Triste fin.
L'histoire est très touchante malgré que je regrette que le scénario ne soit pas si long(le scénariste aurait pu l'approfondir), et 45m c'est trop court !!!
1h20 aurait été carrément mieux...

Un film qui saccage intérieurement, qui m'a brisée au plus profond de moi-même. Je crois qu'il est assez rare de voir un film qui a un contexte social très réaliste où parvient à s'introduire un élément fantastique qui surprend mais qu'on accepte aussi facilement. Le film dure 3 heures? Je ne m'en suis pas rendue compte tellement j'ai aimé suivre le parcours déchirant de ces personnages évoluant dans un environnement où plus aucun espoir ne subsiste. Et quand John Coffey (ou Caffé en VF) arrive, être incroyable par ses talents et par son humanité, le drame s'agrandit encore, parce qu'on prend conscience de l'immense souffrance qui existe dans le monde et de l'aspect éphémère des choses. C'est aussi une réflexion sur notre rapport au temps et à la mort (citation finale de Paul). On prend "La Ligne verte" en plein cœur, tout comme "Les Evadés" (même auteur/réalisateur/sujet), sauf qu'il s'oppose à ce film parce qu'il ne rend pas heureux comme lui mais vous laisse en miettes.

C'est vulgaire, c'est parfois facile, c'est con, c'est sale, ça colle, c'est Deadpool... Donc ça DÉCHIRE !
Pas besoin de blablater pendant des heures, on va faire simple : tout est bien, rien n'est nul, il suffit de savoir se qu'on va regarder.

J'ai passé deux heures le sourire aussi agrafé sur la face qu'un certain Hugh sur la tête du héros . J'ai beaucoup ris. Je n'ai pas été déçu à un seul moment, ça fait du bien, c'est une bouffée d'oxygène, un manque de sérieux mené avec brio par la réalisation et des acteurs superbes, des films comme on n'en fait que trop rarement et qui donne la pèche.

A voir sans broncher !

L'espace. L'endroit le plus fascinant et le plus inhospitalier qu'il soit. Jamais il n'a autant été difficile de faire un film de façon réaliste qu'en ayant pour cadre l'espace, tellement ce lieu est mystérieux et dangereux. Est pourtant, Gravity arrive à nous transporter complètement dans on cadre absolument fantastique comme nul film SF ne nous a transporté.
Car en effet, Gravity, c'est avant tout une immersion totale, et pour une fois, la 3D n'est pas qu'un accessoire. Dès la scène d'introduction, Gravity nous propulse dans son univers, avec un immense et magnifique plan-séquence de quelques minutes, représentant la Terre.
En quelques minutes, sans aucun mot, sans aucun son, Gravity vient d'entrer dans l'histoire du cinéma.
Et par la suite, Gravity nous prouve qu'il n'a pas misé que sur sa scène d'introduction.
En effet, d'un point de vue technique, Gravity est un des films les plus impressionnants que le 7eme art nous est offert. Les effets spéciaux sont tout bonnement incroyable, combiné à la 3D, cela devint magique.
Le pitch ? Il tiendrait en quelques lignes. Après la destruction de la navette spatiale américaine Explorer, le docteur Ryan Stone et l’astronaute bientôt a la retraite Matt Kowalski, seules survivantes de la catastrophe, vont essayer de retourner sur Terre. Le scénario, simple mais pas mal branlé, renforce l'immersion...
Et justement, Gravity est un des films les plus immersifs qui me sont était donné de voir. Quand Ryan est oppressé, on se sent oppresser, quand Ryan a peur, on a peur pour elle. et rien au monde ne brise cette immersion: jamais on ne quitte Ryan Stone, jamais on n'a des plans sur les personnes restées sur Terre, jamais l'on a des flash-back, rien, juste l'aventure désastreuse de ces deux astronautes. Et c'est tant mieux.
Justement, même si l'affiche indique Sandra Bullock et George Clooney, c'est clairement Sandra Bullock la star de ce film, Clooney n'étant qu'au rang de faire-valoir. Et Sandra Bullock est vraiment bluffante.Elle joue à merveille le rôle de ce pauvre docteur, malmener par les forces mystiques, fascinante et implacable de l'espace. Cependant, tout le long du film, on se rend compte que le scénario se concentre essentiellement sur l'aspect psychologique de Ryan. En effet, au début, elle se laisserait presque mourir dans l'immensité de l'espace. Mais, plus le film avance, et plus en bave, plus Ryan a envie de vivre. Le moment crucial de cet aspect, c'est quand Ryan essayé de se suicider, et qu'elle hallucine en croyant voir Matt.

