Tous les commentaires faits sur les films

C’est bien la pire adaptation que j’ai vu de ma vie. Faire tenir un livre de 540 pages en 1h45 de film c’était sur que ça ne pouvais que donner quelque chose de bâclé ! Rien ne va et tout va trop vite et n’a aucun sens surtout (Le moment où Nica se réveille à l’hôpital ???) j’ai levé les yeux au ciel plus d’une fois et l’actrice qui joue Nica joue très mal (Et pas qu’elle d’ailleurs…) Bref je vous conseille de ne pas perdre de temps avec ce film et lisez le livre plutôt qui une petite pépite !

J'ai beaucoup aimé le rythme de ce film. L'action s'enchaîne et il n'y a pas de temps de mort. Et Dwayne Johnson fans ce rôle ést parfait

Pas mal même si on devine la fin assez tôt.

Il est charmant ce film. Très classique dans l’idée, une bande, famille, potes, se retrouve et vas-y les petits soucis de chacun, de couple, de vie, de boulot… Mais il y a un fil rouge sympa avec ce chat qu’on cherche et qui permet à chacun de dire ce qu’il pense… Et puis chaque personnage devient rapidement assez attachant et j’ai pris plaisir à les retrouver scènes après scènes. On effleure les drames de la vie, l’âge, l’amour, la maladie, en restant du bon côté de l’humour… Moment agréable.

Un très beau film. Les images de la nature sont magnifiques et l'histoire très originale. J'ai beaucoup aimé.

Oui, bon, on finit par s’attacher aux personnages parce que le rythme est plutôt bon, ça alterne un paquet de scènes super dynamiques, avec beaucoup d’énergie, ça fuse, c’est efficace, et puis diverses scènes plus calmes, voire émouvants pour certaines rares. Il y a un bon fond, un final qui marche plutôt bien… Mais globalement, pour y parvenir, il y a beaucoup de remplissage… Des avis sur les mecs, les nanas, les couples, l’amour, tout ça… Mais ça ne fait pas une histoire, ça, c’est une conférence humoristique sur la vie… Donc oui, il peut y avoir des moments sympathiques mais aussi pas mal qui font juste du vent. Bon, comme les comédiennes sont investies, qu’on finit par s’attacher, et qu’il y a une jolie conclusion sur l’amitié, ça laisse un souvenir sympa…

Alors oui, c’est classique. Oh ! Là, là, une malédiction ou genre, on va tous y passer les uns après les autres, faut trouver une soluce… Mais c’est très efficace. Ça se déroule pour une bonne partie sans grande surprise mais comme c’est bien fait, on a ce que l’on attend et on l’a joliment présenté, avec des lumières bleus nuit sombre, un montage assez dynamique, la bande son qui va avec, des effets qui fonctionnent bien… Et puis l’explication finale est globalement satisfaisante, pas trop attendue avec ses petits rebondissements de révélation… Sympathique moment.

Je reconnais qu’il y a une jolie ambiance tout du long, une belle réalisation jouant sur les lumières, le montage, et que les comédiens se donnent. J’irais même jusqu’à dire que le final est satisfant. Hélas… Passé la séquence d’introduction, très chouette mais un peu longue, j’ai eu du mal à entrer dans le film. En effet, la longueur m’a fait entrer dans cette histoire et j’ai eu du mal à me projeter dans l’autre… Mais j’ai finalement réussi… pour décrocher au moment des explications un poil fumeuses et embrouillées, soit par conviction, soit pour faire croire que c’est un film plein de réflexions… Dans tous les cas, je me suis un peu paumé là-dedans et mon esprit a vagabondé pour ne revenir qu’à la fin. Moyennement convaincu.

