Commentaires de films faits par AnnieMcMiles
Répliques de films par AnnieMcMiles
Commentaires de films appréciés par AnnieMcMiles
Répliques de films appréciées par AnnieMcMiles
J'ai surtout aimé la prestation des danceurs, une touche très sophistiquée selon moi.
J'ai tout simplement adoré cette suite, j'ai eu des frissons dès que la première phrase est arrivé : "Il y a bien longtemps dans une galaxie lointaine, très lointaine..."
Les acteurs Daisy Ridley et John Boyega sont très convaincants dans leur rôle
Mais que dire de l'ancien trio : composé d' Harrison Ford, Carrie Fisher et Mark Hamill...[/spoiler]
Les effets spéciaux sont à couper le souffle, ils nous offrent des paysages magnifiques comme ceux [spoiler]de Jakku ou de la Starkiller Base.[/spoiler] Le son est aussi d'une qualité exceptionnelle : notamment sur les sabres-lasers, les TIE, les blasters.
[spoiler]J'ai trouvé que la mort de Han Solo a été organisé de façon très théâtral (tué par son propre fils : Ben Solo alias Kylo Ren avec son corps précipité dans le vide)[/spoiler]
J'ai également adoré [spoiler]les combats Kylo Ren vs Finn et Kylo Ren vs Rey qui ne sont pas aussi acrobatiques que la prélogie mais qui sont tout de même très beaux à regarder.[/spoiler]
Mais que dire [spoiler]de la fin, le film se termine sur un plan déjà mythique puisque le film s'achève sur Luke Skywalker !!
La seule interrogative concerne Kylo Ren car on ne sait pas si il est vraiment mort...
Mes seules déceptions concernent la musique de John Williams que je n'ai pas trouvé transcendante comme dans les autres volets et le manque de créativité du scénario (qui est presque un remake du IV)...
Donc j'attends de voir la suite qui je l'espère aura un meilleur scénario...
L'histoire est prenante du début à la fin, il y a beaucoup d'humour (j'ai rigolé pendant pratiquement tout le film) et aussi vraiment beaucoup d'émotions. Le film a réussi à me faire pleuré deux fois.
J'ai trouvé la fin particulièrement triste, car malgré que Woody soit heureux de rester avec Bo Peep et compagnie cela marque aussi la séparation avec tous les autres personnages !
Alors le film m'a surpris, il n'est pas catastrophique. On est pris dans l'histoire (enfin la courte parce que en terme de véritable histoire, c'est court) mais les acteurs sont doués dans leurs rôles. On sent bien les tourments de Grey et le désarroi d'Anna.
Les scènes érotiques ne sont pas, comme dans les livres, lourdes (une scène de cul par chapitre, c'était lourd de chez lourd)
Et la fin a été plutot bien réussi pour le coté frustrant^^
Mais sans avoir lu le livre, on peut être très frustrer, jugeant que rien ne sait concretement passer dans le film
Dragon 3 le monde caché est l'ultime volet de la saga How to train your dragon, commencé en 2010 avec un premier film réussi et devenu classique instantanément, réalisé par Chris Sander et Dean Deblois pour les studios DreamWorks animation. Le second film sortie en 2014 avec Dean Deblois, toujours aux commandes et que l'on retrouvera pour ce troisième et ultime chapitre. Le Monde caché est l'aboutissement de plusieurs années de travail, alors que DreamWorks à placé tous ses moyens dans la réussite du film, dont le scénario fut adoubé par Spielberg.
La barre est haute et les attentes aussi. La firme n'a pas le droit à l'erreur alors que son concurrent Disney/Pixar ne propose lui aussi que des suites depuis 2017 et que les deux premiers films avaient été acclamé par la critique.
Dragon 3 raconte la dernière étape d'une amitié attachante entre un jeune homme et son dragon. Il raconte aussi l'affirmation d'un jeune garçon marginal devenu leader de son espèce. Après les deux premiers film Hiccup à réussi à créé une harmonie relative entre les hommes et les dragons sur le village de Berk dont il a pris la tête après la mort de son père dans le deuxième volet. Mais cette paix est menacé par la quête de Grimmel the Grizzly qui convoite son Fury nocturne et alpha. Hiccup doit faire des choix décisifs pour le bien et la sécurité de son peuple tout en respectant les indications de son père et gérer la nouvelle romance entre Toothless et une femelle de son espèce, la Light Fury. Ces événements amène à remettre en question sa propre légitimité et la quête du Monde caché pourrais régler tous ses troubles.