Je pourrais parler des heures de ce magnifique film qu'est Gravity, mais cette critique est déjà beaucoup trop longue. Gravity est simplement l'un des plus grand chef-d'oeuvre jamais réaliser, point barre.

Les avis que je peux voir sur ce film sont pour le moins mitigé. Et bien je sors de la séance, il y a quelques heures a peine, et je m'accorde avec ces critiques, je suis totalement mitigé. Je devrais peut être mettre mes idées au clair avant de commenté mais j'ai très envie de livrer ma réaction a chaud.

Alors, déja il est clair que j'ai passé un excellent moment devant le film. l'esthétique est super léché, c'est un vrai régal pour les yeux. Le casting est absolument au top et dans ses grandes lignes le scénario est de très bonne facture.

Mais malgré ça certaines choses m'ont clairement titillé. Pour commencer je trouve que ça manque énormément de crédibilité. Les pouvoir acquis par Lucy vont beaucoup, beaucoup trop loin pour qu'on y croit. De plus les explications scientifiques sont super brouillonnes et approximative et tienne plus du "ta gueule c'est magique" que de la réelle science fiction. Mais bon je pense que ça vient vraiment des intentions de Besson avec ce film de réaliser un gros tripe métaphysique, et au final de plus se porter sur la porté philosophique que sur le côté SF. Et je soulève par ce biais le second soucis majeur, à savoir cette prétention d'inclure cette dimension philosophique. Dans le fond, je pense avoir bien saisi l'intention mais je trouve ça assez maladroit dans la forme et ça se traduit notamment par cette incompréhension devant la dernière phrase de Lucy

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"Je vous ai donné la vérité, a vous de voir ce que vous allez en faire" ou un truc du genre
Bref j'ai pas vraiment compris ou le film veut en venir en finissant par cette phrase. C'est vague, et j'ai l'impression de manqué d'information pour vraiment ressentir la porté de cette phrase, qui pourtant mise en contexte correctement aurait vraiment pu être intéressante.

Bref, je me suis surtout attardé sur les problèmes, mais au final mon avis global reste plutôt bon, chaque problème étant contrebalancé par une réussite partielle de l'entreprise.
Je le conseil vraiment du coup, et j'ai hate de voir la manière dont il va animer les débats dans les prochaines semaines !

Petite, j'étais fan de la série jeunesse Avatar. Et ce film m'a réellement plu. J'ai accroché. C'était comme transposer mes souvenirs de la série dans la réalité.

Emma Stone porte le film sur ses épaules et c'est sans doute uniquement pour elle que nous pouvons trouver l'envie de voir ce teen movie qui peut être amusant à regarder si l'on a pas envie de se casser la tête. Un bon petit divertissement mais ça s'arrête là.

Je passe toujours un bon moment devant ma télé avec ce film. Whoopi est vraiment un phénomène dans le monde des sœurs de sainte Katerine.
Je n'ais rien a redire sur la musique, elle est toujours aussi agréable a entendre, peut-être même un peu plus comme ce sont des jeunes qui chantent. Et qui en plus ont un talent incroyable, j'espère qu'ils n'ont pas été doubler pendant ces scènes.
En suite la trame est vraiment bien, c'était je pense pas souvent qu'à l'époque on croisait le monde du ghetto américain dans les films. Ou en tout cas pas de cette manière.
Vraiment un très très bon film qui arrive très bien a être dans la suite de sont prédécesseur, sans être une suite banale ni une suite pour une suite, ni même un possible mieux que le premier.
J'aime!

