Commentaires de films faits par Amelicorne
Répliques de films par Amelicorne
Commentaires de films appréciés par Amelicorne
Répliques de films appréciées par Amelicorne
J'ai été déçue par le film en général et je trouve que la prestation de Johnny Depp n'est vraiment pas à la hauteur du potentiel du personnage qu'il joue (ni à la hauteur de son potentiel à lui).
Bref, j'ai aimé les images et les effets spéciaux pour le reste... j'attends la fin de la saga.
L'histoire ne laisse pas indifférent parce qu'Auggie a cette force de dépasser tout les coups qu'il prend et se faire des amis parce qu'il sait être drôle malgré sa différence. Sa relation avec chaque membre de sa famille, les amis qu'il se fait, le corps enseignant de l'école, même Miranda, montre bien tout l'amour qu'il est capable de transmettre alors même qu'il subit les moqueries des autres.
J'aime également le fait que chaque membre de la famille ait un petit moment spécial pour développer l'ensemble de la vie familiale des Pullman, même pour Miranda qui n'en fait pourtant pas partie.
Une réussite que ce film, ça donne envie de lire le roman dont le film est tiré.
Je conseille.
Deux choses que j'ai vraiment aimé :
1) Les plans étaient vraiment beaux. C'était un film superbe a regarder, litteralement.
2) Le personnage de Lara Jean est le seul personnage des films d'ado/films de romance auquel j'ai réussi a m'identifier.
J'ai particulièrement apprécié que dans le refuge où va Ellen on puisse trouver les différents (principaux) TCA (l'anorexie, la boulimie).
La thérapie utilisée est plutôt bien trouvé, selon moi. C'est aux patients à se guérir. Au fond, pour guérir d'un TCA, le remède n'est autre que le patient lui-même. Il n'y a pas vraiment de traitement, sauf un traitement de l'âme, si je puis dire. Voilà pourquoi j'ai apprécié ce film, la thérapie, les acteurs et la touche finale.
bien sûr, mais elle a atteint son but et j'ai trouvé ça (absolument dangereux, inconscient) tout à fait admirable. Mais quand elle l'a atteint, ça a également été le déclencheur : c'est grâce à ça qu'elle a compris qu'elle était allée trop loin. Ensuite elle a compris que sa famille (grâce à l'intervention de sa mère) était là, derrière elle,
incapable de l'abandonner. Elle était courageuse pour atteindre son objectif et elle est devenue courageuse en combattant sa maladie, en décidant de vivre.
Un très beau film
Une bande son avec des chansons noires américaines des années 60 qui rythment ce film entraînant.
J'ai beaucoup aimé découvrir l'histoire de ces 3 femmes qui se sont battues pour leurs rêves et leurs idéaux ...
Une leçon de vie qu'on ne devrait pas oublier ...
Malheureusement, il y a pas mal de portes qui sont ouvertes et qui ne sont pas exploitées comme par exemple le décompte sur le mur..
Par contre j'ai vraiment du mal avec ces gens, on ne sait pas qui, qui parlent d'eux et de leurs amours. On aurait dit une consultation chez le psychologue, moi j'aime pas et je comprend pas pourquoi.
Ca reste un bon film, j'ai vraiment l'impression que les films canadiens se ressemblent niveau réalisation; il m'a beaucoup fait penser au film "J'ai Tuer ma Mère".
J'avais quelques appréhensions au vue du thème abordé. Et j'ai regretté cet acharnement moral dans une quête de la réussite et d'excellence. Certes Fletcher (remarquablement interpréter par JK Simmons) arrive à ses fins avec le jeune Andrew, mais ses discours violents m'ont déconcerté. Andrew (joué par Miles Teller) me laisse totalement de marbre avec son charisme d'huitre (ou de concombre selon Raphaellakay). Et puis, je n'aime pas cette image du monde de la musique où plaisir et partage sont oubliés pour ne laisser place qu'à l'élitisme (comme LauraPalmer le supposait/dit très bien).
D'ailleurs certains thèmes durs sont abordés mais sans profondeurs. Le suicide notamment, alors que c'est un sujet grave, est vite passé sous silence. Les relations sociales d'Andrew (qui ne se résument qu'à son père et sa petite amie) passent à la trappe. Pourquoi?!
Au delà de cela les morceaux de musique sont à tomber et le scénario autant que les scènes sont filmés avec relatif génie.
Je n'ai pas réellement d'avis tranché, je ne peux pas dire si j'ai aimé ou pas. Ce n'est pas le genre de film que j'ai l'habitude de voir (il est bien de sortir de ses habitudes pour découvrir d'autres choses), alors c'est assez vague pour moi.