D'une beauté époustouflante tant dans sa technique que son propos, Dragon 3 est ambitieux et démesuré. Jamais l'animation 3D n'a été aussi belle, s'inscrivant dans la droite ligné de ses prédécesseurs. Le mouvement est incroyablement juste et expressif tandis que le décor et ses interactions regorge de prouesse technique. On ne sais plus où donner de la tête entre les scènes a haute densité de mouvement sur Berk alors que pas un seul élément du cadre n'est pas en mouvement du premier plan ou dernier et celle moins extravagante et plus intime où l'animation du sable, des nuages et la gestion des grand espaces est remarquable.
Remarquable aussi c'est la densité de la narration qui se coordonne dans la droite ligné des deux premier films. Malgré des bandes annonces révélatrices on se laisse surprendre par les décisions et actions des personnages et leurs conséquences alors que tout ce dirige vers un final logique et attendu. Le film ne manque pas de cohérence ou de subtilité, le message ne serait pas aussi beau s'il n'était pas inévitable. Dean Deblois illustre encore à la perfection le parcours initiatique de ses personnages pour en faire d'eux des chefs, des adultes accomplis et pour cela ils doivent ce donner de l'espace.
Les relations entre les personnages sont traité vigoureusement et le personnage principal ne manque pas de se faire bousculé et notamment par le bad guy de l'histoire, faisant de Drago dans le deuxième volet un pale dominateur. En plus d'être mauvais, il est charmant et intelligent et on ne peu qu'applaudir son design glacial et sinistre. Il ne rentre pas seulement dans la tête des furies nocturnes mais dans celle son cavalier, c'est la clé de voûte des événements.
Alors que le deux ne laissait que peu de place au gang partenaire d'Hiccup à l'entraînement dragon le troisième film leur accord un chacun la place recurrente qu'ils servent jusqu'à la fin. Astrid rafraîchis encore une fois le paysage des personnages féminins fort, incontestablement charismatiques et puissante, sans en faire des caisses et usant de ses dons de leader né pour servir son partenaire et le bien de son village. En plus de cette dynamique de pouvoir, la représentation de sa relation avec Hiccup envoie Disney ce rhabiller, rappelant le deuxième film par leur aisance autour de l'autre. Comme dans le premier, elle assure au personnage principal un bouclier et un pied à terre alors que tout s'effondre sur lui.
Le film laisse plus de place à l'introspection pour servir un affrontement plus bref et épique et ce concentré sur le duo principal ensembles et séparé, au cœur de tous les maux du jeune homme. C'est le cœur lourd et les pieds traînant qu'on se dirige vers le paroxysme de cette relation, le souffle coupé. Il n'y a pas de surprise pour la simple raison que ça ne peu pas être surprenant. On ne peu construire une scène comme celle ci sans préparer au préalable les personnages et donc les spectateurs. C'est doux-amer, c'est beau et symbolique et alors qu'Hiccup laisse partir son meilleur ami le film prend son envole vers le chef d'œuvre.
Car il est difficile de s'aligner après le succès des deux premiers, en plus d'une attente des fans qui trépignent d'impatience puisque le film devait sortir en 2016. Le scénario avait été renvoyé une première fois à l'écriture et comment ne pas remercier sa richesse. C'est un chapitre final et demande une clôture non sans rappeler au passé. On pouvait s'attendre à une multiplication trop fréquente des parallèles entre les trois films faisant du trois un mélange sans saveur, trop dans la nostalgie et ce n'est bien entendu pas le cas. Dragon 3 puise ce qu'il y avait de meilleurs dans ses deux premier films et l'aditionne à un message fort. Il trouve sa propre identité notamment parce qu'il n'aborde pas les mêmes thématiques, s'aventurant sur des sujets lourd : la perte, l'altruisme et la recherche du bonheur pour l'autre. Comme le réalisateur le dit très justement le film parle de laisser partir.
Servit par une musique à la fois sublime par ses nouveaux thèmes et poétique à la reprise des anciens Dragon 3 clôt une trilogie épique et inoubliable, trois chef d'œuvres puissant dans leur propos et leur réalisation et transportant une génération d'enfant et jeune adulte à dos de dragon qui apprennent à leur tour à volé de leur propre ailes.
