Commentaires de films faits par Noone
Répliques de films par Noone
Commentaires de films appréciés par Noone
Répliques de films appréciées par Noone
C'est clairement pas ce qu'on recherche dans un film catastrophe, la cohérence, mais une fois de temps en temps, proposer un film qui collerait le plus possible à ce qui arriverait réellement, ce serait intéressant à voir.
L'univers est reconnaissable et rappellera forcément certaines autres de ses oeuvres mais apporte de la nouveauté bienvenue dans ce film.
On découvre (ou cherche à se rappeler qui est qui) selon l'âge du spectateur toutes les figures historiques plus ou moins connues de cette époque tout en suivant les aventures de la petite Dilili et de son protecteur avec intérêt.
J'ai aimé l'aventure de Dilili, le travail de Michel Ocelot, les thèmes abordés et je le conseille vivement, pour tous les âges.
Encore un bon moment à suivre Fernandel et Gino Cervi se rendre coup pour coup, même s'il y a un peu moins entre les deux pour ce 5ème volet. Il reste quand même bon et je regrette presque que la fin n'ait pas eue de suite, ça aurait donné quelque chose ces deux-là chez les ricains.
Entre les acteurs au rabais, une histoire qu'on essaye de comprendre et des tonnes de bla-bla inutile, on se demande où est le Mortal Kombat là-dedans.
C'est mauvais, passez votre chemin pour éviter de perdre 1h25 pour rien.
De la psychologie pour les personnages, le principal surtout qui se retrouve catapulté de plus en plus haut sans qu'on ait le temps de le comprendre. Il a un problème avec le fait d'être un troisième, d'avoir un frère et une soeur qui ont échoués et ça en reste là, il a une relation avec la violence qui n'est guère développée et pourtant, il n'y va pas de main morte pour se défendre... Le gamin n'est pas juste un protagoniste comme les autres dans l'histoire, c'est l'atout majeur et ce qu'il va avoir à faire doit clairement le retourner. On en voit qu'une partie et c'est dommage.
Un meilleur traitement des personnages aurait été bien aussi, car comment croire que des adultes, militaires de surcroit, balancent des milliards dans un programme avec des enfants si on ne sent pas un instant que c'est des surdoués qui comprennent mieux les choses que les adultes, qu'ils sont capable de voir ce que ceux qui sont sensés savoir se battre et être capable de se défendre contre leur ennemi, surtout avec celui qui a trouvé une de leur faille dans la chaine de commandement?
On pourrait trouver plein de défaut à ce film bien trop court pour un tel sujet mais ça reste clairement de bonne facture tout de même, avec des effets spéciaux bien fait, une immersion dans l'univers très bon et une fin qui, s'il est perceptible, laisse quand même beaucoup à imaginer par la suite, tellement Ender va en prendre plein la tête à la fin.
Pour ma part, un bon film qui laisse présager un bon moment de lecture quand j'aurais la saga complète.
Pour un premier film de Cocteau que je (re)vois, ça donne clairement envie de m'intéresser à sa filmographie.
Ayant relu le livre avant de voir l'adaptation, j'ai pu remarquer les différences entre les deux et certains thèmes développés par Dahl sont minorés voire oubliés pour faire un film simple.
Les effets spéciaux sont plutôt bons et donne bien vie au bon gros géant, à ses "compagnons" et à son univers des rêves.
La petite Ruby Barnhill s'en sort pas trop mal, même si par moment, ça surjoue un peu et que ça manque d'une certaine innocence de l'enfance.
Une assez bonne adaptation même si je préfèrerais toujours le roman.
Rôle classique pour Jean Gabin mais toujours agréable à suivre, avec Lino Ventura et Paul Frankeur, deux autres habitués de l'équipe à Grangier.
Là, ce n'est clairement pas le cas, autant le dire tout de suite pour ne pas perdre de temps à y trouver du surnaturel là-dedans.
