Un dernier chapitre un peu en-deçà des deux premiers. Les blagues sont moins nombreuses bien que les aventures du trio soit toujours sympa à suivre. A force de tomber dans les problèmes, il fallait fatalement qu'ils deviennent des héros. Cela reste quand même une trilogie assez sympa et de bons souvenirs.

Un univers qui en rappelle beaucoup d'autres mais qui a quand même sa part d'originalité, dans les personnages et dans son système politique surtout.
Casper Van Dien (Rico), Denise Richards (Ibanez) et Neil Patrick Harris (Carl) forment un trio assez sympa même si le troisième est un peu plus à l'écart et aurait mérité une place plus grande dans l'histoire.
L'histoire est classique mais efficace... et c'est un film dont je ne me lasse pas donc ça me suffit.

Il y eut la saga épique de Tolkien, la trilogie de Peter Jackson et entre les deux, ce film oscillant entre dessin animé et incrustations de personnes réelles. Inutile de comparer les deux adaptations, c'est pas les mêmes époques, budgets et effets spéciaux. Pour ma part, même si je renie pas que c'est clairement pas mon préféré de l'adaptation de Tolkien, il a des bons moments, des dessins qui valent bien, voire surpassent les bons moments de Peter Jackson.
Oui, il a vieilli, certaines animations sont super moches, les nazgûls et les Orcs pour ne citer qu'eux et je suis absolument pas fan de l'incrustation de personnes qui casse clairement le truc. Tant qu'à faire dans le dessin animé, autant y aller jusqu'au bout, même si les contraintes budgétaires doivent sans doute expliquer pourquoi ce ne fut pas le cas.
C'est, au final, une adaptation intéressante à voir des deux premiers livres de la trilogie, plus proche par bien des aspects de l'histoire d'origine que celle de son successeur qui se permet quelques ajouts inutiles.

J'aimais bien la série animé et l'univers des Green lantern semble posséder un potentiel intéressant de développement mais c'est gâché par le manque d'équilibre entre le personne principal humain et sa version Green lantern. C'est laborieux avant d'arriver à son entrée dans cette confrérie, quelques blagues pas drôles, des scènes qui ressemblent beaucoup à d'autres films. La vie de Hal Jordan ne semble pas intéressante dés le départ, la peur en avion lors d'exercice, déjà vu (ou alors donnez-y de l'importance dans l'histoire).
L'histoire des Green lantern est survolée au départ avec la voix caverneuse, passée vite fait dans le film histoire qu'on se souvienne qu'ils sont là et n'ont pas la moindre importance dans le dénouement final, Hal faisant tout le boulot pour tous.
Donc, pour moi, l'histoire est complètement loupée parce que l'importance du personnage humain (insupportable au possible) surpasse largement celle du Green lantern. Entraînement en deux secondes, retour sur terre pour sauver sa copine, combat contre le savant/mutant et le grand méchant à la fin avec une astuce qu'on connaissait depuis son entrainement plusieurs dizaines de minutes avant.
C'est pas mauvais mais c'est tellement pauvre et mal ficelé que c'est très vite oubliable pour un univers qui méritait mieux.

Un voyage intéressant en Ivressie. On pourrait penser que c'est un "hymne" à l'alcool et au fait de s'enivrer pour le plaisir mais ce n'est pas vraiment le cas ici. Pour Albert Quentin comme pour Gabriel Fouquet, c'est surtout un moyen de voyager, de se rappeler leurs souvenirs anciens, que ce soit le service militaire en Chine pour Albert et l'Espagne pour Gabriel. L'alcoolémie remémorative, même si c'est pas spécialement bien, c'est mieux que se démonter la tête pour oublier ses problèmes ou comme aujourd'hui parce qu'on n'est pas considéré comme normal si on se démonte pas la tête tous les week-end.
Le duo Gabin/Belmondo fonctionne très bien et je trouve que Belmondo, malgré les très bons films qu'il a fait après aurait du rester dans ce genre plus simple.
Les dialogues d'Audiard (connaisseur du problème) sont excellents et pour certains inoubliables. Un très bon film!

Le film qui m'a fait découvrir Miyazaki, Joe Hisaishi et les autres oeuvres des studios Ghibli.
Les dessins sont très beaux, la musique est magnifique à certains moments (à retrouver dans l'excellent concert des 25 ans des studios) et l'histoire travaillée excellente. Entre la magie ancienne et le monde en développement, nul cohabitation possible (Le monde brûlera dans les flammes de l'industrie dira un certain Istari) et même la volonté d'Ashitaka et de Mononoké pour essayer de réparer les choses ne suffira.
Un premier pas dans l'oeuvre de Miyazaki très intéressant et le film des studios que je préfère.

