- T’es toujours avec ta copine ?
- Ah non, c’est plus ma copine...
- De toute façon, elle se faisait culbuter par tout le monde !
- ... Mais c’est ma femme.

Le monde est le même, c'est toi qui est différente.

Vous savez ce que vous êtes Mlle Je-ne-sais-pas-qui ? Une poule mouillée. Vous n’avez pas de cran. Vous avez peur de dire « D’accord, c’est la vie ». Les gens tombent amoureux. Les gens s’appartiennent l’un l’autre, parce que c’est la seule chance de trouver le bonheur. Vous vous dites libre, sauvage. Vous êtes terrifiée à l’idée qu’on vous mette en cage. Eh bien, mon cœur, vous y êtes déjà. Vous vous y êtes mise toute seule. Et elle n’est pas limitée à Tulip, au Texas, ou à la Somalie. Elle est partout où vous allez. Qu’importe où vous courez, vous finissez par tomber sur vous-même.

Vous voyez, un homme ne vous aimera ni ne vous traitera jamais aussi bien qu’un magasin. Si un homme ne vous convient pas, vous n’avez pas une semaine pour l’échanger contre un magnifique pull en cachemire. Un magasin sent toujours bon. Un magasin peut éveiller en vous un désir pour des choses dont vous n’auriez jamais pensé avoir besoin. Et quand vos doigts attrapent ces sacs flambants neufs, oh oui, oh oui !... Oh non, j’ai dépensé 900 dollars !

Faut que tu fasses un choix. Avoir une vie de petit bourgeois ou celle d'un cavalier qui travaille dur pour être un jour champion olympique à Séoul. C'était ton rêve, c'est devenu le mien.

John Merrick : I am not an elephant ! I am not an animal ! I am a human being ! I am a man !

Je suis un homme vulgaire mais je vous assure que ma musique ne l'est pas.

Mrs Treves : I am very pleased to meet you, Mr. Merrick.
John Merrick : I am very pleased...
Mrs Treves : What is it John ? What's the matter ?
John Merrick : It's just that I'm not used to be treated so well by a beautiful woman...

Hallie : Tu veux vraiment savoir ce qu'il y a de différent entre nous deux ?
Annie : Laisse-moi deviner... Je sais manier le fleuret et pas toi. Ou, j'ai de la classe, et pas toi. Qu'est-ce que tu préfères ?

Si j'aurais su j'aurais pas venu.

- Tu l’aimes ce garçon, beaucoup ?
- Je l’aime plus que ça. Est-ce que je suis folle ?
- Et bien un peu... Mais tu sais, Ronnie, l’amour ça fait perdre la tête...

Genre, je vais aller voir ma mère, et je vais lui dire « il fallut que je sois fusses. » !

Comme je le prévoyais : "Mary Poppins, à peu de choses près, parfaite en tout point."

Le jour ou le soleil est né, en même temps que la lune leurs mères moururent. Alors le soleil offrit le corps de sa mère à la terre pour que puisse jaillir la vie, de sa poitrine il fit sortir des étoiles et les lança très haut dans le ciel pour consoler la lune.

Je suis pauvre et n’ai que mes rêves.
Sous tes pas je les ai déroulés.
Marche doucement car tu marches sur mes rêves.

Maurice: Secrets and lies ! We're all in pain ! Why can't we share our pain ? I've spent my entire life trying to make people happy, and the three people I love the most in the world hate each other's guts, and I am in the middle ! I can't take it anymore !

Docteur: Raymond, do you know what autistic is?

Raymond: Yeah.

Docteur: You know that word?

Raymond: Yeah.

Docteur: Are you autistic?

Raymond: I don't think so. No. Definitely not.

Skeeter : Ces femmes de couleur élèvent les enfants des blancs mais elle n’ont même pas le droit d’utiliser les toilettes de la maison.

Les pouces, c’est des doigts ?

Anna : You know what they say about men with big feet.
William : No, I don't, actually. What's that?
Anna : Big feet... large shoes.

- Tu sais ce qu’on dit à propos des messieurs à grands pieds ?
- Ah non, qu’est-ce qu’on dit ?
- Grands pieds, grande... chaussures.

Chouchou : J'ai aussi besoin d'un shampoing.
La vendeuse : Bien sûr, pour quel type de cheveux ?
Chouchou : Euh, cheveux sales.

Il y a mille façons de mourir, ce qui compte, c'est de trouver le moyen de vivre.

Tu pleures, tu pleures, mais t'auras pas à bouffer. Voilà.

Le matin au réveil, je bois ma bouteille de blanc. Vers 10 heures, histoire de marquer le coup quoi, d’être solidaire de tous ces mecs qui travaillent sur les chantiers, qui vont faire la pause, ben je, j’en bois une deuxième. J’en bois une troisième à l’apéro de midi, toujours du blanc. À déjeuner, s’il y à de la viande je peux passer au rouge, sinon je reste au blanc, ou les deux. Bon après faut une sieste, une heure ou deux de sieste. Quand on se réveille d’une sieste on a toujours un peu la bouche pâteuse alors là je repars sur du blanc pour m’éclaircir un peu les idées. Ensuite piscine, été comme hiver, il fait du bien de se décrasser, remettre un peu la machine en route. Et puis ensuite on arrive à l’heure fatidique, l’apéro du soir. Est-ce qu’on attend l’heure officielle, est-ce qu’on anticipe ? Moi j’aime pas perdre de temps. À 18 heures j’attaque et là je m’éclate la tête. Ce qui s’appelle vraiment boire.

Tu arrives ici avec ton portable pour écrire, ton remède miracle contre la malaria et ton gel désinfectant pour les mains, et tu crois que tu vas changer le sort du monde ?

C'est pas avec des mots qu'on change le monde, Bill, sauf si vous les écrivez dans les journaux avec votre sang.