Un très bon film qui traite bien la vengeance. Dev Patel est un acteur que j'apprécie énormément depuis sa révélation dans Slummdog Millionaire (qui restera mon film préféré). Je suis ravie de son évolution professionnelle. En effet, "Monkey Man" est son premier film en tant que réalisateur et c'est une jolie réussite! Des thèmes sont récurrents dans son parcours tels que; le dépassement de soi, l'inégalité des classes sociales, l'action, l'Inde et la spiritualité. L'histoire est bien construite, quoique un poil longue à dérouler, mais ce n'est pas dramatique. De vrais problèmes sociaux actuels sont soulevés par les personnages. Les scènes d'actions sont vivaces. Tout comme les chorégraphies des combats qui sont bien effectuées. Vivement qu'il continue sur cette voie qui est déjà très prometteuse! J'attends ses prochains films avec grande impatience!

Certes, les effets spéciaux sont toujours aussi remarquables, et l'alchimie entre les trois héroïnes est plutôt sympa, assez divertissante. Mais je n'ai pas réussi à accrocher à ce film. J'ai trouvé l'histoire très prévisible, les moments d'émotion expédiés… Je suis restée en dehors.

Drôle, pétillant et qui n’a pas trop vieilli par rapport à ce qui est véhiculé. Pour une fois, le bras droit du méchant vaut vraiment le coup.

Une comédie américaine émouvante avec un dénouement plutôt triste en fin de compte, mais c'est justement là tout l'intérêt du film. Si je devrais l'analyser, je dirais qu'il s'agit-là d'une famille composée de personnes complètement différente : mais qui se retrouve unie par une même force : une volonté de réussir. Le thème du "loser" et du "gagnant" revient d'ailleurs souvent dans ce film. Ce film est l'expression de la volonté de puissance nietzschéenne (dont on voit d'ailleurs le portrait au début !) Quant à Proust : c'est aussi sa persévérance qui est mise en avant. Proust y est décrit comme un homme cloîtré pendant 20 ans sur un lit, malade, à écrire une saga que personne ne lit (ce qui est vrai). Quoi dire de plus ? Si ce n'est que vous passerez un bon moment. Un film assez intellectuel en somme...

"Civil War" de Alex Garland offre une vision saisissante d'une Amérique déchirée par une guerre civile, présentée à travers le regard de reporters confrontés aux horreurs du conflit. Malgré quelques faiblesses, telles qu'un discours parfois cliché sur le journalisme et des relations entre personnages parfois simplistes, le film réussit à captiver en dépeignant un voyage à travers un pays en proie au chaos. Le réalisme de la narration, notamment dans les scènes de violence brutale et les dilemmes moraux, est renforcé par un crescendo narratif habile. Le choix de placer les reporters au centre de l'intrigue permet d'explorer les différents visages du journalisme en temps de guerre, tout en soulignant son importance cruciale dans la recherche de vérité au milieu de la propagande. Malgré ses similitudes avec d'autres récits post-apocalyptiques, "Civil War" reste pertinent en évoquant des problématiques contemporaines, faisant écho à des conflits réels comme en Ukraine ou à Gaza.