Vu hier au cinéma, les 2 heures sont passées très vite ! Les course-poursuites, les cascades, la photographie, là-dessus je n'ai rien à dire, c'était de la bombe. Et puis ce petit effet saccadé quand les warboys sont au combat, c'était pas mal !
ça rendait les scènes encore plus dynamiques (sans compter les différentes tactiques de combat, c'était génial)

Après j'ai quand même pas mal de choses à redire... même si c'est un film d'action, et bien c'est dommage que l'intrigue n'ait pas été un peu plus poussée.

Par exemple,

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comment ça se fait que Immortal Joe il soit malade comme ça, de même pour ses potes, alors que son harem est resplendissant de santé, et l'histoire de pollution des terres vertes de Furiosa, et voire cette histoire de globular[/spoiler] bref il y a tellement d'éléments intéressants que c'est dommage de passer aussi vite dessus.

Autre chose : il va falloir m'expliquer pourquoi Furiosa elle est la seule femme qui subit le soleil/sable et les autres, elles ne transpirent jamais, elles ont leur BB crème sous la main ou quoi ? Au début, elles sont planquées donc elles ne se salissent pas mais même à la fin, elles n'ont pas pris un coup de soleil (et Max à côté, lui aurait besoin d'un petit décrassage) voilà je trouve que ça fait un peu clip vidéo pour le coup (la femme doit toujours être parfaite)

Et enfin, [spoiler]le gros happy end qui arrive comme un cheveu dans la soupe, je pense que Furiosa morte ça aurait été plus original - là on sent bien que vu que c'est un personnage principal avec Max, faut pas la zigouiller mais bon ça aurait fait plus réaliste qu'elle meurt

Bref, niveau action c'est 100% adrenaline, rien à dire, y compris pour la photographie, avec les scènes de nuit en bleu c'est magnifique, mais l'intrigue et les personnages... bof. Et dans le même genre d'univers barré, ça m'a rappelé les bouquins de Serge Brussolo !

J'ai voulu le regarder pour le casting. Et quelle surprise !
"Love, Rosie", ce n'est pas un film à l'eau de rose, creux et sans fond. C'est un très beau film, qui émeut et faire rire. On passe par toutes les émotions: la tristesse, la colère et la joie, grâce à des personnages plus qu'attachant et d'une vraie beauté. Ils nous ballottent dans tous les sens et j'ai parfois eu l'envie de m'arracher les yeux. Ou plutôt les leurs...
Ce film prenant et touchant m'a complètement emporté.
Les images sont également d'une grande beauté: des couleurs absolument magnifiques et des gros plans parfaits.
Les acteurs et le réalisateur ont fait un travail vraiment formidable.

Super, j'ai versé ma petite larme :') a voir et revoir ;)

Beaucoup d'humour, le personnage de Jack Sparrow est superbe! Une bonne intrigue avec des pirates et une musique incroyable, bref tout ce qu'il faut pour passer un bon moment de cinéma.

Je sors du cinéma et je suis...Déçue ? Outrée ?
Non mais, sérieusement, ils avaient toutes les cartes en mains pour faire un super film, avec une fin qui nous laisse bouche-bée et ou tu te dis <<- Non, ils ne peuvent pas couper là ?! >>, eh bien non !

