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Bedford Falls, petite ville de l'État de New York, la veille de Noël. De chaque foyer s'élève une prière. Les paroles murmurées avec ferveur concernent toutes le même homme — George Bailey — qu'elles proviennent de la bouche de son épouse, de ses enfants, de ses amis et collègues... et de manière générale de tous ceux qui tiennent à lui. Les prières vont être exaucées et Clarence, un ange sans ailes est envoyé au secours de George afin de gagner ses ailes. Avec lui, nous revivons les années écoulées dans la vie de George.
Ayant renoncé à son rêve d'enfant de devenir explorateur, pour reprendre la banque de son père, il a toujours consacré son énergie et son argent à l'amélioration des conditions de vie des habitants de la ville, en luttant contre le désir de puissance d'un homme d'affaires sans scrupules. Il fut également très utile pour son patron, monsieur Gowers, un pharmacien, car il empêcha le renvoi de ce dernier en refusant de livrer à un couple, dont le fils était atteint d'une maladie très grave, un cachet empoisonné. Il sauva également son jeune frère Harry de la noyade au cours d'un concours de luge et perdit à cette occasion, l'usage de son oreille gauche. Adulte, George se maria à Mary, amoureuse de Georges depuis l'enfance, et eut d'elle quatre enfants. Deux de ses amis, Marcel, un policier et Ernie (Ernest en français), un chauffeur de taxi chantèrent même à son mariage. Grâce à lui, son oncle Billy réussit à sauver son entreprise et plusieurs personnes dont son meilleur ami Giuseppe Martini habitèrent dans des jolies maisons construites grâce aux fonds de la banque Baileys. Pourtant, un soir de Noël, l'oncle Billy perd une somme d'argent importante et George, désespéré, envisage de se jeter dans la rivière. Mais il sauve Clarence qui feintait de se noyer.
Bon, ça y est noël approche, et tout comme pour la session film d'horreur pour halloween, il est temps de commencer le visionnage de quelques film sur le thème de noël. Et comment commencer mieux qu'avec ce putain de chef d'oeuvre ?
Touchant, drôle, réaliste et merveilleux, "La vie est belle" devient officiellement le leader de ma liste de films optimiste bourré de bon sentiments. Ce pour quoi j'ai vu des gens le critiqué, mais comment, comment est ce possible? Je suis on ne peut plus d'accord pour dire que certaines Happy End actuelle sont poussive et très énervante, mais un bon film doit-il nécessairement être négatif? Bienheureusement que non !
La happy end ici est grandement justifié, par le message porté par le film, un message optimiste oui mais sans être mièvre.
Et de plus, certes la fin abonde de bons sentiments, mais le film en lui même a un ton qui tenderait plutôt a l'opposé ! Le personnage de George Bailey n'est pour ainsi dire jamais heureux, soumis a la fatalité, contraint d'abandonner tous ses rêves pour aider les habitants de la ville en l'honneur de son père, s'enfermant petit a petit dans la vie qu'il a toujours voulu éviter.. C'est pas super joyeux !
Enfin pour le côté comique, si ce n'est pas le point le plus important du film je trouve que c'est parfaitement dosé, c'est la première fois que je ris a gorge déployée dans une salle de cinéma ("J'avais économisé de l'argent pour me payer un divorce si un jour j'avais un mari", comment ne pas éclater a cette réplique !) (Et oui, je l'ai vu au cinéma, séance événement, amen ! )
Bref, ce chef d'oeuvre est clairement une forme d'antidépresseur cinématographique !
Un film très chouette, où l'on suit le parcours de George Bailey, et où l'on se prend d'affection pour ce personnage lumineux mis à terre par la vie. L'idée de lui envoyer un ange qui Spoiler(cliquez pour révéler)lui montre quel aurait été le monde sans lui est juste géniale (et je suis sûre que tout le monde voudrait tenter l'expérience^^). "La Vie est belle" est un film qui redonne de l'espoir. Le bémol que j'ai à mettre concerne le déroulement de l'histoire, le rythme. On suit la chute de George pendant 1h20-1h30, et avec un tour scénaristique d'un quart d'heure, tout ce qui avait été instauré auparavant est renversé et tombe aux oubliettes. Je trouve ça trop brusque. Quant à la dernière scène, elle est quand même un peu facile et peu probable. Mais "La Vie est belle" nous accorde une part de rêve bienvenue.
Un très beau film qui m'a énormément touchée! Je suis vraiment contente d'avoir enfin regardé ce classique en cette période de Noël qui a des thèmes tellement universels qui ne vieillissent pas du tout à ma surprise. Tous peuvent selon moi se retrouver en le personnage principal de Georges qui se sent un peu dans une impasse dans sa vie et voudrait accomplir de grandes choses et se sent un peu coincé et que nous avons peu de valeur... pour finalement réaliser tous les bonheurs de la vie, que nous touchons plus de personnes qu'on ne peut le penser, le bonheur d'aider les autres, la valeur de l'amitié et de l'amour... Tellement un beau message, mais qui n'est pas trop « évident ». C'est la subtilité et le réalisme qui rend ce film si beau à mon avis.
Les dialogues sont également excellents! Je me souviens de quelques phrases qui m'ont marquées. Il y a aussi une bonne d'ose d'humour qui m'a honnêtement fait rire à plusieurs moments. J'adore le « vintage » du film et cela nous fait apprécier cette époque pas si loin de nous où les gens étaient tout aussi humains. Je n'ai pas non plus trouver qu'il y avait des longueurs.
La fin m'a littéralement fait sourire à pleine dents pendant une bonne minute, il m'a tellement fait bien sentir. J'ai aimé que ce n'était pas tout totalement « niais » dans le sens qu'il y a également quelques bons moments sombres dans le film, mais en soi cela me fait réaliser que les bons films sont ceux qui savent nous toucher et cela ne veux pas nécessairement dire qu'il doit y avoir une tragédie quelconque.
