Commentaires de films faits par Apollo8
Répliques de films par Apollo8
Commentaires de films appréciés par Apollo8
Répliques de films appréciées par Apollo8
C'est un film sans grande prétention, mais qui nous fait passer un bon moment derrière notre écran.
On se laisse porter par ce récit de loup-garou, tout en appréciant les références faites au conte du Petit Chaperon rouge. L'histoire d'amour est belle mais ne m'a pas transcendée plus que cela.
Ce film était bien, mais ne m'a pas vraiment emballée.
À voir par simple curiosité ;)
J'avoue avoir été quelque peu déroutée au début puisque je ne me souvenais plus très bien des films précédents. Mais cela ne m'a pas empêchée d'apprécier pleinement le film par la suite. Même sans vraiment faire de lien au début, on est directement plongé dans l'action et on se prend vite au jeu.
Les cascades sont toujours aussi sensationnelles, tout comme le casting et la musique. Les nouveaux personnages ont du charme et ne manquent pas de nous faire esquisser un sourire.
Un bon film que je conseille (encore mieux si on le voit au cinéma).
Je ne connaissais pas l'histoire originale du roman ni les anciennes adaptations, je ne pourrai donc pas comparer. Mais en ce qui concerne ce remake, il est très bien amené, les informations coulent de sens sans que les personnages aient besoin de nous expliquer la situation en détail.
Cela valait le coup de le voir au cinéma ! Une belle découverte... Hâte de voir la suite !
Sur un fond apocalyptique, on suit les (més)aventures d’une famille très particulière mais qui, au final, pourrait en représenter plusieurs. On s’attache rapidement aux personnages
L’idée est originale : des personnes avec la capacité de se téléporter où elles le souhaitent, par une simple pensée. Le film s’annonce intéressant. Seulement, l’histoire des pouvoirs est expédiée très rapidement pour laisser la place à une romance assez banale et à un groupe de « méchants » qui met tout en place pour contrer le « héros ». Pourtant, le « chef des méchants » n’est pas n’importe qui, puisqu’il s’agit de Samuel L. Jackson ; le casting n’était pas de mauvais goût.
Parlons désormais des personnages. J’ai trouvé que la petite-amie de David manquait de profondeur. Elle donne l’impression d’être présente seulement pour accompagner David et pour qu’il vienne la sauver à la fin. Sinon, on ne sait pas grand chose d’elle mis à part le fait qu’elle aime voyager. En revanche, un personnage a davantage capté mon attention :
En résumé : j’ai bien aimé l’idée, mais j’ai trouvé que le film aurait pu aller davantage en profondeur.
L’idée première est déjà originale : un enfant adore écrire des histoires d’épouvante, mais il se voit forcer d’en créer s’il ne veut pas se faire tuer par une sorcière qui le retient prisonnier. Que va-t-il se passer à partir de cela ?
Au début, on ne nous laisse pas le temps de comprendre, on est immédiatement plongé en plein cœur de l’action. Les péripéties s’enchaînent, puis on commence à en apprendre davantage sur les personnages. On découvre aussi des lieux tous plus extravagants les uns que les autres. Le rythme soutenu nous empêche de nous ennuyer, tandis que le suspense continue de nous tenir en haleine. L’intrigue suit un cours assez classique, mais cela n’est pas très dérangeant.
Notons une certaine originalité, tout de même, concernant l'intrigue. Le simple fait de passer de la planète Terre du 19ème siècle à la planète Mars est original. Certes, quelques éléments peuvent être prévisibles, mais d'autres le sont moins
Un bon film d'aventure, avec une touche de science-fiction, à voir et revoir.
Un bon moment passé devant ce film, un moment hors du temps.
"En avant" est certainement destiné à un public plus âgé -des petits enfants le comprendraient difficilement. Il saura vous divertir, vous faire rire, et vous émouvoir. Dans un monde imaginaire, on y retrouve plusieurs éléments qui nous sont familiers.
À voir et à revoir !
En règle générale, ce film est bien réalisé, et on passe un bon moment face à notre écran.