La fin d'une trilogie, assez réussie.
Toute la partie chez Jabba prend un peu trop de temps et dessert un peu l'histoire mais sitôt qu'on a récupéré Han, tout va tout de suite mieux.
Luke se prépare à son dernier combat tout comme la Rébellion au sien.
La liaison entre les épisodes passe bien et même si l'idée d'une seconde étoile de la mort m'avait parue bizarre la première fois (moins que la troisième dans l'épisode 7), ça reste l'une des meilleure bataille de la saga.
L'épisode de la révélation pour le héros qui perd son dernier mentor, se découvre une sœur et sauve son père du côté obscur.
Et la fin (à l'époque) pour les spectateurs d'une saga qui a marqué son temps.

Ben Affleck et Matt Damon au scénario, une réussite totale, ils recommencent quand ils veulent.
Will a une personnalité des plus intéressantes, ce génie capable de résoudre des problèmes de maths complexes sans avoir fait de hautes études, capable de raisonner juste sur des thèmes divers grâce à ses nombreuses lectures et pourtant si fragile en ce qui concerne la vie de tous les jours et les idées abstraites comme l'amour parce qu'il a eu une enfance difficile.
Sa rencontre avec le psychologue va l'aider à "découvrir" la vie qui est autour de lui, ne plus être curieux que de ce qui se trouve dans les livres et les problèmes mathématiques. Au lieu de parler des autres, il va parler de lui et se libérer de son passé pour avancer.
Matt Damon est excellent en Will et Robin Williams très bon en psy ayant quelque chose en commun avec son patient.
Chuckie aussi est intéressant, penser voir son meilleur pote partir loin de Boston sud pour ne pas finir dans un boulot pas terrible comme lui, y a qu'un vrai frère pour penser comme ça.
Un excellent film à voir et revoir.

Une idée qui change de faire un film sur l'Arthur historique et non celui des légendes.
Dans l'ensemble, c'est plutôt pas mal, pas exceptionnel non plus parce que j'ai eu tout le long du film la désagréable impression qu'on essayait de coller ensemble plusieurs sous-histoires inutiles.
Arthur, soldat romain qui combat avec des chevaliers qui viennent de l'autre côté du monde, et qui, chose curieuse portent les mêmes noms que les chevaliers de la légende? Pourquoi pas, il faut bien que les légendes se basent sur quelque chose. Mais dans ce cas là, tant qu'à y être, autant qu'ils y soient tous. La future table ronde semble bien dégarnie tellement il manque de chevaliers.
L'histoire est intéressante, voir un autre Arthur que celui des légendes aussi mais il manque quelque chose pour que ce soit un bon film.

Qui mieux que Jim Carrey pouvait incarner Dieu... pendant sept jours et faire toutes les c... possibles avec de tels pouvoirs?
Une idée tombée du ciel qui marche plutôt bien, des pouvoirs détournés sympa (ouvrir la soupe de tomate en deux, le petit ouistiti d'arrière train) mais des pouvoirs avec lesquels on ne peut jouer à la légère sans conséquences.
Un bon divertissement.

Le meilleur des studios Ghibli et de Miyazaki. L'histoire de Sheeta et Pazu qui échappent aux pirates de Dora et à l'armée ne connaît aucun temps mort.
Les personnages sont excellents, que ce soit nos deux héros, Dora la pirate et ses fils, le patron de Pazu et sa femme, le vieux mineur et sa poésie minérale,...
L'arrivée à Laputa est mouvementée mais jusqu'à l'arrivée de l'armée, quel moment de calme après autant d'évènements et quelle beauté.
L'histoire est excellente, tout comme les dessins et la musique du toujours magistral Joe Hisaishi.
A voir absolument.

Caser tout ce qui n'était pas de bon ton de mettre dans un film pour emmerd... les biens pensants de l'époque et le cinéma de papa, la bonne idée.
Et à chacun de se faire la sienne sur le fond du film. Film volontairement provocateur? Envie de sortir d'un cinéma toujours propre sur lui?
Pour la forme, Depardieu, Deware et Miou-Miou font le boulot et ça suffit.
J'ai pas apprécié plus que ça l'histoire en elle-même mais le côté provocateur était intéressant.