Les premières 30 minutes du film sont assez intéressantes avec de bonnes questions tels que le droits de votes entre ces 2 "populations" avec les grands d'un côté et les petits de l'autre. Cependant, c'est expédié très rapidement, et ensuite on passe à un film tout à fait normal qui est à propos d'une histoire aventure/amour entre 2 personnages.
Et ce que je peux vous dire, c'est que ce film est vraiment trop long, et ne fait que très rarement rire, voire seulement sourire.
Bref, un film qui partait pourtant avec une bonne idée, mais qui finalement reste trop simple et vraiment ennuyeux.
J'ai été complètement déçue.
En tant que grande fan du premier film, j'ai vu un vague copié/collé du premier mais en moins bien.
Le jeu d'acteur était trop surjoué pour tous, sauf pour Emily Blunt qui a très bien interpréter Mary Poppins, et la tâche était rude !
Du côté du film, s'il y a une critique à faire, c'est sur les musiques. Trop de chansons, sans profondeur, et pas assez de paroles...
A certains moments, je m'ennuiyais presque.
Pour les points positifs, je dirai les couleurs ! En globalité ça fait un joli film, haut en couleur mais dans le fond de l'histoire c'est décevant.
L'histoire est archi-connue, mais cette version bénéficie d'un casting de rêve, Michelle Pfeiffer en tête. Johnny Depp campe un Cassetti ignoble, victime, mais ô combien détestable, et remarquable.
Kenneth Brannagh s'est pour la première fois placé non pas du côté de la justice, du côté de Poirot, mais du côté de ces hommes et femmes qui ont tout perdu. Et pour une fois, ce n'est pas la logique et l'intelligence du détective qui émerveillent, mais la souffrance de ces personnes qui nous broie le cœur.
Poignant, et d'une grande force.
Le point fort du film est son visuel. J'ai trouvé la 3D vraiment utile, il y avait une immersion impeccable dans la bataille du début et dans la scène de la mer. C'est du grand spectacle. La musique est aussi très bien. Le temps fort du film pour moi est la succession des plaies d'Egypte qui sont assez saisissantes.
En fait les points négatifs viennent surtout du scénario qui a beaucoup d'omissions. Je regrette qu'on ne voit pas toute l'origine (Moïse sur les eaux,...) qui contribue à instaurer le mythe. Autre problème: je pense qu'on ne montre pas assez les souffrances des Hébreux, de fait la vengeance réclamée par Dieu peut sembler excessive. Mais pour moi la plus grosse erreur du film est de ne pas montrer les liens qu'entretient Moïse avec sa (vraie) famille, les personnages de Myriam et Aaron sont parfaitement inutiles et disparaissent en 5 minutes. C'est pourquoi on ne comprend pas pourquoi Moïse accepte de suivre ce Dieu et de faire tant de sacrifices pour libérer des esclaves. En fait, Moïse est totalement désincarné et vidé de sa capacité émotionnelle. Sa relation fraternelle avec Ramsès? Rien! Ils sont juste rivaux (d'ailleurs Ramsès m'a terriblement fait penser à Commode de Gladiator en moins bien). Sa relation avec Dieu? Très étrange. D'habitude, Moïse est montré comme la main de Dieu, c'est lui qui, avec son bâton, transmet sa volonté. Alors qu'ici, ce que Dieu fait lui échappe totalement, il est seulement son pion (on ne comprend en fait même pas pourquoi Dieu a besoin de lui), son esclave. Et en plus les raisons qui le poussent à lui obéir tout de même ne sont pas montrées. Bref, trop de zones d'ombres, trop de contradictions dans le scénario, des personnages loin d'être assez construits. On regrettera aussi de ne pas voir l'ouverture de la mer Rouge.
J'ai quand même assez aimé "Exodus" dans ses aspects spectaculaires, mais trop de choses dans l'histoire m'ont fait tiquer, ce qui frustre énormément. Après, peut-être que la version longue (plus de 3h il me semble) peut légèrement changer la donne. Ce qui reste à prouver.
Néanmoins, je trouve que ce n'est pas assez exploité, que l'aspect le plus captivant du film est en fait assez mis de côté et on tombe dans le cliché "les méchants extraterrestres venus envahir la terre" sans vraie raison ni explication d'ailleurs.