Les biopics musicaux ne cessent de pulluler sur nos écrans ces dernières années, surtout depuis le succès de "Bohemian Rhapsody" en fait et c'est cette fois autour d'Amy Winehouse d'y passer. Réalisé par Sam Taylor-Johnson, le film ne nous raconte en réalité pas toute la vie de chanteuse mais se concentre sur la réalisation de l'album "Back to Black" et de son contexte, c'est-à-dire l'histoire d'amour entre Amy et Blake Fielder-Civil dont ce dernier a souvent été accusé de la descente aux Enfers de la chanteuse. Alors le film essaye tout de même de dresser un portrait un peu moins manichéen du couple en montrant notamment qu'Amy avait quelques problèmes psychologiques avant même sa rencontre avec Blake. Et puis surtout, Amy a également énormément souffert des journalistes et de cette soudaine célébrité difficilement gérable surtout aussi jeune. Néanmoins, Blake est tout de même présenté comme étant une personne relativement nocive et toxique mais surtout profiteuse. Le vrai du faux ? On ne le saura finalement jamais car on voit surtout que c'est le père qui est derrière le film, enfin d'après la réalisatrice, il n'a pas eu son mot à dire sur la production mais sa représentation dans le film est tout de même plutôt suspecte. Effectivement, ici on a un père qui est dépeint comme gentil, attentionné et faisant avant tout attention à sa fille, sans parler de la relation très fusionnelle qu'ils entretiennent. Alors qu'ailleurs, Mitch Winehouse est dépeint comme cupide et était surtout accusé de la descente aux enfers d'Amy. De plus, nous avons ici un biopic finalement assez gentillet. Alors il n'est pas non plus question de tomber dans le voyeurisme mais on ne voit pas vraiment la chanteuse prendre de drogues dures, elle boit juste de temps en temps, décide d'aller elle-même en cure après une petite discussion avec son père et est finalement que trop rarement montrée sous l'emprise de diverses substances alors que c'était quand même ce qui alimentait les tabloïds de l'époque. Encore une fois, il ne s'agit pas de tomber dans du simple voyeuriste putassier mais de là à ce que ce soit pratiquement absent d'un biopic soulève tout de même quelques questions, surtout lorsque c'est un élément aussi important. En dehors de ça, bon, le film se suit assez facilement, le tout est plutôt bien rythmé et puis surtout, Marisa Abela joue très bien ! "Back to Black" est donc un biopic un peu creux devant lequel on ne passe pas pour autant un mauvais moment mais à voir avec un regard averti, comme tout biopic en réalité.

bonne adaptation de la bd, il est trés drôles et chouette je conseil.

Ce film aux allures de documentaire traite d'un sujet peu abordé : la justice restaurative. Un espace de dialogue, de rencontre entre une victime et un auteur d'infraction, à la suite d'un accompagnement des deux parties sur plusieurs mois. Impossible de rester indifférent face à ce film. Bouleversant. Tremblant de réalisme et profondément humain. Des personnages brillamment interprétés, qui se révèlent dans toute leur complexité, avec leurs forces et leurs faiblesses. Le spectateur est suspendu à chaque intervention, chaque mot prononcé tant par les victimes que les coupables, des mots parfois d'une grande violence mais authentiques.

Un film déroutant qui aborde des thématiques sociétales : la société de consommation, l'insignifiance de la vie d'adulte : le vide moral, sexuel et même spirituel. Et surtout, une fin inattendue.

A la rigueur en film du dimanche aprem en famille si on n’est pas trop contre le pipicaca… Pour le reste et les adultes, le début était prometteur, du voyage dans le temps, un monde réunissant passé présent et futur… Bon, ben c’est juste un prétexte pour courir partout au milieu de dinosaure et de stand de hamburger réuni, s’asperger d’urine et faire nawak… Ça barre dans tous les sens dans une trame qui se veut cohérente mais qui est juste délirante sans solidité, les dialogues sont au ras des pâquerettes et avant la trentième minute, je m’ennuyais… Mais visuellement, il y a des trucs sympa, ça bouge, c’est coloré, c’est rigolo…

Je reconnais qu’il y a quelques scènes amusantes ici ou là dans l’ensemble et que Ferrell et Reilly s’éclatent bien dans ce qu’ils font. Ça s’arrête là. La trame tient sur un post-it, l’intérêt sur un timbre-poste… C’est enfantin, puéril. J’imagine que des gens s’éclatent devant American Pie, ce genre de film, dont celui-ci. Et ça peut éventuellement passer entre potes, pour rire, mais ça manque cruellement de scènes intéressantes ou drôles…

Ah ! Ben oui, ben non… J’imagine qu’il y a tout ce qu’il faut dedans, un peu de mystère, des scènes sombres, des cris, des gens qui se transforment en craquant… Mais jamais je suis rentré dedans, ça déroulait, ça déroulait, je regardais, pis je m’en fichais… Pas entré dans cette histoire qui m’a indifféré dans un ensemble mou…