Tout à fait le genre de film qu'on ne pourrait plus refaire aujourd'hui sans avoir un tas d'associations sur le dos.
Michel Serrault, grand acteur est excellent dans son rôle de Zaza, n'en faisant jamais trop pour son personnage. Il/elle réussit très bien tout le film à être ce personnage excentrique, très peu géné(e) par ce qu'il/elle est et surtout pas devant le fils de son homme.
Ugo Toniazzi n'est pas mal non plus même s'il est assez différent par rapport à Zaza. Mais comme il le dit dans une de ses répliques, il a trouvé son équilibre et ça se sent plutôt dans sa relation.
Un classique que j'aurais aimé voir avec Poiret mais qui reste bon quand même avec Serrault et Tognazzi

Tout ça... pour ça. Une bande de super-vilains rassemblés à la "Avengers", qu'elle était belle cette idée et comme on attendait tous de voir ça. Manque de pot, c'est loupé de bout en bout, que ce soit dans le camp de ceux qui pensent les contrôler que dans le casting des méchants eux-mêmes.
Deadshot n'a absolument rien d'un Vilain. Il tue pour l'argent et alors??? Léon, dans son genre, le faisait aussi et c'est un gentil monsieur. De plus, il prend la place qui aurait dû revenir au Joker, lui aurait amené la folie nécessaire et l'instabilité qui aurait été intéressante au groupe. Au lieu de ça, il apparait de temps en temps qu'on se rappelle quand même qu'il est là.
Seule Harley Quinn tient tout le film à elle seule, sans quoi l'histoire banale aurait été sacrément longue.
Quant au reste de l'équipe, quelqu'un se rappelle où sont les méchants? El diablo est d'une transparence à toute épreuve, du début à la fin, Killer croc ne sert à rien, et que dire de Captain Boomerang, Katana et le grimpeur, à part que s'ils n'avaient pas été là, ils ne nous auraient pas manqué.
Même l'enchanteresse et son frère n'arrivent pas à être des ennemis intéressants à combattre, parce que tout passe trop vite et qu'on est obligé de suivre sans savoir leur histoire. D'ailleurs, elle fait quoi les bras en l'air pendant deux plombes pendant que ses soldats se battent?
Le film en lui-même est pas mal mais les personnages passent trop vite, ne sont pas assez développés, tout est centré sur le mauvais personnage alors que Jared Leto et son Joker aurait été cent fois mieux en meneur que Deadshot. A voir un éventuel Suicide squad 2 pour éventuellement apprécier un peu mieux celui-là, surtout que la scène d'après générique promet quelque chose d'intéressant.

Il aura fallu Gabin et Signoret pour réussir ce superbe film sur la vie de Clémence et Julien Bouin, couple sans enfants qui s'ignore, se déteste et va se trouver encore plus de choses à se reprocher après l'arrivée d'un chat à qui Julien donne toute la tendresse qu'il lui reste.
Le film est dur, entre la grisaille du quartier où ils vivent, le chantier permanent qui les entoure et leur quotidien qui est une longue solitude à deux. Il ne se passe pas grand chose durant le film mais il se passe tellement à la fois qu'on prend le temps d'apprécier chacun des deux protagonistes.
La relation qui lie les deux est à a fois très dur pendant tous le film mais on sent, ce qui se vérifie à la fin, qu'il reste toujours quelque chose malgré les années et le mal qu'ils se sont faits.
Un beau film à voir.

Une plongée des plus intéressantes dans la guerre, son absurdité et la lente descente aux enfers de ceux qui la font. Le film est long, certes et certains passages ne semblent pas importants pour l'avancée de l'histoire mais la "folie" du conflit et ses effets sur les soldats et très bien traitée.
Chaque soldat réagit différemment à ce qui se passe dans la jungle, entre la peur simple d'un animal sauvage, le ras-le-bol d'un conflit qui dure depuis trop longtemps, la fatigue générale... Ce n'est pas pour moi, seulement suivre le capitaine Willard et Kurtz, c'est penser à ce qu'on pu vivre ces hommes pendant autant de temps dans cet enfer qui est bon à suivre.
Et Coppola a parfaitement réussi à tenir le film dans son ensemble, et certaines scènes, surtout celles avec le lieutenant-colonel Kilgore reste marquante. Faire du surf quand ça bombarbe en même temps, trouver de la beauté au napalm, aller attaquer les villages sur la musique de Wagner... une folie du personnage maîtrisée pour un mec qui en a.
La confrontation finale entre Willard et Kurtz est intéressante et laisse certaines questions posées qui nous donnent à choisir entre deux camps: Kurtz était-il simplement devenu dingue ou avait-il compris plus sur la guerre, son absurdité et ceux qui les déclenchaient que ce que Willard a pu en comprendre lui-même jusque là? Seuls ceux qui ont participé à un conflit auraient un semblant de réponse.
Un film qui a son lot d'horreur, d'émotions fortes et de passages marquants. A voir au moins une fois pour s'en faire une idée.