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1. Le père de Tobias a un rôle important, alors que là on ne sait même pas où il est !
2. Sa mère...est vachement jeune !
3. La relation Tris-Christina n'est pas très approfondie, on ne sait pas trop si elle la pardonne.
4. Non mais, la scène de la chute ! Personne ne lève le petit doigt...c'est tout juste si Tobias ne la regarde pas en haussant un sourcil, << -Tient, elle tombe du ciel. Oh, elle s'écrase par terre. >> De plus, on ne sait même pas qui elle est. Elle, Lynn et Uriah débarquent : << Salut, nous sommes les amis de Tris, enfin on est supposés l'être mais elle ne nous connait même pas en fait. >>. Tout comme pour Lynn et Marlène dont la chute n'a aucun impact sur personne. En fait pas mal de personnages secondaires sont négligés ou alors rajoutés de façon décousue.
5. Non mais, alors là, s'il voulaient rendre Caleb détestable, c'est réussit ! Pourtant c'est mon petit chouchou alors je peux pas etre objective ! S'il vous plait n'en faite pas trop un idiot comme ça, je l'aime bien moi !
6. A l inverse, Peter, le sale type de service est un petit ange. << - Oh, mais je suis passé à l'ennemi pour sauver Tris, que j'adore, je suis tellement intelligent !>>C'est un type qui ne fait rien tant que ça ne lui apporte pas quelque chose, normalement.
7. Tris est censée résister au sérum de vérité, c'est un indice clé ! Eh bien non ! Elle souffre et avoue tout, complètement sous contrôle, du coup on peut en déduire que tout ça va chambouler toute la suite.
8. La relation Tris-Tobias est...facile. Il n'y a plus rien qui les sépare. Tous les petits détails qui rendaient leur relation interessante ont disparus : notamment le fait que chacun s'allie à un des parents de Tobias. Mais bon je vois mal Tris retrouver quelqu'un qui n'existe quasiment pas quant à Tobias il pourrait presque confondre sa maman avec sa copine donc bon.
9. C'est quoi cette fin ? Remettez le message, s'il vous plait ! Où est le suspens de la fin qui coupait le souffle ? Le Edith ? Edith Prior ? J'ai supporté chaque ecart au livre, juste parce que je me disais, la fin va être épique, juste...WAHOU ! Et là...j'étais bouche bée ! Un happy Ending ? Rien que ça ? Mais et le final du livre ? Eh bien j'attends toujours...

Bon, je crains pour Allégeance :
- Comment va-t-il y avoir cette rivalité Sans factions/ ceux qui veulent sortir puisque tout le monde court vers la clôture << Wouhou, sortons, allons vers un endroit bizarre et qui nous a toujours été inconnu sans nous poser de questions ?!
- Comment va-t-il y avoir cette guerre Marcus/ Evelyn puisque Marcus n'a servit à rien ?!
- Comment va-t-il y avoir cette relation Christina/Uriah puisqu'Uriah n'a pas perdu sa copine visiblement et que Christina ne réagit pas plus que ça ?
- Et surtout : Comment Tris peut-elle résister aux sérums, alors que là, elle n'est même pas capable de résister au sérum de vérité ?[/spoiler]

Enfin, mis à part tout ça, tout n'est pas non plus tout noir. Evidemment je critique parce-que je suis déçue. J'espère vraiment que ceux qui n'ont pas lut le livre auront la chance d'apprécier le film, c'est en tout cas le cas des amies qui étaient venues avec moi, bien que les pauvres je leur avait promis un suspens monstre a la fin et en fait..bref.
[spoiler]
J'ai vraiment apprécié le fait que pour réussir le test des fraternels, elle doive se pardonner. Ca renvoyait aux paroles de Johanna au début et c'était joliment tourné.
Cette idée d'ailleurs, la façon d'ouvrir le coffre était bien trouvée et cet écart au livre en revanche m'a plutôt convaincue.

J'ai plus adhéré qu'au premier parce que je trouve que ce deuxième volet ouvre davantage la porte à l'intériorité des personnages, ils révèlent une part d'eux-mêmes, chacun a quelque chose à dire. D'ailleurs je dirais que l'équilibre dans l'équipe est mieux établi, avant on voyait vraiment tout le temps Tony Stark et à côté il y avait des faire-valoir (Oeil De Faucon). Le film a aussi une image intéressante, la 3D est bien exploitée (oui! pour une fois!), l'action, l'humour et les scènes kiffantes sont au rendez-vous. Un cocktail gagnant? Peut-être pas totalement, le film manque beaucoup de suspens, je ne sais pas d'où ça vient, je dirais que le combat final est assez épique et pourtant

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je ne peux pas m'empêcher de penser qu'Ultron est battu trop facilement[/spoiler]. La romance [spoiler]Hulk/La Veuve noire est un peu foireuse, pas vraiment nécessaire. "Avengers: L'Ere d'Ultron" est un plaisir coupable, un vrai divertissement même s'il n'est pas parfait.

