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Rome dans la splendeur de l’été. Les touristes se pressent sur le Janicule : un Japonais s’effondre foudroyé par tant de beauté. Jep Gambardella – un bel homme au charme irrésistible malgré les premiers signes de la vieillesse – jouit des mondanités de la ville. Il est de toutes les soirées et de toutes les fêtes, son esprit fait merveille et sa compagnie recherchée. Journaliste à succès, séducteur impénitent, il a écrit dans sa jeunesse un roman qui lui a valu un prix littéraire et une réputation d’écrivain frustré : il cache son désarroi derrière une attitude cynique et désabusée qui l’amène à poser sur le monde un regard d’une amère lucidité. Sur la terrasse de son appartement romain qui domine le Colisée, il donne des fêtes où se met à nu « l’appareil humain » – c’est le titre de son roman – et se joue la comédie du néant. Revenu de tout, Jep rêve parfois de se remettre à écrire, traversé par les souvenirs d’un amour de jeunesse auquel il se raccroche, mais y parviendra-t-il ? Surmontera-t-il son profond dégoût de lui-même et des autres dans une ville dont l’aveuglante beauté a quelque chose de paralysant.
Le film est nommé aux Golden Globes dans la catégorie Meilleur Film étranger
La plus grande découverte que j'ai pu faire, à l'âge de soixante-cinq ans, est celle-ci : je n'ai plus le temps de faire ce que je n'ai pas envie de faire.
Difficile de noter ce film. Long, contemplatif, dans un univers qu'on a du mal à décrire, il est un moment de pause, de contemplation, d'admiration de la "Grande Beauté". Un film au service de la pause, de la respiration, de l'arrêt du monde dans sa course.
Oui, les images sont magnifiques, oui l'acteur est grandiose, oui c'est une Italie clinquante mais désenchantée. Toutefois, cela a été une épreuve d'arriver jusqu'au générique. J'ai eu cette impression bizarre d'avoir vu un film qui ne parle de rien et qui laisse les images parler d'elles-mêmes. Sauf que sans un début, un milieu et un fin, c'est dur de rester concentrée et de ne pas s'ennuyer. Dommage !
Un film d'une grande poésie et d'une ... grande beauté.
Comme toutes les œuvres de Sorrentino on retrouve une esthétique remarquable et une composition parfaite des plans, qui sont par ailleurs magnifiques, notamment ceux qui montrent Rome.
L'écriture est géniale, les dialogues regorgent d'aphorismes et de réflexions philosophiques passionnantes, et les personnages sont magistralement écrits. Paolo Sorrentino sait vraiment écrire des personnages forts, uniques et crédibles, car malgré le nombre impressionnant de protagonistes de ce long métrage, tous sont attachants, mémorables et originaux.
Les acteurs sont excellents, Toni Servillo en tête, qui parvient à donner vie à Jep, personnage désabusé et incroyablement déprimant, mais tout aussi attachant.
La BO est magnifique, chaque composition va parfaitement avec la scène qu'elle accompagne.
La mise en scène est tout simplement parfaite, on alterne des mouvements de caméra acrobatiques et des plans fixes qui insufflent un rythme très particulier au long métrage.
Je suis impressionnée de voir que le réalisateur avait seulement 43 ans lorsque ce film est sortit, dans le cynisme, le message, et les thèmes abordés on ressent une très grande maturité que l'on attribuerait à un homme beaucoup plus vieux, ce qui trahit une grande sensibilité.
Attention cependant, il s'agit clairement d'un film "intellectuel", dans le sens où simplement se poser devant et regarder du coin de l'œil ne suffira pas. C'est le genre de long métrage auquel on réfléchit encore des jours après le visionnage et qui soulève des questions auxquelles on ne trouvera sans doute jamais de réponses satisfaisantes.
On a donc ici une vrai réflexion sur l'art, l'artiste, la solitude et la popularité, au milieu d'une Rome magnifiée et qui n'aura jamais paru aussi belle.
Avec un scénario qui s'éparpille et dont il est impossible de faire un résumé et une multitude de personnages, il n'est pas toujours facile de suivre complètement ce film. Par contre, le réalisateur nous donne une énorme leçon de mise en scène, photographie accompagnée de musique souvent magnifique qui fait rapprocher certaines scènes à la poésie. Une totale maitrise de la caméra et du son au service d'un scénario confus.
Ce film est d'une beauté saisissante. Les images sont juste magnifiques, tout est parfaitement filmé et la musique, très présente, est très bien choisie. Le personnage principal nous dresse un portrait assez cynique de l'Italie à coup de répliques subtilement rédigées. En bref, ce film est bien fait et n'a pas volé son oscar du meilleur film en langue étrangère.
Malheureusement, le scénario est pour ainsi dire inexistant et la narration est totalement incompréhensible. Bref, j'ai trouvé qu'il était un peu dure de trouver un sens à ce film. Pour ma part, je l'ai trouvé trop contemplatif et même un peu trop prétentieux, pour être vraiment mémorable.
Synopsis
Rome dans la splendeur de l’été. Les touristes se pressent sur le Janicule : un Japonais s’effondre foudroyé par tant de beauté. Jep Gambardella – un bel homme au charme irrésistible malgré les premiers signes de la vieillesse – jouit des mondanités de la ville. Il est de toutes les soirées et de toutes les fêtes, son esprit fait merveille et sa compagnie recherchée. Journaliste à succès, séducteur impénitent, il a écrit dans sa jeunesse un roman qui lui a valu un prix littéraire et une réputation d’écrivain frustré : il cache son désarroi derrière une attitude cynique et désabusée qui l’amène à poser sur le monde un regard d’une amère lucidité. Sur la terrasse de son appartement romain qui domine le Colisée, il donne des fêtes où se met à nu « l’appareil humain » – c’est le titre de son roman – et se joue la comédie du néant. Revenu de tout, Jep rêve parfois de se remettre à écrire, traversé par les souvenirs d’un amour de jeunesse auquel il se raccroche, mais y parviendra-t-il ? Surmontera-t-il son profond dégoût de lui-même et des autres dans une ville dont l’aveuglante beauté a quelque chose de paralysant.
Le film est nommé aux Golden Globes dans la catégorie Meilleur Film étranger
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