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En Angleterre, Gary King, quadragénaire, se souvient d'une des plus belles soirées de sa vie : celle du 22 juin 1990, durant laquelle il entrepris avec quatre amis un barathon de leur petite ville qui en compte douze pour tenter de réussir le Mile d'Or. Mais, ils n'avaient pu atteindre le dernier pub, The World's End.
Vingt années ont passé depuis, Gary vivote, il n'en a toujours pas fini avec son adolescence et compte bien réunir la bande désormais éloignée et à la vie bien rangée pour venir à bout de ce défi inachevé.
Cette tournée des pubs pourrait bien être la dernière, et pourrait aussi marquer la fin de l'humanité entière.
J'arrive pas a départager ce film avec Hot Fuzz, mais ici les personnages sont bien plus travaillé et interessant que dans les précedents. La prestation de Simon Pegg est énorme, Nick Frost n'est pas en reste non plus !
Le double univers mis en place est extrêmement prenant, et bizarrement cohérent. Je me suis vraiment demandé coment ils allaient amené la dimension sf, et je souhaitais presque ne jamais la voir arriver, tellement je trouvais le début prenant et génial !
J'avais également peur que le film change du tout au tout et que cette idée de barathon soit relegué a une façon original d'introduire l'histoire. Mais allez savoir comment, Wright a réussi a faire coéxister les deux, avec maestria.
J'aurais certes, aimé une happy end. Mais cette fin est interessante sur bien des points. Spoiler(cliquez pour révéler)Et puis voir Nick Frost et Simon Pegg complétement bourré chassé ces intelligence supérieur comme des malpropres, c'est jouissif
Ce film est je pense le plus réussi de la trilogie cornetto, et je meurs d'impatience de voir la suite de a carrière de Wright !
Dernier film de la trilogie Cornetto et pas des moindre. Nick Frost et Simon Pegg toujours au top, complètement délirant et loufoque mais tout fonctionnent a merveilles, bon film a voir
On retrouve dans ce film le schéma narratif de "Shaun of the dead", un pauvre bougre, un peu loser sur les bords, qui doit se sortir d'une situation extraordinaire. Encore une fois, les amis ont un rôle important, les amours sont compliquées .
Le film permet de passer un bon moment et a ravi mes oreilles par la bande-son qui m'a rappelée ma jeunesse et mes années "sorties en pub avec les copains". Petite séquence nostalgie. Nostalgique comme Gary King.
Si je devais me définir en un film, ce serait celui-là. Je m'y retrouve totalement dans ce "World's End".
Je trouve la réal d'Edgar Wright parfaite, totalement réussie, on suit ce qui se passe avec énergie et sans problème de lisibilité. Les acteurs sont juste excellents, Simon Pegg et Nick Frost nous offrant toujours d'excellentes performances. Le scénario, lui, est bien ficellé, les relations entre les personnages sont tout sauf superficielles, les petits clins d'oeil à la culture pop sont toujours aussi bien amenés et font plaisir à voir, et bien-sûr, comme à son habitude avec la trilogie Cornetto, on a des "fusils de Tchekov" en veux-tu en voilà. Et quand à la musique, et bien je dirais qu'elle est excellente? En accord parfait avec les images.
Au final, "The World's End" est un des films qui m'a le plus marqué, et il fait parti de ceux qui m'ont donné envie de faire du cinéma.
J'ai vu les deux autres films de la trilogie Cornetto et je les ai adoré, surtout Hot Fuzz. Mais j'ai moins accroché sur celui-là. Autant j'ai adoré la première partie du film, le casting est génial, l'humour est génial, autant j'ai moins accroché à la deuxième partie et la fin.
La première moitié du film, avec son ambiance 'film de potes', ses personnages attachants, sa bonne humeur communicative et son humour bien souvent sous la ceinture m'a fortement fait penser à un certain nombre d'autres comédies britanniques, "Good Morning England" en tête de liste. Faut savoir que c'est un film que j'adore, donc dans ma bouche, c'est vraiment une comparaison flatteuse !
La seconde moitié du film... Bah comment dire... Je dois avouez que c'est mon premier film d'Edgar Wright. Et même si on m'avait prévenu que ça allait déraper à un moment, je savais pas du tout comment j'allais réagir à la chose. Au final, plus de peur que de mal. Cet univers décalé n'est pas dénué d'un certain charme, et surtout, malgré quelques longueurs et une fin franchement foireuse, j'ai trouvé ça très distrayant.
Ajoutez à ça un casting vraiment sympathique et une réalisation pas mauvaise.
L'un dans l'autre, l'ensemble m'a sincèrement plu. J'ai vraiment passé un bon moment.
Mais malgré tout, de l'apparition des "machins" à la fin du film, j'ai pas arrêté de me poser une question. Est-ce que j'aurais pas préféré que le film garde son ambiance de départ plutôt que de sombrer dans la folie ? Certes, ça lui aurait fait perdre toute son originalité, mais je pense que ça aurait mieux correspondu à mes gouts personnels. Et donc, même si je ne rejette pas le joyeux bordel qu'est ce film, je peux pas non plus dire que j'en sois très fan. Peut-être faudrait-il que je vois d'autres films de ce réalisateur pour apprécier pleinement son univers.
Un film qui débute comme une comédie sociale et qui vire complètement de thème à mi-parcours, devenant une comédie fantastique. Même s'il ne vaut pas "Shaun of the dead", on prends plaisir à voir ce délire, la fin du film étant tout de même longue à venir.
Synopsis
En Angleterre, Gary King, quadragénaire, se souvient d'une des plus belles soirées de sa vie : celle du 22 juin 1990, durant laquelle il entrepris avec quatre amis un barathon de leur petite ville qui en compte douze pour tenter de réussir le Mile d'Or. Mais, ils n'avaient pu atteindre le dernier pub, The World's End.
Vingt années ont passé depuis, Gary vivote, il n'en a toujours pas fini avec son adolescence et compte bien réunir la bande désormais éloignée et à la vie bien rangée pour venir à bout de ce défi inachevé.
Cette tournée des pubs pourrait bien être la dernière, et pourrait aussi marquer la fin de l'humanité entière.
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