Et pourtant, l'idée de départ est intéressante mais il manque un je ne sais quoi pour lui donner toute la force qu'elle aurait pu avoir. Un peu moins de secret industriel ou une romance qui se comprend plus vite, notamment parce que Joanna avait un truc pour "connaitre" les gens... Même la fin est trop simple, dommage.
Malheureusement pour eux, fort heureusement pour nous, une petite affaire va les rappeler au village et va de nouveau les opposer pour notre plus grand plaisir. Et pendant presque deux heures, on va retrouver ces deux ennemis plus amis qu'ennemis se combattre sans violence, s'opposer avec respect avec même une petite scène émouvante entre les deux.
C'est de toute la saga, celui que je préfère.
"Moi, le magicien" a encore frappé et cette adaptation, si elle a le mérite de dépoussiérer le personnage classique que je connaissais de réputation, montre quand même un détective qui semble prendre plus de risque personnel que ce que je m'imaginais.
Les acteurs sont plutôt bons dans l'ensemble et ce fut un excellent voyage à bord de l'Orient-Express. Reste à voir la version de Lumet et à lire le roman.
Entre enquête et déduction et fuite pour échapper à son ainé et tuteur, on a guère le temps de s'ennuyer.
Un bon petit film.
La guerre prend encore plus d'ampleur, avec des camps qui envoient du lourd mais qui restent suffisamment sous-développés pour laisser matière à imagination.
Le film vaut clairement ses récompenses, la légende de l'anneau prend fin et on quitte les personnages et la Terre du Milieu sans regret... un aller et retour que je referais avec plaisir.
Outre l'histoire, c'est toujours un plaisir de se balader dans la Terre du Milieu grâce aux paysages bien choisis, les lieux et surtout la musique inoubliable de certains passages.
S'il manque forcément des morceaux qu'on aurait aimé y voir, que les personnages ne sont pas forcément autant développés, force est de reconnaitre que le travail est là et que l'entrée en Terre du Milieu se fait très bien.
Les paysages font clairement le travail d'immersion, on voyage avec plaisir en même temps que les personnages.
L'histoire de l'Anneau unique intrigue, les races, les enjeux développées montrent toute la richesse de l'histoire et c'est un vrai plaisir de (re)découvrir l'histoire de Tolkien sur grand écran.
Le duo Cassel/ Seydoux marche pas mal mais ça manque un peu de la Bête pour équilibrer les choses alors même que l'histoire de sa malédiction prend du temps pour se développer.
Un peu plus de temps pour développer le tout n'aurait pas fait de mal mais la magie du conte est plutôt bonne et ça a été un film agréable à suivre.
C'est sympa, les personnages sont attachants, surtout ceux en second plan curieusement, avec notamment la belle histoire de Ray et Evangeline et même les méchants ont bien la tête de l'emploi et l'histoire qui donne bien envie de voir jusqu'où ils vont aller pour arriver à leurs fins.
Un bon Disney.
Après, c'est assez lent mais la qualité de l'histoire et de la photographie donne un côté prenant à l'ensemble et j'ai suivi avec plaisir l'amitié se nouer entre Oskar et Eli.
Une excellente découverte vampiresque.
C'est un bon moment simple de cinéma comme savait bien le faire Claude Berri.
On est surpris à la fois de la tradition des Shomer, de cette veillée auprès d'un défunt, surtout dans une maison comme celle-là, avec une résidente pas si sénile que ça et par ce qu'il s'y passe.
L'histoire est originale, même si la structure ne révolutionne pas le genre non plus. Une bonne surprise pour ma part.
William Holden, Bourvil, VIrna Lisi et le jeune Brook Fuller portent bien cette histoire et on suit le parcours de ce jeune enfant avec intérêt, pris entre son père, le meilleur ami de celui-ci, sa compagne et les loups dont il rêve depuis longtemps.
Le film est triste mais il montre bien l'importance des êtres et du temps qui passe.