoutent de l'huile sur le feu. Le film est aussi rythmé par des flashback qui apportent des explications sur la situation.

On peut ressentir toutes les émotions que traverse Robert tout au long de ce film, et on le comprend. Comment ne pas devenir fou avec tout ça ? Inutile de préciser que la performance de Will Smith est plus que convaincante.

Ce film se laisse regarder, avec quelques beaux paysages et scènes drôles, mais il manque globalement d'originalité.

Je l'ai vu après "Yin Yang Master" et j'avoue avoir été un peu perdue au début. Je vais donc le préciser d'emblée : ces deux films, bien que leurs titres soient similaires et que certains personnages ont le même nom, n'ont pas vraiment de lien. Ils sont tous deux l'adaptation du roman / jeu vidéo Onmyōji, mais ils sont complètement indépendants l'un de l'autre.

Maintenant que ce point est précisé, revenons sur "The Yin-Yang Master: Dream of Eternity".

Au début, c'était assez confus (en plus pour les raisons évoquées ci-dessus). Mais une fois cette confusion passée, j'ai pu apprécier pleinement le film. Tout d'abord, remarquons ses images et paysages à couper le souffle, nous mettant des couleurs pleins les yeux. Les scènes de magie font également drôlement penser à Dr Strange...

Les personnages sont attachants, autant les principaux (Qing Ming et Boya) que les plus secondaires (la princesse, He Shouye). Ces derniers cependant sont restés mystérieux jusqu'à la toute fin du film. Il est vrai que l'histoire est restée confuse jusqu'à la fin pour ma part. J'avais du mal à comprendre ce qu'il se passait.

Il semblerait que ce film soit une adaptation d'un roman / jeu vidéo japonais, Onmyōji. Mais, ne le connaissant pas du tout, je ne pourrais pas dire s'il est fidèle ou non.

Les personnages sont drôles et attachants. Ajoutons à cela de très belles images ; on en prend pleins les yeux ! L'intrigue, néanmoins, est quelque peu prévisible. Mais cela n'empêche pas de passer un bon moment devant ce film.

Deux belles histoires d'amour qui nous plongent au coeur de Hong Kong. Deux policiers se retrouvent seuls après le départ des femmes qu'ils aiment. Contrairement à ce que l'on pourrait penser, il n'y a pas vraiment de lien direct entre eux

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si on exclut la brève rencontre du matricule 223 (1er personnage) avec Fayue, qui va tomber amoureuse du matricule 663 (2ème personnage) - la 2ème partie est amenée avec tact !, on suit leurs histoires indépendamment l'une de l'autre. Mais cela n'empêche pas d'apprécier chacune d'elles.

Ce film adresse habilement les questions de l'amour, la rupture et la solitude. Des dialogues portés par un casting de qualité, sur fond de musique entraînante et avec des plans soignés.

Un beau film à voir :)

Depuis le temps où j'entendais parler de ce film, je l'ai enfin vu. Et c'était plutôt une bonne surprise !
L'idée de Matrix est originale, d'autant plus pour l'époque j'imagine. Malgré tout, de nombreux sujets résonnent encore aujourd'hui.
Une intrigue bien ficelée, un casting de qualité, de bons effets spéciaux ; tous les ingrédients semblent réunis pour un film réussi !
Hâte de voir la suite :)

Un biopic émouvant, instructif, et encore émouvant ! Un casting de qualité, avec Benedict Cumberbatch dans le rôle principal ; il donne un charme à cet homme hors du commun, ce qui n'est pas sans rappeler son interprétation d'Alan Turing dans Imitation Game notamment. La musique est prenante, les images sont belles. Des dialogues qui font à la fois sourire et pleurer. "La Vie extraordinaire de Louis Wain" est une très belle découverte !

Si je m'attendais à une revisite originale de Peter Pan, j'avoue avoir été déçue. Tout d'abord, les plans saccadés de caméra ont fini par me dissuader de regarder la fin. De plus, on ne voit pas où l'histoire va aller. Quand elle prend une tournure inattendue, dérangeante et violente, je n'arrive plus à poursuivre mon visionnage.

Bien sûr, ce n'est que mon avis, et je peux bien imaginer que d'autres personnes l'aient apprécié ; ce film n'était simplement pas de mon goût.

Je suis mitigée sur ce film. Je m'attendais à une romance dans le même état d'esprit que Bright Star de la même réalisatrice, mais j'étais loin d'imaginer que ce film serait aussi sombre.

C'est peut-être intentionnel, mais je l'ai trouvé assez froid et dérangeant. Il est difficile de cerner les pensées et les motivations des personnages. Malgré cela, le film est porté par une belle musique.

Un film d'aventure tout à fait sympathique, avec des personnages drôles et attachants. Même si l'intrigue est prévisible, les péripéties ne laissent aucune place à l'ennui. Un bon film à voir, qui peut être apprécié des petits comme des grands.

Une suite à laquelle on ne s'attend pas forcément, mais qui permet d'en découvrir plus sur les personnages. Ce film est aussi touchant que le premier, si ce n'est peut-être plus, prônant des valeurs de bienveillance et d'amour. C'est adorable de voir comment ces enfants essaient de faire tout ce qu'ils croient possible, pour une grande surprise pour leur mère à l'occasion de Noël.
Si vous avez aimé le premier court métrage, celui-ci ne vous décevra pas non plus.

Un beau court-métrage, autant dans les graphismes de l'animation que dans l'histoire. Les personnages sont attachants, et on vit la magie de Noël à travers les yeux d'une enfant, Angela, une petite fille au caractère bien trempé mais au grand coeur.

Je ne savais pas à quoi m'attendre, mais j'ai été agréablement surprise. L'histoire n'est peut-être pas extraordinaire et elle est prévisible, mais elle réchauffe le coeur. Avec une touche d'humour et de magie, "David et les lutins" saura plaire aux petits comme aux grands. Un bon film à regarder en famille en cette période de fêtes de fin d'année.

Un beau conte de Noël qui raconte les origines de cette fête où la bonté est le maître mot. On suit les aventures de ce jeune garçon et de son amie la souris (qui est, au passage, assez drôle), une quête vers un pays des lutins que l'on ne peut voir que si l'on y croit. Ce film saura plaire aux petits comme aux grands.

En une phrase : Une comédie originale qui réchauffe le cœur.