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Égypte, 1955, le Caire est un véritable nid d'espions.
Tout le monde se méfie de tout le monde, tout le monde complote contre tout le monde : Anglais, Français, Soviétiques, la famille du Roi déchu Farouk qui veut retrouver son trône, les Aigles de Kheops, secte religieuse qui veut prendre le pouvoir. Le Président de la République Française, Monsieur René Coty, envoie son arme maîtresse mettre de l'ordre dans cette pétaudière au bord du chaos : Hubert Bonisseur de la Bath, dit OSS 117.
Mon avis va peut-être diviser, mais j'ai moins aimé Le Caire nid d'espions qu'Alerte rouge en Afrique noire, que j'ai vu en premier.
Les images sont belles et j'adhère à ce charmant côté rétro, cet aspect un peu daté et patiné qui fait la marque de la série. Mais les propositions humoristiques de ce pastiche m'ont moins touchée que dans le troisième opus. La mayonnaise n'a pas pris !
Cela n'empêche pas Le Caire nid d'espions d'avoir ses grands moments : la présentation des différents espions, qui possèdent tous la même couverture d'éleveurs de bêtes dans la région, par exemple !
Un divertissement de qualité. Découvrez OSS 117, le débile le plus élégant du cinéma actuel. Misogyne, raciste, inculte, machiste et doté d'un sens de la déduction proche de celui de Rantanplan, Hubert Bonisseur de la Bath est unique et inimitable. Toute ressemblance avec le français moyen est une pure coïncidence bien sûr. Qu'importe, la déferlante Dujardin emporte tout sur son passage. Sa force comique est d'une générosité impressionnante. Mimique, gesticulation, dosage de la voix toute la palette y passe avec une énergie et une bonne humeur auquelle il est difficile de résister.
J'ai tenu la moitié du film et j'ai laissé tomber. Rien qui ne prête à rire, mauvais jeux de rôles par de bons acteurs pourtant... c'est dommage pour un film humoristique de ne pas trouver à rire.
C'est toujours un régal de regarder des OSS117 : du rire, de l’esbroufe, du cliché et du vrai aussi ! Cela fait plaisir qu'on peut encore rire de nos jours avec de tels films !
On assiste à un Jean Dujardin dans toute sa splendeur, à faire l'imbécile diablement bien dans ce premier film d'OSS 117. C'est un peu un style à la Belmondo dans Le Magnifique, à ne pas prendre au premier degré !
J'avais vu une première fois ce film et je m'étais dis que j'avais dû passer complétement à côté étant donné que tout le monde y faisait référence en tant que film culte. J'ai donc revu ce film des années après pour lui laisser une nouvelle chance. J'ai ri une ou deux fois bien fort, soufflé du nez une ou deux fois également... mais dans l'ensemble j'ai trouvé ça long. J'imagine que ce n'est juste pas mon style d'humour.
Synopsis
Égypte, 1955, le Caire est un véritable nid d'espions.
Tout le monde se méfie de tout le monde, tout le monde complote contre tout le monde : Anglais, Français, Soviétiques, la famille du Roi déchu Farouk qui veut retrouver son trône, les Aigles de Kheops, secte religieuse qui veut prendre le pouvoir. Le Président de la République Française, Monsieur René Coty, envoie son arme maîtresse mettre de l'ordre dans cette pétaudière au bord du chaos : Hubert Bonisseur de la Bath, dit OSS 117.
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