Le salaire de la peur
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Commentaires récents
Une excellente adaptation d'un très bon roman. Charles Vanel génial. Yves Montant également. La force du Noir et Blanc
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La tension est palpable et suinte à chaque tours de roues des protagonistes. Un grand film où le suspense est roi. Yves Montand et Charles Vanel forment un duo très crédible. Le film à eu droit à son remake U.S. qui même s'il est de bonne facture, n'a pas la poésie de celui-ci.
En route... Et surtout évitez les nids de poules !
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Un classique dont le suspens nous donne parfois la chair de poule ! On est absolument dans le film, les acteurs nous font presque oublié la présence des caméra sur le plateau... Foncez !
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Ce film est excellent. Sur un principe simple - le transport d'un chargement d'explosif, Clouzot nous tient en haleine d'un bout à l'autre avec des péripéties sans cesses renouvelées et un Montand au top !
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La chute est quelque peu brutale. Sinon, on est tout de suite avec les deux personnages principaux.
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La seule chose que je puisse reprocher à ce film c'est de le situer au Guatémala où il n'y a pas de gisement de pétrole. Peu importe, c'est passionnant, bouleversant quand les durs deviennent sentimentaux, stressant.
Ce film a du souffle! Yves Montand, Charles Vanel, Peter van Eyck et l'inattendu Dario Moreno, tous font un job fantastique de vérité.
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Date de sortie
Le salaire de la peur
- France : 1953-04-22 (Français)
Activité récente
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Évaluations
Les chiffres
| spectateurs | 123 |
| Commentaires | 6 |
| répliques | 1 |
| Evaluations | 23 |
| Note globale | 7.86 / 10 |
Synopsis
Guatémala, 1951. Après diverses péripéties, un groupe d'Européens a échoué à Las Piedras, une misérable bourgade où règnent la misère et le chômage. Un jour, un puits de pétrole est ravagé par un gigantesque incendie. Une compagnie pétrolière américaine, la SOC, décide alors d'embaucher quatre hommes afin de convoyer 400 kilos de nitroglycérine, répartis en deux camions, jusqu'au puits de pétrole. Quatre des Européens sont engagés : Mario, Jo, Luigi et Bimba. Mais la tâche ne sera pas aisée, car les routes sont presque impraticables... Plusieurs épreuves se succèdent : « tôle ondulée », ponts délabrés... et trou empli de pétrole où Jo perdra sa jambe, écrasée par le camion White 666 de White Motor.
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