Alors celui-là, il est génial de nullité, c’est impressionnant ! Les 15 minutes d’ouverture sont magnifiques ! Des nazis zombis sur des requins robots volants, des effets grossiers, des animations style jeux vidéo où on a l’impression de voir des GI-Joe dans les mains d’un gamin, une musique pourrie pour un montage saccadé où les comédiens jouent comme ils peuvent… Le ton est donné et continuera tout du long, un surjeu constant, des situations improbables, une bande son moisie, des effets risibles, des chorégraphies de combats ou des sauts dans la glace risibles, un clip soudain pour mettre un peu de fille nue, un scénario ridicule et des dialogues sans intérêt et qui en font trop… Alors pour rigoler entre potes sur du truc improbable, on est top nickel !!!!!! Seul, c’est un peu plus dur mais si on a un bon second degré, ça peut le faire.

Un film très prenant, du début à la fin. Quand il se retrouve séparé de sa famille et livré à lui-même, la bulle de privilèges dans laquelle vivait jusqu'alors le petit James, brillamment interprété par Christian Bale, éclate brutalement. On voit, à travers ses yeux d'enfant, l'escalade de la guerre, l'occupation japonaise de la Chine… Et pourtant, James, surnommé Jim, reste assez naïf, donnant presque l'impression qu'il considère le camp de prisonniers comme un terrain de jeu. Ce film est l'adaptation du roman éponyme et semi-autobiographique de James Graham Ballard.

Certes, ce préquel présente moins d'humour que les deux autres Kingsman, se prenant peut-être plus au sérieux. Malgré tout, je l'ai beaucoup aimé ! Manigances politiques, des héros qui cherchent à sauver le monde (un peu à la Marvel, et la musique n'est pas sans faire penser à celle des Avengers),

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traîtrises ou plutôt, révélation à la fin (plus ou moins attendue)[/spoiler] ; il rassemble les ingrédients des autres Kingsman. Mais j'ai trouvé celui-là d'autant plus étonnant. [spoiler]Son revirement de situation suite à la mort de Conrad, je ne m'y attendais pas du tout. Mais cela appuie les horreurs de la guerre, la volonté de ces jeunes hommes de s'engager dans l'armée, de faire la guerre pour sa patrie… pour finalement voir ses camarades souffrir et mourir, avant de se faire soi-même tuer dans d'atroces circonstances. Au-delà du plaisir de voir comment l'organisation Kingsman s'est créée, ce film revisite l'Histoire à sa sauce et développe des personnages attachants.

Drôle, enlevé, tendre. Le jeu d’acteurs est excellent. On rit beaucoup, on pleure parfois. Bravo !

Assez loufoque, mais divertissant et avec un casting de qualité ! Malgré quelques longueurs, ce film mêle habilement des faits et des personnalités historiques à son intrigue étonnante. Il défend aussi l'idée que l'amitié et l'amour doivent relever plus d'un choix que d'un besoin.

Un très beau film, aussi bien esthétiquement que par le message qu'il véhicule. La peinture animée rend très bien à l'écran et j'admire tout le travail qu'une telle technique a nécessité ! L'histoire est aussi intéressante. Adaptée d'un roman reconnu de la littérature polonaise, cette fresque avançant au rythme des saisons de l'année qui se dessinent nettement nous plonge au cœur de la campagne traditionnelle de la Pologne du 19e siècle. On suit Jagna, jeune femme rêveuse et éprise de liberté qui se retrouve confrontée aux ragots, aux mentalités des autres villageois, aux traditions qui l'enferment dans un système dont elle aimerait s'affranchir. Elle voudrait vivre avec passion, là où on l'oblige à suivre un chemin établi, à se marier pour l'argent et les terres. Son caractère et ses actes attisent la colère d'une grande partie des villageois

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qui finissent par la rejeter sans ménagement. Et toute cette histoire se joue sur un fond plus politique, les villageois devant se battre pour protéger leurs terres. Une musique et des danses envoûtantes, de multiples rebondissements, ce film est une belle surprise !