Commentaires de films faits par Noone
Répliques de films par Noone
Commentaires de films appréciés par Noone
Répliques de films appréciées par Noone
- Non.
- D'accord! Vous parlez comme un adepte d'arts martiaux Je suis moi-même professeur, alors acceptez que je payes plus tard.
- Non.
- D'accord!(Enlève ses chaussures). Ces baskets de luxe valent deux kuais, je vous les laisse pour un kuai et demi, et du coup je peux en prendre une
- Je vais appeler la police.
- D'accord!
- Non, non, en réalité, nous étions parti à la poursuite de...
- Vous étiez parti à la poursuite de?
- D'un chiroptère. Oui, nous étions parti à la poursuite d'un chiroptère.
- Tiens, tiens, tiens. Je croyais que les chauve-souris étaient en hibernation durant les mois d'hiver.
- Ah, pas toujours, pas toujours, votre excellence.
- Ah, et bien pas pour tous le monde.
- Ça c'est privé.
- Bon
Le gorille défonce la porte.
Gallien: Au contraire, je vous prend pour quelqu'un de très intelligent, Martineau, un embrouilleur de premier ordre. Je vous interroge sur deux petites filles violées, étranglées et la conversation dévie sur votre femme, sur un couloir, sur une porte... pourquoi pas? Seulement, maintenant que vous m'avez mené à cette porte Martineau, il va falloir l'ouvrir. Je veux savoir ce qu'il y a derrière, moi.
Oz: Ma réceptionniste, la remplaçante de ta femme. Julie, mais qu'est ce que vous faites?
Julie: Je lui ai chloroformé le cul.
Oz: Pourquoi? Non, j'ai pas besoin de savoir pourquoi.
Julie: Vous avez le choix d'y passer sans histoire sinon c'est aussi le chloroforme
Oz: Mais quel genre de réceptionniste êtes-vous?
Mesrine: Parce que je n'aime pas les lois... J'aime pas les lois et je n'ai pas envie d'être l'esclave à perpétuité de mon réveil-matin. Moi, je veux pas rêver ma vie. Je ne veux pas, chaque fois que je passe devant une vitrine me dire: "Tiens, il me faudrait dix mois de boulot pour me payer telle ou telle chose". Non, non non.
Guido: Il est beau son costume.
Mesrine: Non, c'est beau, c'est mignon.
Ahmed: Ouais, c'est vrai, j'aime bien et ça fait bon français.
j'arrive quand les ombres sortent
En chantant ma chanson,
je me promène nonchalamment
Et j'aide les gens à s'endormir.
Si vous ne trouvez pas le sommeil
Que vous êtes épuisés
Il existe un médicament
La mélodie des bâillements
Si vous bâillez encore,
Vous allez roupiller
Jusqu'à la matinée
Alors, bâillons en chœur.
Si le marchand de sable passe
Et qu'il ouvre ses sacs, hélas
Dites-lui de prendre la poudre d'escampette
Personne ne veut de sable dans les mirettes.
Si vous bâillez encore
Vous allez roupiller
Jusqu'à la matinée
Alors, bâillons en chœur.
Si ça ne marche toujours pas
Et que vous n'aspirez qu'à ça
Si vous paupières commencent à piquer
Que sans cesse, vous vous tortillez
Essayez de bâiller encore et encore
Vous allez roupiller jusqu'à la matinée
Alors, bâillons en chœur.
- J'ai été très pris.
- Oui, c'est ce que je vois. Ça avance ton livre? J'ai essayé de t'envoyer ça. J'ai appelé le Chronicle.
- Eh bien, je ne suis plus dessinateur, alors...
- Oui, on me l'a dit. Depuis combien de temps, tu n'as pas mangé?
- Plus rien n'a de sens, vraiment.
- Ça en a eu un?
- Oui.
- Robert, on est toujours à notre premier rendez-vous.
- Tu ne le penses pas.
- Un peu... Tu manques aux enfants.
- Je ne peux pas les laisser me voir comme ça.
- Moi non plus alors fais ce que tu as à faire mais après, tourne la page.
- Oh, c'est chez moi ici, monsieur Perrin.
- Oh oui, excusez-moi, je vous demande pardon.
- Sa réponse est dans sa musique. Il est notre allié, il se battra.
- C'est toi qu'elle est venue chercher.
- L'heure est venue de se battre.
- C'est prévu depuis longtemps mais, ça ne sera pas facile.
- C'est vous que ça regarde. Le Conseil doit trouver Onigen pour moi, c'est le marché.