Pis les acteurs sont pas géniaux non plus, et encore moi physiquement. Ils ne sont pas sales du tout (après deux jours passés dans une cage), la fille blonde porte du vernis, l'autre, Natalie, est maquillée... je veux dire ça enlève pas mal à la crédibilité.
En parlant de crédibilité... au début, lorsque les extraterrestres interviennent, ils coupent les circuits et l'électricité ; plus rien de fonctionne. Mais au bout d'un moment, on sait que la présence d'électricité est reliée à leur présence : les lumières s'allument quand ils passent. Groooosse contradiction? Non, pas du tout...
Je ne regrette pas du tout mon choix ! J'ai adoré cette suite, jolie surprise. La transition du jeu de société au jeu vidéo est expliquée et plus que crédible, on comprend bien que c'est dû au changement d'époque et ça me parait malheureusement très logique (et malin) comme choix. On sent la force du jeu grâce à ce détail.
J'ai adoré qu'on se sente réellement comme plongé dans un jeu vidéo
Les clins d’œil au premier
[spoiler]le jeu sur la plage au tout début, puis la cabane d'Allan Parrish (celle-là je ne m'y attendait pas mais j'ai grave fangirlé XD') , et perso j'ai aussi pris l'avion volé par les orang-outangs comme une référence à la voiture de police volée par des singes dans Jumanji.[/spoiler]
sont subtiles, discrets et appréciés. J'ai aimé qu'on nous rappelle qu'ils n'avaient pas oublié le premier (et que ce n'était pas un remake mais bien une suite !) sans tomber dans le côté trop nostalgique qui gâche certaines suites.
Les personnages sont un peu clichés mais c'est du Jumanji, et les acteurs sont vraiment excellents. J'ai adoré voir ces adultes avec des réactions purement adolescentes,
[spoiler]et Jack en adolescente... C'est juste le meilleur truc que je pouvais voir dans ce film. J'adore cet acteur pour son côté complètement barré et j'ai l'impression d'avoir vu ici l'accomplissement de sa carrière haha. Ils ont respecté ça, j'avais peur qu'ils soient trop 'adulte' d'un coup mais non.
Les animaux un peu trop 'image de synthèse' pour moi, mais j'ai un soucis avec ça (je regrette mes années 90/2000) et je n'ai pas trouvé ça si dérangeant donc ça passera nickel pour n'importe qui d'autre j'imagine.
Sinon l'histoire en elle-même n'est pas non plus très originale mais on se prend vite dedans et on s'attache aux personnages immédiatement donc je n'ai, personnellement, pas vu le temps passé !
Pour conclure, je suis ravie de m'être lancée dans ce film, et je le conseille à tou(te)s :)
Déjà, il est magnifique. Oui, on a des choses du studio Ghibli. Mais rien à crier au loup, car ce sont d'anciens dessinateurs de Ghibli. Les personnages sont intéressants et l'histoire est originale (oui, un peu prévisible, mais ils visent pas non plus à présenter un film à suspense). Et les musiques sont géniales !!
Les petits points que j'ai remarqué et qui me font chipoter : certains personnages secondaires inutiles ou utilisé de façon "magique" lors de situations "compliquées". Et les temps "calmes" auraient pu être améliorés/raccourcis.
Un petit bémol pour le scénario qui est un peu léger par moment.
Par contre, il n'y a pas photo entre le film et l'anim', ma préférence va à l'anim' sans hésitation
Une série de bandes-annonces et teasers alléchants, des affiches séduisantes, une compagne menée à grande échelle et avec brio.
Suicide Squad était le film de super (anti) héros de l'été, attendu avec beaucoup d'impatience et d'espoir.
Vous savez tous à quel point il est rageant de suivre un héros parfait, toujours rangé du côté du bien, à pourchasser le GRAND méchant.
Rassurez-vous, DC a eu une super idée: faire un film de méchants dans ce même univers.
Jusque là, je ne peux que m'incliner, c'est une très bonne piste, depuis le temps que j'attendais ça! En effet, après avoir découvert le Joker dans The Dark Knight, ma vision avait changé, j'en attendais plus.
Bref. Parlons du film.
Les 15/20 premières minutes font leur petit effet, on a ce qu'on nous avait promis: du bon gros méchant psychopathe! La mise en scène semble soignée et la musique dynamise l'ensemble. Le tout fait peut-être un peu catalogue mais cela se laisse regarder avec une certaine curiosité.