On case encore plus de personnages que dans le premier et on gâche le tout avec une histoire faible, un Shredder qui pige plus rien et devient le toutou de Krang et des tortues qui, ô surprise, ne sont pas soudées et ont comme dilemme de choisir entre devenir humain et avoir une vie normale ou rester ce qu'ils sont. Soit dit en passant, curieusement, c'est Mickey et Raph (Simplet et Grincheux) qui se posent la question...
C'est un divertissement qui passe mais il serait temps d'arrêter de gâcher les Tortues ou d'y mettre quelqu'un qui sache y faire. (Et si on pouvait enlever Megan Fox et Stephen Amell au passage)

Si on a lu le livre de Gaston Leroux, on se dit que Dario Argento n'en a gardé que les grandes lignes pour faire son film, ce qui est le cas.
Le personnage est différent du roman, ce n'est plus qu'un enfant-rat devenu adulte, abandonné à la naissance, absolument pas laid comme dans le livre et qui ne semble n'avoir aucun pouvoir.
Et pourtant, à certains moments du film, les choix d'Argento semblent marcher, donnant au personnage une personnalité différente et intéressante.
L'esthétique de certaines scènes sont plutôt bonnes, une par contre ne sert à rien et casse complètement ce qu'il avait fait jusque là et la fin déçoit beaucoup.
Ce n'est donc pas l'adaptation du roman la plus intéressante, mais qui a le mérite d'essayer de donner un genre différent à l'histoire. A voir pour se faire sa propre idée.

Voilà enfin un film qui rend hommage à ceux qui ont risqué leur vie, parfois l'ont perdu, pour regagner leur liberté.
L'histoire commence bizarrement, semble assez décousue au départ mais on s'intéresse bizarrement assez facilement au personnage de Gerbier et on suit ses actions et ses rencontres avec intérêt.
Ce n'est plus la personne arrêtée et internée sans raison précise mais un haut responsable des activités de la Résistance qu'on suit.
Lino Ventura, Paul Meurisse, Paul Crauchet, Jean-Pierre Cassel et Simone Signoret sont excellents dans leurs rôles respectifs.
Un film magnifique qui a su porter des valeurs exceptionnelles et un regard sur la vie de ces gens qui se sont battus pour des idées et ne se sont pas laissés dominer par la peur de l'ennemi. A voir absolument.

Il n'y a pas dans ce Miyazaki là la magie qu'on trouve habituellement dans ses films, pas encore non plus le réalisme de son dernier film (Le vent se lève), non, c'est quelque chose d'autre, la nostalgie de l'ancien temps, d'une certaine liberté perdue...
L'histoire en elle-même a quelques longueurs, aurait mérité d'être un peu plus développée sur l'histoire de Marco, sur sa malédiction mais j'ai retrouvé dans ce film la passion de Miyazaki pour l'aviation. Ce n'est plus juste un film des studios Ghibli, c'est un peu du maître dans cette histoire.
Quelques très beaux passages dans ce film, la mer des nuages (paradis des aviateurs) et Le temps des cerises chantés avec cet accent pour ne citer qu'eux.
Certes, ce n'est pas le meilleur, mais il a un charme bien à lui et c'est toujours un plaisir de le revoir.

"On n'avait pas vu - et aimé - ça depuis "Le projet Blair Witch"."
Studio
En lisant ça, je me suis demandé si j'allais le regarder quand même parce que si je reconnais des qualités au Projet Blair Witch, ce n'était pas non plus extraordinaire. Et au final, c'est presque la même chose, il ne faut pas rechercher la peur dans ce film, l'important, c'est l'immersion dans l'histoire, dans l'environnement et dans la tentative de compréhension de ce que sont les "Ils".
C'est assez classique dans le cheminement mais la menace est claire et la fin est une surprise des plus surprenantes et donne au film une autre vision de ce que je pensais depuis le début. J'espère sincèrement que jamais ils ne feront de suite parce qu'expliquer ce que sont les "Ils", montrer pourquoi ils font ça serait une erreur monumentale, l'histoire est bonne comme ça.
Tout à fait le genre de film qui parlera à certains tandis que d'autre passeront totalement à côté, c'est aussi ce qui fait le charme du cinéma.