Eh bien, eh bien, eh bien.

Bon, je vais donner deux avis : un du point de vue d'un spectateur n'ayant pas lu les livres, et l'autre d'un point de vue très subjectif de la spectatrice et lectrice que je suis.

Premier point de vue, donc.
Cette suite est de très bonne qualité. Un mélange d'action, de rebondissements avec une touche de romance, ajoutez à ça un jeu d'acteur tout à fait convainquant : voilà un film divertissant ; on ne voit pas les deux heures passer. Il est dans la continuité du premier film, le manque d'action pointé du doigt dans le dernier est rattrapé ici avec toutes sortes de combats plus ou moins épiques (dans le sens premier de l'adjectif; ce n'est pas péjoratif). J'ai également beaucoup apprécié la bande originale du film. Bref, un bon mélange qui fait de cette suite un film agréable.

Point de vue subjectif, maintenant.
Tout d’abord, je tiens à dire que le fait de bien connaitre les livres et de les avoir adorés ne m’a pas empêché d’apprécier le film, mais ça ne sera surement pas le cas de tout le monde. À vous de voir si vous pouvez ne pas trop prendre à cœur les nombreuses différences film/livre et apprécier la qualité cinématographique du film... !
Bon... le point de vue subjectif disais-je… alors là, le bateau s'éloigne toujours plus des côtes. Les "oublis" et autres passages sous silences de certains éléments dans le premier film m'avaient parus compréhensibles. Ici, en revanche, c'est la bérézina. En gros, voilà la métaphore : les producteurs ont pris le tronc de l'arbre et l'ont rapiécé jusqu'à obtenir un truc qui pourrait être potable en en faisant le moins possible. Je n'ai pas compris les choix cinématographiques.

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Premièrement : les personnages secondaires. Ou plutôt l'absence de ceux-ci. Bon, par qui je commence... Allez, Christina. Son temps de parole dans le film? À peu près cinq minutes en tout. Le temps de demander à Tris où est Will, et de lui dire "Dégage, je t’aime plus" après qu'elle ait apprise qu'elle l'avait tué. Pas de pardon, ni rien du tout. Next. Ensuite... Edward. Ah non, pas du tout. Pas là dans le premier film, pas là dans le deuxième. Suivant. Uriah. Bon, ben, comme on ne savait pas trop qui c'était dans le premier film, je doute que les gens fassent le rapprochement entre le natif qu’on entr’aperçoit dans le premier film et le divergent qui devient le grand pote de Tris on-ne-sait trop comment. Suivant. Tobias. Oui, TOBIAS (et non pas ce foutu nom de "Quatre" qu'il semble tant apprécier dans le film). Il est fade et ennuyant au possible ; j'avais des doutes sur les capacités de l'acteur à jouer un personnage censé avoir dix-huit ans et être en grand trouble dans les tomes deux et trois. Problème réglé : tout va bien pour lui, c'est le petit-ami aimable, aimant et compréhensif dont a besoin Tris pour se sortir de son petit coup de blues. On est loin de la galère et de l'instabilité de leur relation dans le livre. Je ne sais même plus à quoi m’attendre pour le troisième film. Et Marcus ? Ah ben non, surtout, ne pas parler de lui. Comment pourrait-on expliquer que Tobias est un ange de petit ami attentionné, sinon. Du coup, on le voit dix minutes (une perte de temps d’ailleurs, puisqu’on ne dévoile rien sur lui), et puis à plus. On n'explique pas non plus le cas Marlene-Lynn (il y a une infime référence dans le film) ; un cas d'homosexualité, ça pourrait choquer. Ça n'avait peut-être pas une grande importance dans le livre, mais c'était là, et c'était symbolique. Du coup, seul Peter est à peu près correcte, bien que j’aie toujours l'impression qu'il est toujours trop aimable. Ah oui, et il sauve Tris gratuitement. Comme ça, pour le fun. Tris ne lui sauve pas la vie dans le film, mais lui trouve ça cool de la sauver quand même à la fin. Bon, OK. Pas grand chose à dire au niveau de Caleb, et Jeanine est plutôt fidèle au personnage du livre. Au final, seul Eric m'a convaincu (j’ai, je pense, été aidé par la prestation de l'acteur qui a très bien interprété le rôle).
Côté Tris, pas grand chose à dire, et heureusement. Imaginez s'ils avaient foiré sur le perso principal. Et encore, je la trouve en bonne santé mentale par rapport à la loque qu'elle est dans le livre. La preuve, pas de problème avec les armes à feu, on lui fait avouer la mort de Will et puis on n'en parle plus, elle n'a pas d'envies suicidaires. Non, vraiment, une fille assez saine mentalement.