Quoiqu'il en soit, je n'ai pas détesté non plus et je pense qu'il est à voir. Car le jeu d'acteur pour le prof est incroyable autant que détestable (grosse performance de l'acteur il faut en convenir), le scénario est percutant autant qu'il choque (peut-être est-ce le but) et la bande son est sublime pour tout amateur de jazz.
Walter Kean alias Christopher Waltz fait vraiment flipper dans le rôle du pervers narcissique voleur d’art. Tout le long du film, on voit qu'il est menteur, égoïste, imbu de lui même... et j'en passe. On a envie de le frapper.
De même qu'on ne peut qu'admirer le combat de Margaret pour ses œuvres.
Un bon film. Et ça change de voir Tim Burton dans un autre contexte.
Rien ne laissais présager dans la bande annonce, que le film serait aussi poignant. Je pensais aller voir une comédie pure. Certes, c'est une comédie, mais pas que. Le film à pris un tournant dramatique dans la dernière partie, des indices ont été donnés et pourtant, je n'ai rien vu venir. Illusion parfaite !
Les acteurs jouent tous leur rôle à merveille, j'ai énormément ri et j'ai terminé avec les larmes aux yeux, me retenant de pleurer. Un film, assurément, à ne pas manquer !
En fait, c'est beaucoup plus profond que ça.
L'histoire commence avec Judy, lapine qui rêve de rendre le monde meilleur en entrant dans la police. Mais à peine arriver au grade d'officier, la voilà reléguée à la surveillance des parking, alors que des enlèvements de carnivores se multiplient.
Dans sa volonté d'aider son prochain, Judy va se retrouver confrontée à Nick, un renard qui fait du trafic de glace à l'eau.
Ensemble (bien contre le gré de Nick), ils vont se retrouver à devoir élucider cette affaire.
Voici, en gros ce qu'il se passe pendant la première moitié du film. Ensuite, les choses se compliquent légèrement, mais je n'en dirais pas plus. Tout ceci reste malgré tout abordable pour de jeunes enfants, bien que certaines scène peuvent s'avérées impressionnantes.
Le film en lui-même est une métaphore complète de notre société actuelle. On nous fait croire qu'il y a égalité des chances dès notre plus jeune âge, alors qu'en réalité, l'endroit d'où nous venons est un facteur important que chacun va s'empresser de nous rappeler à la moindre occasion.
On a par exemple les fonctionnaires en mairie qui sont des paresseux... Ou encore le maire de la ville qui est un lion.
Tout au long du film Judy va évoluer, notamment dans sa manière de voir les choses et son discours au départ très catégorique va se retrouver nuancé, mais véhiculant presque plus d'espoir.
Mais ce n'est pas la seule, ses parents se trouveront plus ouvert d'esprit et Nick, en quelque sorte plus sûr de lui.
Bien sûr, c'est encore un de ces nombreux Disney qui parle de l'acceptation de la différence, mais j'ai trouvé que le discours passait mieux et était moins idyllique que dans les précédent films d'animation.
L'animation est d'ailleurs très bien fait, et on en prend plein la vue. Zootopie étant divisée en 4 quartiers : une forêt vierge, un désert, un climat polaire et la ville urbaine, chaque graphisme est très juste.
Les poils des animaux ont presque l'air vrais et il me semble avoir lu quelque part que les animateurs auraient fait une véritable recherche là-dessus.
En somme, c'est bon film d'animation, a voir en famille ou même avec des ami(e)s pour passer un bon moment et pourquoi pas pousser l'analyse un peu plus loin que ce que propose le film à la base (je n'ai pas parlé du fait que Judy ne soit pas un lapinE et non un lapin pour rien).
En effet, on ne s'attend pas
Donc voilà c'est ce procédé qui est de changer de personnage central en plein milieu du film qui, pour moi, rend la trame originale et intéressante. Aussi le film nous fait suivre quelques fausses pistes ce qui nous surprend d'autant plus. [spoiler]C'est-à-dire qu'on pense que l'histoire va se concentrer uniquement sur Luke et que la trame sera sur le fait qu'il subvienne aux besoins de son enfant mais on nous prend à revers lorsqu'il meurt. Ensuite on pense que l'histoire va être sur le flic, sur sa montée en grade et puis peut-être sur sa culpabilité d'avoir tué Luke. Et puis non, sur l'écran s'affiche "15 ans plus tard" et l'histoire se concentre sur les deux fils de Luke et Avery et on ne sait pas trop comment ça va se terminer à partir de là...[/spoiler] Donc tout ça pour moi est un coup de maître!