Bref, un très bon film classique à voir absolument à mes yeux!
Un film magnifique, porteur de beaucoup de tendresse et d'espoir. Il est optimiste sans être pourtant dégoulinant de bons sentiments et c'est très appréciable.
Un superbe film, magnifique et qui donne envie de croire à nouveau en la générosité humaine. De belles images (les vieux films...) et de très bons acteurs. Une jolie histoire.
J’ai vu ce film parce qu’il est considéré comme un classique. En fait, je me suis rendue compte qu’il est hyper connu juste par hasard.
J’ai bien aimé l’introduction originale, le fait qu’on apprenne beaucoup de choses sur George Bailey, c’était intéressant même si je me demandais à quel moment l’ange allait finir pat intervenir. Son histoire n’est pas spécialement originale, mais elle était plutôt bien racontée, enchantée. J’ai aimé le fait qu’il veule voyager mais qu’il en soit empêché pour diverses raisons, mais j’ai trouvé dommage que cette idée ne soit pas restée présente vers la fin du film et que ce qu’on retienne de lui, c’est plutôt un homme bienfaiteur avec une jolie famille. Pour ce qui est du thème du suicide, j’ai trouvé que c’était amené de façon assez superficielle, pas très crédible au vu de tout ce qui nous a été raconté au début. On ne voit pas assez le cheminement de pensée du personnage pour en arriver à là. J’ai aimé la partie du film où George voit ce que la ville aurait été sans lui, du point de vue scénaristique c’était bien joué, c’était touchant mais un peu redondant en revanche. Je n’ai pas trop aimé la morale/conclusion à la toute fin, peut-être trop facile.
En bref, c’était un film intéressant à regarder, parfois un peu facile ou mièvre, mais toujours cent fois mieux que les téléfilms de Noël d’aujourd’hui !
Un film un peu déséquilibré mais qui a une très belle histoire, une fin avec une bonne morale, le tout servi avec un très bon casting, surtout James Stewart qui joue très bien le trop honnête et droit Georges Bailey qui va tout sacrifier, tout accepter, se retrouver dans des ennuis pas possible mais être récompensé de ses sacrifices.
J'ai pris beaucoup de plaisir à suivre le parcours de ce personnage très attachant.
Le message du film est très beau et plein d'optimisme.
Cependant, j'ai trouvé l'écriture assez déséquilibrée, la première partie est très longue et l'évènement qui fait tout basculer arrive très tard presque comme un cheveu sur la soupe et la conclusion est très rapide.
J'ai tout de même passé un bon moment devant ce film.
Définition même de " capraesque ", cependant ne vous laissez pas enchanter par les jolies morales du film car nous pouvons y trouver des notes assez sombres dans le scénario.
Malgré la morale finale que l'on peut croire un peu convenue, on se laisse submerger par l'émotion finale de l'honnête et aimable Geoarges, joué par un James Stewart craquant à souhait.
Entre humour et émotions vraies, le film change votre façon de voir le monde. Un bon remontant en cas de coup de blues!
Avec ses images soignées, c'est un petit bijou du cinéma qui rend la vie plus belle. Que demander de plus?
Ce film est un ascenseur émotionnel, qui descend graduellement puis monte en flèche tout d'un coup en vous laissant un sourire radieux sur le visage. Ce film est une boule de neige de bonne humeur et de joie de vivre rafraîchissante, et après avoir essuyé sa petite larme on a juste envie de chanter, danser, et souhaiter Joyeux Noël au monde entier.
Mais ce film est aussi une ode à la vie et à la confiance en l'humanité, c'est l'histoire d'une vie et une très belle leçon de vie, qui montre à quel point un seul individu peut importer pour tant d'autres. Enfin, ce film est un bijou de cinématographie et un très beau film de Noël.
Synopsis
Bedford Falls, petite ville de l'État de New York, la veille de Noël. De chaque foyer s'élève une prière. Les paroles murmurées avec ferveur concernent toutes le même homme — George Bailey — qu'elles proviennent de la bouche de son épouse, de ses enfants, de ses amis et collègues... et de manière générale de tous ceux qui tiennent à lui. Les prières vont être exaucées et Clarence, un ange sans ailes est envoyé au secours de George afin de gagner ses ailes. Avec lui, nous revivons les années écoulées dans la vie de George.
Ayant renoncé à son rêve d'enfant de devenir explorateur, pour reprendre la banque de son père, il a toujours consacré son énergie et son argent à l'amélioration des conditions de vie des habitants de la ville, en luttant contre le désir de puissance d'un homme d'affaires sans scrupules. Il fut également très utile pour son patron, monsieur Gowers, un pharmacien, car il empêcha le renvoi de ce dernier en refusant de livrer à un couple, dont le fils était atteint d'une maladie très grave, un cachet empoisonné. Il sauva également son jeune frère Harry de la noyade au cours d'un concours de luge et perdit à cette occasion, l'usage de son oreille gauche. Adulte, George se maria à Mary, amoureuse de Georges depuis l'enfance, et eut d'elle quatre enfants. Deux de ses amis, Marcel, un policier et Ernie (Ernest en français), un chauffeur de taxi chantèrent même à son mariage. Grâce à lui, son oncle Billy réussit à sauver son entreprise et plusieurs personnes dont son meilleur ami Giuseppe Martini habitèrent dans des jolies maisons construites grâce aux fonds de la banque Baileys. Pourtant, un soir de Noël, l'oncle Billy perd une somme d'argent importante et George, désespéré, envisage de se jeter dans la rivière. Mais il sauve Clarence qui feintait de se noyer.
Source : wikipedia
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