À propos du scénario, maintenant. Là aussi, c'est assez le chaos.
D'abord, cette boîte sortie de nulle part "censée" être un message des pères fondateurs (et je dis bien "censée" car dans le film, PERSONNE ne sait quel message il contient, et Jeanine fait juste des suppositions alors que si je me souviens bien, Marcus et Jeanine sont au courant dans les bouquins) qui ne peut être ouverte que par un divergent (allons bon). Mais bon, ce n’est pas la plus grosse bourde de l’univers. Il leur fallait absolument de l’action dans le film, et ils se sont dit ‘’hop, on va rajouter une super simulation Audacieuse de la mort et faire de Tris un personnage encore plus héroïque’’. Bon, soit (ils ont fait la même chose en laissant Tris manipuler des flingues sans soucis), mais c’était peut-être pas la peine d’en faire autant.
La confrontation finale, ensuite. Qui n’en est pas tellement une, d’ailleurs. Pas d’insurrection à proprement parler, pas de prise de pouvoir (ou du moins c’est très soft et personne ne s’y oppose, bien curieusement), on fait mourir Jeanine de la main de Evelyn pour que ça donne un peu plus de conviction (et qu'on n'ait pas à expliquer que Tori avait un frère divergent mort à cause de Jeanine et qu'elle veut venger son frère). Et enfin ce fameux message. Je vous la fais courte : ‘’Coucou les divergents, venez voir dehors, il y a des gens’’. Et là, surprise : TOUT le monde veut sortir ! Personne ne se dit ‘’Attendez, les sans-factions viennent quand même de détruire un système de factions vieux de quelques générations, ils prennent le pouvoir, on nous dit qu’il y a quelqu'un dehors et qu’on doit quitter notre sécurité pour aller les voir ?’’ Non non, c’est cool, allons changer d’air. Du coup, tout le monde se barre, et les chercheurs de l’autre côté vont être assaillis par une ville entière qui vient de buter les ¾ de sa population de divergents, sachant que lesdits divergents restants doivent maintenant correspondre à environ 10% de la population maximum. J’ose espérer que dans le troisième film Evelyn va se bouger le popotin et secouer tout le monde en mettant le holà et en les séquestrant tous à l’intérieur de la ville dans sa tyrannie et sa mégalomanie malsaine (hein, moi, j’ai dis ça ?).
Pour résumer, ma plus grosse déception est le fait que ce deuxième film nous dévoile un monde de bisounours. Le chaos ambiant était quand même le cœur de l’histoire dans chacun des livres et était un élément important de cette dystopie. Ici, tout le monde est beau et gentil, les méchants rendent service parce que ça leur fait plaisir, les coups d’état se passent gentiment, et tout le monde est content de cette situation. Eh ben, on va tomber de haut quand on apprendra dans le troisième film que les mecs dehors sont des enfoirés qui ont regardé tout le monde s’entre-tuer en se disant "Uh uh, intéressant."