Personnellement je ne m'attendais pas du tout à ça. Ce que j'ai le plus aimé est [spoiler]lorsqu'on que l'on retrouve 15 ans plus tard les fils de Luke et Avery et qu'ils ne se doutent de rien.
En plus de tout ça ce film est très touchant.
On m'avait dit que c'était comme le film Drive mais le type est à moto... Eh bien j'ai trouvé que The place beyond the pines était bien plus que cela, plus profond, plus réussi et plus intéressant (bien que j'ai beaucoup aimé Drive... Mais ces deux films sont totalement différents).
Mis à part cela, les acteurs sont tous très bons : ils sont tous à la hauteur et j'ai bien aimé la bande son.
Quel bonheur de voir un réalisateur nous faire passer sa vision de la vie, avec autant de poésie !
Ce film n'est pas un simple film de romance comme on peut en croiser à chaque coin de rue : homme, femme, mariage, bébé, retraite. Non, ici, ce n'est pas du tout ça. C'est même bien plus que cela.
On se retrouve absorbés par cette vie -si spéciale, du personnage principal : Tim. Un peu gauche, mais tellement attachant. On peut voir les difficultés de la vie auxquelles nous allons tous devoir être confrontés. L'amour, les rencontre avec sa belle-famille
Le père de Tim fait vraiment partie intégrante du film, et je pense que c'est lui qui donne la véritable impulsion de départ. A la fois sage et intriguant, on s'attache vite à ce personnage qui profite de sa vie comme tout le monde rêverait de le faire.
Ce film est un vrai puit à émotion, car chacun d’entre nous peut se reconnaître en l’un des personnages. Certains passages sont très émouvants, et sauront toucher avec subtilité les moins tendres.
Pour moi, ce film est un pur chef-d'oeuvre car il y a une excellente leçon nous rappelant qu'il ne faut pas passer à côté de notre vie, et que nous devons tout faire pour ne rien regretter, ne pas effacer notre histoire.
Nous pouvons parfois faire face à des choix déterminants, mais il ne faut pas en avoir peur, car nous devons faire notre avenir avec notre vécu, et non pas rester focalisés sur notre passé.
Je précise aussi qu’il n’y a pas besoin d’être adepte de film romantique pour le regarder, car le fondement de l’histoire est plus dans l’appréhension et la perception de la vie que dans l’amour –même s’il constitue un élément clef.
En résumé, j’accorde le Diamant à « Il était temps » pour l’émotion qu’il dégage avec des acteurs exceptionnels.
On traite le sujet des relations conflictuelles parent/enfant. Mais pas seulement ! Ce film m'a vraiment bluffé par son intelligence, car le réalisateur n'a pas choisit de traiter son sujet de façon facile et superficielle. Au contraire, il a eu l'ambition d'évoquer cette problématique dans sa globalité (Par exemple : peut on être une femme et ne pas vouloir d'enfant ? C'est pas forcément ce à quoi on pense en premier et pourtant ça peut expliquer beaucoup de chose) et je suis forcée d'avouer qu'il a fait ça extrêmement bien.
Je pourrais juste regretter que les scènes de conflit mère/fils soient parfois trop dans l'excès. Ce genre de scènes était inévitable vu le sujet, mais ça parait presque grossier en comparaison avec le reste du film. En plus, leur caractère excessif fait qu'on ne s'y reconnait pas toujours.
En plus d'être intelligent, ce film provoque pas mal d'émotion. Je pense notamment aux scènes en noir et blanc, seul face à la caméra, qui m'ont vraiment touché par la justesse des interrogations et des termes choisis. Le personnage du professeur est également intéressant de ce point de vue là.
Sur la forme, j'ai totalement adhéré aussi. La BO est franchement sympathique et d'un point de vu esthétique, ce film est assez magnifique. Enfin, c'est surement une affaire de gout, mais j'ai trouvé les décors très beaux. Il est dans tout les cas indéniable qu'il y a une vraie recherche pour créer une photo et des décors intéressants. Les cadrages et prise de vue sont précis, et rendent vraiment le film percutant.
J'avais, de prime abord, peur que le thème de l'homosexualité soit de trop dans le film, car le lien avec les relations parent/enfant n'est pas franchement direct ou évident. Finalement non, parce que, mise a part la réaction un peu choquée de la mère quand elle l'apprend, ce n'est pas traité d'une manière différente que si ça avait été un amour hétérosexuel. Du coup, ce n'est même pas vraiment un thème du le film, mais juste une donnée comme une autre de l'histoire, ça ne présente aucun enjeux et n'alourdit en rien l'ensemble.