Il manque quelque chose dans ce film qui est loin d'être aussi bon que le premier. D'accord, Gracie n'est plus dans un monde qui n'est pas le sien, elle s'est habituée à son rôle... mais où est passé le côté drôle du personnage?
Il y a quelques bons passages mais dans l'ensemble, ça laisse un goût d'inachevé, que ce soit dans l'évolution du personnage de Gracie ou celui, encore plus mal dévéloppé, celui de l'agent Fuller. Elle partait bien celle-là, à envoyer promener tout le monde... et d'un coup, on la perd et elle devient presque gentille avec Gracie...
Cela reste une suite acceptable au premier, avec quelques bons moments mais ça manque clairement de la folie du premier, dommage.

Avis assez mitigé concernant ce film. D'un côté, c'est un Marvel comme ils savent en faire avec de l'action et avec enfin, un scénario qui se tient à peu près bien. Et de l'autre, est ce vraiment toujours un Captain America?
Il y a Steve et Bucky, l'un essayant encore de sauver l'autre... et c'est tout. Je connais pas l'histoire de Captain America et de ses aventures dans le monde Marvel mais on pouvait pas trouver moyen de faire mieux que ça? J'ai l'impression d'un Avengers 2.5, pas d'un Captain America. Il faut raccrocher les wagons entre les univers, d'accord mais là, ça ne marche pas pour moi, c'est oublier le personnage pour servir les Avengers.
Le seul point appréciable pour l'histoire de Steve, c'est sa continuité avec l'agent Carter. Ce n'est qu'un passage dans le film, mais ça le concernait lui seul.
Donc, pour Captain America, pas grand chose à découvrir dans ce film.
Pour le reste, la confrontation entre les deux camps est pas mal et le retour du général Ross donnerait presque envie que Marvel nous réveille un peu la franchise Hulk.
La panthère noire a un potentiel intéressant bien qu'elle soit assez transparente dans ce film. A voir dans son propre univers pour mieux l'apprécier.
Donc, c'est un bon divertissement mais qui pour moi n'est clairement pas un Captain America... Mais c'est bien quand même.

A la fois très simple dans son histoire mais très complexe si on regarde un peu l'univers et toutes les possibilités que ça peut offrir pour les suites, ce film est aussi drôle.
L'histoire de Starlord et des autres personnages intrigue suffisamment pour avoir envie d'en savoir plus sur chacun et de voir comment va évoluer l'équipe.
La musique donne au tout un petit quelque chose de plus à cet univers. Un bon divertissement de Marvel.

Si le film de Ang Lee ne m'avait pas permis d'apprécier le personnage, celui de Leterrier semble assez intéressant pour mériter que Marvel développe un peu son univers.
Edward Notron semble un peu trop crevette pour incarner le scientifique qui devient Hulk mais le personnage de Bruce est intéressant, protégeant le mieux qu'il peut les gens contre sa transformation possible et se protégeant lui-même contre ceux qui le cherchent.
Le scénario est classique mais comme toujours chez Leterrier, bourrin à souhait comme on pouvait l'attendre d'un Hulk, sans pour autant n'en faire qu'une brute épaisse. Il y a des moments intéressants ou Hulk fait preuve d'une humanité troublante.
Un divertissement qui ouvrait l'univers Marvel mais qui ne donne pas, pour le moment espérons, suite au personnage de Bruce Banner, faire-valoir des Avengers comme Black Widow et Hawkeye, et c'est bien dommage.

Je savais déjà que c'était un épisode d'entre saisons donc je savais que j'allais rien comprendre à l'histoire puisque je n'ai pas vu la série télé mais j'étais curieux de voir ce qu'était devenu l'univers développé depuis le film de Roland Emmerich et ce qu'était devenue la porte des étoiles, disons plutôt les depuis que ça a été développé plus avant dans "Les enfants des dieux".
Si vous n'avez pas vu la série, vous n'allez pas apprécier l'histoire, qui est un téléfilm au passage et non un film, et passer votre temps à essayer de raccrocher tant bien que mal les wagons de l'histoire pour y trouver un intérêt.
Pour ma part, l'univers s'est plutôt bien enrichi et donnerait presque envie de s'essayer à voir la série pour voir si c'est si bien que ça au final.