Stop, arrêtez le film à cet instant précis, vous en garderez un souvenir sympathique.
Viola Davis nous expose son plan (désolée pour elle, je n'ai même pas retenu son nom dans le film tellement elle était insipide et stéréotypée, passons) que nous avions entrevu dans la BA donc je ne vous spoile rien: elle nous monte une Suicide Squad pour... Combattre d'autres méchants.
On applaudit bien fort cette idée de génie au vu d'à quel point elle contrôle la situation, bravo madame!
A partir de ce moment le film hésite entre:
- le comique avec des répliques plus ou moins réussies
- l'action avec un montage commun mais qui tient la route
- le pathos et là, désolée, mais ça craint vraiment parce que ce sont censés être des méchants pas des lavettes, merci bien (Deadshot je t'octroie la palme d'or de la catégorie)
Parlons donc des personnages supposés être le point fort du film!
- Deadshot sur qui le film paraît plus ou moins se centrer = lavette tête à claques. Non, ce n'est pas un méchant, c'est impossible... Ah si...
- Harley Quinn, alors là je dis OUI, gros point fort du film (ah pardon, le seul avec la musique, il est vrai), les parties flashback la concernant sont très bonnes, Margot Robbie l'incarne à la perfection.
- Le Joker, tant de potentiel pour si peu d'apparitions, je reste sur ma faim
- El Diablo, toi aussi tu finis au rang de lavette derrière Deadshot, t'inquiète c'est sympa comme club
- Le perso de Viola Davis: stéréotype sans âme avec des idées stupides
- L'enchanteresse, vous avez dit cliché?
- Son copain, heu... Transparent.
- ... Les autres vous êtes sympas mais je me souviens pas trop de vous... En fait vous ne servez pas à grand chose, l'un d'entre vous est mort et je ne savais même pas qui il était, paix à son âme quand même.
Conclusion: les personnages sont trop nombreux, trop survolés à part Harley et le Joker, ce film est un véritable catalogue de jouets qui nous montre qui a le pouvoir le plus chouette.
Dernier point: le scénario.
Comment ça on n'en a pas vraiment?
Eh bien si, j'ai été mais alors atterrée de voir cette simplicité scénaristique de petits méchants vont combattre Big Méchant qui veut détruire le monde. Voilà, c'est tout. Vous l'avez vu mille fois, moi aussi. Et je ne vous cache pas que ça m'agace beaucoup (X-Men Apocalypse nous avait déjà fait le coup qui plus est donc c'était un peu tôt pour nous refaire manger ce genre d'intrigue qui était déjà mal passée)
Et c'est pas parce qu'on met du Queen en scène finale qu'on recolle les morceaux même si c'est sympa à écouter.
Oui, ce passage m'a vraiment énervée, c'est complètement irréaliste!
Suicide Squad, un film de méchants sur des méchants pas vraiment méchants, un film DC carrément cliché, une réussite monstre publicitaire.
PS: Regardez la bande-annonce, tous les bons côtés du film y sont. Tous les mauvais ont été soigneusement cachés au public jusqu'à son entrée en salle, même le pseudo scénario.
C'est donc avec d'autant plus de frustration que j'ai fini ce film. On nous introduit un univers magique ! Le monde des confiseries, des neiges, des fleurs ! Je m'attendais à voir la protagoniste traverser ces mondes au cours de sa quête ! Attendez-vous à les voir moins d'une minute chacun... Quant au monde du divertissement qui se trouve en désolation, celui que nous voyons le plus, je voulais vraiment voir un décor de vieille fête foraine abandonnée et effrayante tout du long, ce qui n'est absolument pas le cas... Dans ces moment-là, je ne peux m'empêcher d'imaginer les personnes à la conception, élaborant un univers génial pour au final voir leur travail réduit à néant par les choix du réalisateur lors du montage. On dirait que le film fut la victime d'une coupure budgétaire assez importante lors de sa réalisation : en tous cas, c'est l'impression qu'il donne, et cette explication est plutôt plausible lorsqu'on voit qu'il ne dure que 1h30 ce qui est très peu pour une production telle que celle-ci ! En somme, même s'ils avaient voulu étoffer l'univers à l'écran, il semble que les producteurs ne l'auraient pu par grand manque de temps. Vraiment dommage...