Pour conclure donc, vous pouvez aller voir ce film sans appréhension si vous n’avez jamais lu les livres (ou si vous les avez lus et que, comme moi, les différences ne vous empêcherons pas d’apprécier le film). Et pour ceux qui les ont lus et qui veulent quand même aller le voir malgré les divergences (mort de rire...) par rapport au livre, essayez de prendre le massacre de scénario (j’exagère) au second degré ; ça vous aidera à faire passer la pilule.

Quand je regarde ce film, je me demande comment je me sentirai si je devais passer toute ma vie entre quatre murs.
Je crois que je sombrerai dans la folie, en commençant par une belle dépression, suivi d'une tentative de suicide. Alors à la fin du film quand il arrive a s'évader, j'ai toujours envie de pleurer de joie pour cet homme qui sort de cet enfer avec brio.

Un film qui ne laisse définitivement pas de marbre, c'est strictement impossible. Adapté de l’œuvre de Stephen King, La Ligne Verte est capable de faire saigner le plus dur des coeurs de pierre.

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Comment ne pas pleurer, en s'attachant tout au long de l'histoire à un personnage accusé à tort d'avoir tué deux petites filles alors qu'il essayait de les guérir ? Comment ne pas s'attacher à John Coffey, qui ne ferait pas de mal à une mouche et qui, malgré son côté massif, a un charme enfantin ? Comment ne pas le pleurer, à sa mort, lorsqu'il est exécuté alors qu'il est innocent ? Comment ne pas partager le chagrin des gardiens de prison qui se sont grandement attachés à lui ?
Tout simplement bouleversant, il n'y a pas d'autres mots qui me viennent à l'esprit.

J'ai vu ce film avec mon frère pour la deuxième fois et j'aime toujours autant. Voilà une des seules productions récentes de Disney qui fait plaisir sans jamais tomber dans le niais ou le pathos inutile.

Lorsque j'ai découvert ce film, j'ai été tout de suite attirée par l'univers qu'il nous propose, à savoir celui des jeux vidéos. J'adore jouer aux jeux vidéos et cet aspect m'a tout de suite plu, de plus, les graphismes sont beaux. Ils ne sont pas transcendants mais ils font le job et lorsque l'on découvre le monde de Sugar Rush, on ne peut qu'être ébahi de voir autant de sucreries réunies en un seul et même endroit! Les autres mondes sont bien faits aussi mais celui de Sugar Rush bénéficie de plus de détails puisque les trois quarts du film s'y passent.

Ensuite, le scénario n'est pas mal! J'ai été très surprise car d'habitude, tous les dessins animés suivent plus ou moins les mêmes codes et ont une intrigue similaire très classique mais pas ici! Alors oui, le grand méchant qui veut devenir gentil, ce n'est pas ce qu'il y a de plus original de prime abord mais j'ai trouvé le tout bien amené et surtout bien justifié. L'intrigue principale qui est celle que je viens d'écrire plus haut est soutenue par des petites intrigues secondaires qui ont beaucoup de charme! Certes, elles comportent des faiblesses et certaines sont bien trop faciles mais j'ai trouvé que ça ajoutait un charme de fou à ce film! Après, je reconnais sans mal que le film est prévisible mais ça ne m'a tant gênée que ça.

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Je pense notamment à Turbo. C'était très intelligent de créer ce personnage et de lui donner un traitement important pour la suite de l'intrigue, sauf qu'à trop vouloir en parler et expliquer son histoire, la révélation finale comme quoi le Roi de Sugar de Rush n'était autre que lui tombe à l'eau. S'ils s'en était tenus à seulement le mentionner une fois ou deux, alors le twist final aurait valu son pesant d'or, ce qui n'est pas le cas, malheureusement. C'est dommage mais cette minime prise de risque m'a plu quand même.

Les autres personnages sont très sympas, je les ai tous bien aimés mais bien évidemment, j'ai une nette préférence pour la petite Vanellope et son caractère bien trempé! Je donne une mention spéciale à Félix, qui m'aura fait éclater de rire avec son marteau. Ralph quant à lui est très attachant et on ne cesse d'espérer tout le long du film qu'il arrive au bout de son rêve et gagner la considération des personnages de son jeu (sans oublier la médaille!).