Tout d'abord, l'esthétisme est sublime. Les couleurs, les tenues, un vrai régal pour les yeux. L'ambiance est assez similaire à celle des fêtes de Gatsby, festive voire quelque peu excessive. Mais après tout, la famille principale est "follement riche", comme l'indique le titre ; on ne pouvait s'attendre à moins.
C'est dans cette famille richissime qu'a grandi Nick Young, qui retourne dans son pays natal, Singapour, pour assister au mariage de son meilleur ami. Il décide également d'inviter sa petite amie, Rachel Chu, une chinoise américaine professeur d'économie à New York. C'est avec une grande surprise qu'elle découvre les origines de son petit-ami, dont il n'avait jamais fait part jusqu'alors.
Différentes façons de penser et de vivre se confrontent, entre les valeurs de la famille et celles d'un bonheur individuel. Ni l'une ni l'autre n'est la meilleure, elles sont simplement différentes. C'est amené de manière juste dans ce film, à travers des personnages complexes.
Les personnages centraux sont présentés avec profondeur. Rachel est une femme forte et déterminée, mais qui doute parfois. Qui ne serait pas déstabilisé de se retrouver à sa place ? Tant de responsabilités reposent sur ses épaules, elle qui tente de se faire une place dans une famille dont la majorité la considère d'un mauvais oeil. Eleanor Sung-Young, la mère de Nick, pourrait apparaître comme une antagoniste, se dressant contre la relation entre Rachel et son fils ; mais ne se comporterait-elle pas ainsi en raison de ses propres valeurs ? De son point de vue, la famille est plus important que tout, même plus que l'individu ; elle ne comprend pas le comportement de Rachel.
Il serait possible de s'étendre sur d'autres personnages, comme Peik Lin, l'amie de Rachel au caractère flamboyant et attentionné, ou encore Astrid, la cousine de Nick [spoiler]brisée par la découverte de l'affaire qu'entretient son époux ; mais je vais vous épargner ces détails.
En bref, Crazy Rich Asians est un film non seulement divertissant, mais qui donne également à réfléchir sur les différences culturelles, l'amour, le respect, et tant d'autres thèmes.
Pour toutes ces raisons et d'autres qui ont pu être omises, ce film vaut la peine d'être vu.
Mais il reste un classique à voir, et on ne s'ennuie pas une seule seconde non plus !
De beaux décors, costumes, un casting convaincant avec Rooney Mara et Joaquin Phoenix au premier plan, et une belle bande son — un des compositeurs a également écrit la musique du film Joker (2019), dont j’ai reconnu un air.
En règle générale, ce film est très beau et réussi. Néanmoins, j’ai eu du mal à accrocher par moments, car la réalisation est assez lente. C’est certainement intentionnel, pour nous permettre d’apprécier chaque scène, de peser chaque mot ; et c’est aussi ce qui fait l’originalité et la beauté de ce film. Après tout, ce n’est pas censé être de l’action comme on voit dans d’autres oeuvres Hollywoodiennes. Mais cette lenteur m’a également empêchée d’être captivée.
Ceci étant dit, “Marie Madeleine” délivre un beau message, non seulement sur la condition de la femme, mais également de l’humanité. Un film promouvant l'amour et la compassion pour les autres.
En ce moment de Pâques, un beau film à voir, qui nous offre une autre perspective de cette histoire datant de plus de deux mille ans.
J'ai également beaucoup apprécié l'ambiance anglaise, son accent Frenchie poussé à l'extrême et, toujours, la réaction encore plus surprise des anglais face au comportement osé de cette femme.
Des blagues parfois cinglantes, qu'il faut bien sûr prendre au second degré pour les apprécier.
Une belle découverte !
Quasiment tout dans ce film est improbable dans la vie réelle ; mais c'est ce qui contribue à sa magie, en quelque sorte.
Coloré, excentrique, de la bonne humeur ; haut en couleurs et en émotions.
Un bon moment passé devant ce film... qui se finit souvent en karaoké.
Néanmoins, j'ai trouvé que l'allusion au sexe était quasi omniprésente, et les femmes n'étaient pas représentées d'une façon avantageuse, simplement présentes pour coucher avec les hommes.
