"Il est primordial de bien connaitre ses limites. Ne pas connaitre ses limites, c'est risquer sa vie et celle des autres."

Charlie: "- Oui il est différent, il est plus petit et plus faible et il va se faire exploser."
Max: "- C'est un boxeur, il a appris à boxer, tu lui as appris à boxer et ça ça vaut de l'or ... "

Tom Farrel: "- Vous êtes plutôt cynique !"
Susan: "- Seulement dans les grandes occasions "

"La bonté , ça peut te tuer ici ..."

Le serveur: "- Cervelle de singe en sorbet ! "

"Il n'y a pas d'homme parfait sur Terre; seulement de parfaites intentions ... "

"Tu as un don messager , je l'avais remarqué à Pineview, tu nous a rendu tout ce que nous avions oublié ... tu nous as donné l'espoir comme un bonbon que tu sortirais de la poche .... "

Dr Stanley Goodspeed : "-Le monde file plein gaz vers l'enfer en ligne droite, je crois sincèrement que ceux qui projettent de mettre un enfant au monde envisagent en toute lucidité un acte extrêmement cruel... et toi quoi de neuf mon amour?"
Carla: "- Je suis enceinte!"

"... je ne dis pas que j'ai une meilleure idée, mais il y a un moment où être trop intrépide c'est être stupide ..."

"Je souhaiterais porter un toast à la mémoire de ces hommes d'honneur, qui en osant commettre un acte considéré comme illégal n'ont fait que leur devoir ..."

"Les avions n’ont rien fait. C’est la belle qui a tué la bête."

"Les relations qui démarrent dans l’intensité, ça tient pas la route."

"Watson, vous avez un don inouï pour le silence, vous êtes donc idéal comme compagnon!"

"L'espoir n'est qu'un leurre."

Ellen Crawford: "- Où étais tu en 1292 ?"
John Oldman: "- Où étais tu, jour pour jour, il y a un an ?"

"L'eau salée est un remède universel, on la trouve dans les larmes, la sueur ou dans la mer."

- Tu peux pas savoir combien je te hais. Tu n’es pas un homme, t’es une bête. Tout ce que tu touches devient répugnant, vulgaire. Je ne veux plus jamais te voir. Plus jamais t’entendre. Plus jamais, tu entends. Ni entendre parler de toi. Tu as sali l’unique chose belle dans ma vie. Gibier de potence. Je peux enfin te cracher à la figure.

- Arrête t’as rien à craindre toi. Qui c’est qui voudrait te violer ?
- Mais t’es dégueulasse, pourquoi tu m’dis ça ?
- […] N’importe quoi, mais c’est vraiment un discours de macho, ça, t’es con ! Pourquoi je pourrais pas me faire violer, moi ? Je peux très bien me faire violer. […].

- T’as jamais rien réussi et tu ne réussiras jamais rien. C’est tout. Et tu sais pourquoi ? Parce que t’es vulgaire. Irrémédiablement vulgaire. Et non seulement t’es vulgaire, mais t’es ordinaire en plus. […] Ton seul orgueil c’est ta médiocrité.

- Est-ce qu’il y a des trompettes, dans votre roman ?
- Ah non…
- Est-ce qu’il y a des tambours, dans votre roman ?
- Ah non…
- Ah ben alors vous avez qu’à appeler ça “Sans tambours ni trompettes” !

- C’est la majorité ! Laquelle d’abord ? Celle qui croyait que la terre était plate ? Celle qui veut rétablir la peine de mort ? Celle qui se met une plume dans le cul parce que c’est la mode ? Laquelle exactement ?

- A deux ce serait plus facile.
- Quoi donc ?
- De plus prendre le train.
- J’sais pas. […] Mais ce qu’il y a de bien c’est qu’on n’a pas peur… au fond… on craint… ils vont pas nous donner des gifles quoi ! On n’a rien à craindre.
- Et eux, tu crois que c’est par peur des gifles qu’ils se démènent comme ça… On n’a pas le droit de se conduire comme ça. On devrait leur dire : « vous êtres trop grands pour… vous êtes trop grands pour prendre des gifles et des coups de pied au cul ! » On devrait leur dire ça.
- Là tu viens de dire un truc terrible, parce que… ça fait dix minutes qu’on s’est évadés.
- Ouais !
- Et au fond, maintenant, on a quelque chose à dire aux gens.

- Tu sais, Fête Nat, cette nuit, j’dormais pas. J’étais allongé les yeux grands ouverts en train d’me r’tourner jusqu’à en dev’nir marteau. Voila tout à coup qu’j'en ai marre et je m’dis : « Tu vas finir par tourner en bourrique à force de te tourmenter. » C’qui fait qu’j'ai réfléchi. J’ai réfléchi tant qu’j'ai pu, jusqu’à en avoir mal aux méninges. Et finalement j’ai pris une décision. C’est que je savais foutre pas ce que je pouvais bien faire.

- Dis à ton putain de frangin que je lui couperai la tête et qu’j'lui pisserai dans la gorge !
- Va te faire encul… Aaah !

- Pendant notre jeunesse avec JC, on marchait tout le temps. T’as déjà vu un apôtre avec du bide ?

- Une femme me plaît parce qu’elle a joué dans un film de Bresson, ou bien parce qu’un homme que j’admire est amoureux d’elle : quel plus grand hommage peut-on rendre à un homme qu’on admire que de lui prendre sa femme ? En ne venant pas hier, vous m’avez permis aujourd’hui de parler de votre absence. Alors qu’hier je n’avais rien à vous dire. Vous avez installé quelque chose entre nous. Vous ne croyez pas ?
- Je ne sais pas.
- Si ce que je dis vous ennuie vous m’arrêtez !
- Oh non, pas du tout…
- Parce qu’on peut parler d’autre chose : de la pluie, du beau temps, du MLF.