Et puis j'ai oublié de parler des dialogues! Les dialogues sont marrants, certains hilarants. Les premiers dialogues entre Ralph et Vanellope sont de purs bijoux. La bande-son est très bonne, j'ai adoré le passage rythmé par la chanson Shut Up and Drive de Rihanna. Alors même si ce film peut sembler réchauffé, commercial, qu'il n'est pas original ou autre, j'ai beaucoup apprécié. Je le conseille, il ravira petits et grands.

C'est sans conteste mon Disney préféré pour plusieurs raisons.

D'abord l'histoire en elle-même est originale dans le sens où, loin de chercher à innover, les réalisateurs font plusieurs références et parodies de films

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Men In Black entre autre avec M. Bubble.

Ensuite les personnages sont atypiques et me font aussi penser à un autre film : Léon de Luc Besson (le duo Léon/Mathilda se rapproche de Stitch/Lilo)

Au niveau du design, on retrouve le bon vieux dessin animé agrémenté de quelques images de synthèse qui ne dénotent pas (oui, j'aime aussi l'animation 3D mais le dessin "à la main" restera toujours mon favori)

Enfin, et c'est l'un des points le plus important dans un Disney : la musique. On a droit à du Elvis Presley et c'est fantastique, mais aussi à une petite chanson de la part d'un des personnages (et j'apprécie le fait que ça s'intègre naturellement à l'histoire sans être lourdingue comme dans d'autres Disney, style "ça y est, on va chanter !")

Bref, pour moi il mérite largement sa place dans la liste de diamant !

J'adore ce film, mais ce que je préfère dedans c'est les musiques et les costumes !

Un film pesant avec une ambiance angoissante, et pour autant il ne se passe rien ! Je vois ça comme un gage de qualité, les rebondissements sont inattendus, j'ai adoré!

A la fois sombre et magnifique.

Les pouvoirs qu'ils ont font rêvés, la folie qui se cache au fond fait peur....

Je l'ai trouvé triste...horrible....et surtout humains...je sais c'est bizarre mais...
Il raconte fabuleusement bien une histoire triste à travers un échappatoire fantastique et un esprit torturé.

Les acteurs sont très bien choisi et talentueux.
J'ai beaucoup aimé le fait de voir à travers une caméra.

La fin est très très touchante!

Omg sa doit être vraiment bizarre de changer comme ça de corps...

Ce film est vraiment bizarre.
C'est censé être une comédie, mais je n'ai pas ris une seule fois dedans. Quelques passages sont censés être drôles, mais ce ne sont que des petits sketchs sans intérêts, souvent de l'humour sous-entendu sur les juifs et les arabes (presque à la Jamel Comédie Club), et le reste du film est trop stressant et pesant. Il a son bon lot de violence gratuite avec des bruitages beaucoup trop forts.
Sinon, l'histoire semble intéressante au début du film, puis plus du tout au bout de 30 minutes. Les acteurs sont bons, c'est bien filmé, mais l'histoire est complètement vide et la fin est sans surprise et ne répond pas à toutes les questions. Il reste la question "qui est vraiment le grand méchant loup" qui est assez intéressante ici entre le suspect et les policiers.

Une claque aller et retour. C'est ce que ce film m'a fait ressentir. Ce film, c'est 1h46 de larmes, de bonheur et de souffrance. Comment ne pas mettre ce film dans ma liste de diamant.

Un magnifique film qui nous emporte dans le monde de l'imaginaire et qui nous rappelle beaucoup certains moments de notre enfance.

Johnny Depp nous confirme une fois de plus qu'il peut se mettre dans la peau de n'importe quel personnage, celui-ci lui conviendra parfaitement. Kate Winslet et Freddie Highmore apportent beaucoup d'émotion et une touche de charme en plus à ce film. J'ai beaucoup aimé leur rôle et leur jeu respectifs.

Après avoir vu ce film, on a comme l'impression d'avoir grandi et mûri en une heure et quarante minutes seulement.

C'est donc un beau film avec une histoire très émouvante, à voir pour passer un bon moment.