Mis à part cela, on passe un bon moment devant ce film. Diverses péripéties s'enchaînent, sans prise de tête, mais drôles et qui empêchent de s'ennuyer. Les personnages sont aussi attachants.
Les personnages sont profonds. Ils ne sont ni bons, ni méchants, mais ils font ce qu'ils pensent être juste. Toutefois, leur jugement peut être limité par leur vécu, leurs croyances, leurs idées. Mais au final, chacun est confronté à ce que l'autre ressent - cela s'applique surtout à la famille Eamons. La relation que Jared entretient avec ses parents est toute aussi complexe, mais aussi émouvante.
"Boy erased" ne laisse pas indifférent.
Néanmoins, là n'est certainement pas l'objectif du film, qu'il faut considérer plus largement, puisqu'il s'inscrit dans l'univers étendu Marvel. Il marque le début de la grande franchise, et les références aux autres films et personnages sont bien présentes - [spoiler]je pense notamment à Howard Stark.
L’histoire est bien ficelée, contée par l’écrivain de l’histoire, Nick Carraway. Comme lui, on se pose des questions quant à ce qui se cache derrière le nom de Gatsby. Son identité éveille notre curiosité, ainsi que ses coups de téléphone, ses messes basses... On veut connaître la suite. L’histoire prend une tournure intéressante, à mesure que l’on découvre qui est réellement ce Jay Gatsby.
L’ambiance de ce film, si particulière aux années 20, expose nos yeux aux couleurs éblouissantes, aux costumes extravagants, aux décors époustouflants. S’il y a un mot qui caractériserait bien le début du film, ce serait probablement l’excès. La musique et sa modernité contrastant avec l’époque donne une touche originale au film.
Une belle musique qui accompagne les scènes de joie et de tristesse, tantôt une chanson entraînante, tantôt une mélodie douce jouée au piano. Les décors anglais étaient également très appréciables, ainsi que les beaux costumes. Le jeu des acteurs est sans prétention, mais juste. L'histoire est simple, aucune réelle complication vient entraver la compréhension de l'intrigue générale.
J'avoue avoir eu un peu de mal à accrocher parfois, notamment lorsque le personnage principal se met en quête d'avoir une petite amie. J'ai trouvé les histoires d'amour un peu trop rapides, bien que le voyage dans le temps s'y mêle. J'étais au début légèrement déçue par ce manque d'originalité, tout semblait prévisible. Mais, n'aimant pas abandonner un film en cours de visionnage, j'ai continué de le regarder ; et au final, c'est un beau message qu'il nous donne. Peut-être certes pas plus original, mais qui n'est jamais assez répété.
Ce message, c'est celui d'apprécier chaque jour que l'on vit, comme si c'était le dernier.
Si c'était possible, certains d'entre nous aimeraient également retourner dans le passé et revivre les meilleurs moments de notre vie. Ou simplement des moments passés avec ceux qu'on aime.
Alors, nous devons profiter de chaque moment, pour ne pas avoir de regrets par la suite, et car nous ne pouvons pas retourner dans le passé.
C'est ce que ce film cherche à montrer, à travers son personnage, Carl Allen, qui est tout d'abord un homme dont la vie l'ennuie. Lorsqu'il commence à dire oui à la vie, son existence change radicalement, et il trouvera du sens à chacun des choix qu'il a pris
Alors, profitons de la vie et tentons toutes les expériences que l'on souhaite !
Il est tout aussi poignant. Il nous prend du début jusqu'à la fin sans jamais nous lâcher - tout en nous faisant bien sursauter à maintes reprises... Les personnages, la musique, les effets spéciaux, ainsi que le jeu entre l'image et le son ; tout est aussi somptueux que le premier volet. Ce dernier se concentrait davantage sur les parents qui faisaient tout pour protéger leurs enfants, tandis que ce second film laisse la place aux enfants qui doivent se débrouiller seuls, comme l'a dit le réalisateur. C'est une belle métaphore du moment où les enfants sont lancés dans la vraie vie et doivent prendre sur eux.
En résumé, c'est une suite réussie... mais qui appelle encore à un autre film ?! J'espère qu'ils avaient un troisième volet en tête...