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À la PJ chaque enquêteur tombe un jour ou l’autre sur un crime qu’il n’arrive pas à résoudre et qui le hante. Pour Yohan c’est le meurtre de Clara. Les interrogatoires se succèdent, les suspects ne manquent pas, et les doutes de Yohan ne cessent de grandir. Une seule chose est certaine, le crime a eu lieu la nuit du 12.
D'après le roman 18.3 – Une année à la PJ de Pauline Guéna paru chez Denoël.
Bon film sur une affaire criminelle qui reste encore à ce jour non résolue (de par le grande nombre de suspects potentiels et le manque d'informations concrètes) et qui va donner beaucoup de fil à retordre aux policiers de la PJ. Bravo à tous les acteurs(trices) notamment Bastien Bouillon que je ne connaissais pas et Bouli Lanners dans un registre plus dramatique que ce qu'on lui connait d'habitude, qui occupent une grande partie de la caméra avec brio. Quelques moments de longueurs cependant, mais l'ensemble reste suffisamment intéressant pour tenir jusqu'à la fin.
Globalement, c'est un polar d'une très belle qualité et que j'ai pris grand plaisir à voir ; il manque cependant la petite étincelle qui m'aurait fait le classer plus haut dans ma cinétheque.
On s'inspire d'un fait réel, un féminicide assez sordide, aujourd'hui encore irrésolu. Le film annonce la couleur dès le départ : il n'y aura pas de résolution, donc ne l’espérez pas, vous allez être déçus. On pourrait trouver ça frustrant, mais moi j'ai trouvé ça original et percutant, parce que ça permet de raconter une autre histoire. Plutôt que nous raconter une enquête qui n'aboutit pas, on va s'intéresser à la façon dont cette enquête percute la vie de ces gens, policiers, suspects ou victimes.
Ça porte pour moi une réflexion bien plus grande que simplement une enquête "qui qui a tué ?". On nous parle condition féminine, traitement de ce genre de crime par la police, les clichés et petites phrases déplacées qui ont la vie dure et qui parasitent les enquêtes. On nous parle de la police, milieu majoritairement d'hommes, en position de pouvoir, confrontés à une violence quotidienne, qui n'empêche pas un entre-soi qui use et fait malheureusement ressortir pas mal de mauvais côtés de l'être humain. On parle aussi de personnalités plus lumineuses et porteuses d'espoir dans ce milieu.
Le tout est porté par une réalisation pas hors du commun, mais qui fait le taf - elle a eu le César, mais personnellement j'ai trouvé Novembre de Cedric Jimenez plus aboutis cette année là. Si les paysages sont bien mis en valeur, on n'aurait par exemple pu éviter l'image gros sabots du policier qui tourne en rond dans sa piste de cyclisme. L'interprétation est globalement bonne, la colère explosive de Bouli Lanners comme celle plus contenue de Bastien Bouillon sont parfaitement maîtrisées. Plus largement, je trouve le casting assez malin et bien pensé, car faisant appel à des acteurs un peu moins connus, qu'on n'a pas vus ou revus partout, voire associés à un rôle sans aucun rapport (Pierre Lottin, aka Tuche Daddy), ce qui vient provoquer la surprise.
Je n'ai pas du tout apprécié ce film. Je sais qu'il soulève beaucoup de questions, et pas seulement celle du crime, mais je le trouve inutile. L'histoire en elle-même n'est pas incohérente (elle est vraie de toute manière), mais regarder ça pour moi était une perte de temps. On apprend rien de constructif, sauf l'histoire de l'affaire, sans même connaitre le meurtrier à la fin! Juste une histoire sordide de plus dont je me serais bien passée.
La nuit du 12 est un très bon film policier noir, un peu 'sale'. Cette impression de réalisme provient sans doute du fait qu'il s'agit de l'adaptation d'un roman documentaire portant sur la police judiciaire. Je suis personnellement friande de cette approche, que j'ai retrouvé dans Polisse de Maïwenn.
Le quotidien de la brigade est détaillé tout du long de l'enquête, vie privée et vie professionnelle se mêlent tandis que les suspects de ce crime haineux se succèdent.
Qui a bien pu brûler Clara ? Et pourquoi est-ce que ce sont toujours les femmes que l'on brûlent ?
C’est dit dès le début du film : c’est une affaire non résolue.
Pas de surprise. Et pourtant, beaucoup de frustration…
Bon, au début, je me demandais comment, pourquoi, ils pouvaient faire un film sur « rien » ; il suffisait de donner le bandeau du début pour qu’on sache…
Et puis, finalement, c’est autre chose…
Déjà, c’est bien joué (même si Bastien Bouillon m’a un peu gonflé avec son côté froid et atone).
Et puis, finalement, c’est la réaction, l’interaction, l’évolution des personnages qui est intéressante, l’humain face à l’affaire qui ne se résout pas, le rapport à l’autre…
Et le film prend une jolie ampleur.
Même si c’est frustrant (même si on est prévenu dès le départ…).
Un film de thriller franco-belge qui se laisse regarder. J'ai comme impression que j'ai du regarder ce film parce qu'il a été récompensé meilleur film du 49eme festival des césars.
Le film démontre la réalité de la vie dans la PJ qui est très loin des romans policiers de fiction (du moins je parle des clichés denquetes policiers style londonien au XIXème siecle par exemple). L'approche dont comment est traité le film est original. C'est assez documentaire mais si vous êtes un bon public des évènements tirés de faits réels, nous pouvons avoir de l'haleine au fil de l'avancée de leur enquête, qui finalement n'est pas résolue.
Comme pas mal de spectateurs, je suis restée sur ma faim piur la conclusion du film. Mais il est vrai que beaucoup d'enquêtes ne sont pas résolues.
Un autre point de vie également à prendre comme une leçon de vie. En effet, sortir la nuit une heure pareille et seule n'est pas la meilleure option. Peut-être qu'il y a des spectateurs qui ne sont pas d'accord avec moi. Mais d'après les témoignages de mon entourage, ce genre d'action peut arriver malheureusement à certaines personnes.
Pour revenir au film, pour être honnête je ne connaissais aucun acteur, même pas les plus connus. J'ai trouvé dans leur jeu très réaliste, crédible et presque effrayant dans le sens où j'ai comme impression d'avoir croisé les personnages (après tout, l'histoire se déroule entre 2016 et 2019 donc il est facile de contextualiser l'époque). La musique est intéressante également. La scène du piste de vélo était jolie d'un point de vue de cadrage.
Bon film sur une affaire criminelle qui reste encore à ce jour non résolue (de par le grande nombre de suspects potentiels et le manque d'informations concrètes) et qui va donner beaucoup de fil à retordre aux policiers de la PJ. Bravo à tous les acteurs(trices) notamment Bastien Bouillon que je ne connaissais pas et Bouli Lanners dans un registre plus dramatique que ce qu'on lui connait d'habitude, qui occupent une grande partie de la caméra avec brio. Quelques moments de longueurs cependant, mais l'ensemble reste suffisamment intéressant pour tenir jusqu'à la fin.
Synopsis
À la PJ chaque enquêteur tombe un jour ou l’autre sur un crime qu’il n’arrive pas à résoudre et qui le hante. Pour Yohan c’est le meurtre de Clara. Les interrogatoires se succèdent, les suspects ne manquent pas, et les doutes de Yohan ne cessent de grandir. Une seule chose est certaine, le crime a eu lieu la nuit du 12.
D'après le roman 18.3 – Une année à la PJ de Pauline Guéna paru chez Denoël.
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