Commentaires de films faits par LynnRenier
Répliques de films par LynnRenier
Commentaires de films appréciés par LynnRenier
Répliques de films appréciées par LynnRenier
Taki et Mitsuha, ainsi que leurs amis, sont très attachants, et leur relation m'a profondément touchée. Leur monde respectif très différent l'un de l'autre se confronte (urbain contre rural), et de part leurs échanges chacun grandit et évolue.
C'est mignon, poétique, ravissant. L'esthétique du film charme indéniablement, la musique est envoutante. Quant à l'histoire, sans nulle autre pareille, elle nous offre un suspense riche qui tient en haleine jusqu'à la dernière seconde. Bien que l'on élabore des suppositions, rien n'est sûr et l'on oscille entre une fin heureuse ou tragique.
Pour ne pas trop en dire, je n'argumenterais pas plus et vous encourage seulement à vous attarder sur cet animé. Bien que ce ne soit pas un chef-d’œuvre, il vaut la peine qu'on y jette un coup d’œil car c'est une véritable petite merveille.
Dès les toutes premières minutes, nous voilà plongés dans une enquête complexe où les suspects sont nombreux. Rien de plus alléchant pour le petit Sherlock Holmes en moi. On se prend au jeu, entre coupable idéal et jeu de rôles. Je dois dire que le scénario est brillant d'ingéniosité et de surprises!
Pour ce qui est des acteurs, des costumes, des scènes et des décors, il n'y a rien à dire. C'est agréable à regarder et on ne s'ennuie pas. Le suspense se tient jusqu'au bout et la chute nous laisse sans voix tant on ne s'y attendait pas.
Si je dois emmètre un reproche (et ce n'en est pas vraiment un), c'est que ce film offre des scènes sanglantes qui pourraient heurter les plus jeunes.
Cela mis à part, il vaut le coup d’œil.
Le scénario est sans surprise, on suit Casey, Frank et Athéna sans se prendre vraiment au jeu, ni s'ennuyer non plus. La fin est attendue et prévisible, le pourquoi du comment aussi. Le jeu d'acteurs est plutôt bon, d'autant que le casting est prometteur (George Clooney,Hugh Laurie, Britt Robertson, Raffey Cassidy). Les effet spéciaux sont à la hauteur, cependant ça ne fait pas tout. Il manque cruellement d'un petit quelque chose. Je ne saurais dire quoi.
Cependant, j'aime cette idée qu'il faille être un rêveur plein d'espoir et ne rien lâcher.
Bref, en résumé, pas totalement dénué d’intérêt, ça se laisse regarder et occupe une soirée sans que l'on ne se plonge totalement dans l'histoire.
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Admettez qu'au fond, c'est bien vrai. Et ne me jetez pas la pierre en me traitant de bobo-écolo extrémiste qui veut à tout prix faire son petit discourt rébarbatif ou faire la leçon en "moi je sais tout".
Je ne suis cela en rien. Je m'inquiète seulement pour l'avenir de notre planète et donc l'avenir de nos enfants. Peu importe que nous soyons là ou pas quand ça arrivera, pensons à ceux qui le serons!
Ainsi, je soulève simplement une vérité que le film expose et qu'il serait grand temps d'accepter, et contre laquelle nous devrions tous nous lever, ensemble. Car, oui, nous sommes en train de tuer notre planète. Elle qui nous nourrit et nous abrite. Alors réveillons-nous! Et mettons-nous au travail avant qu'il ne soit réellement trop tard. J'ai peur que nos petites actions égoïstes pour avoir bonne conscience ne suffisent pas et ne fassent pas vraiment avancer les choses...
"Notre maison brûle et nous regardons ailleurs" - Jacques Chirac (2002). Le temps a passé depuis le Sommet de la Terre à Johannesburg, et le discourt de l'ancien président de la République française est malheureusement encore d'actualité...
Alors soyons des rêveurs pleins d'espoir et ne lâchons rien, car notre avenir à tous en dépend.
Mais ce film est aussi bien plus que cela, et traite de façon tendre et juste d'un sujet compliqué : la confiance en soi. Et c'est sans parler d'un jeu d'acteur magnifique qui donne à ce film toute sa saveur.
Les effets spéciaux sont bons, à la limite du réalisme pour ce qui est des animaux. Bon point pour ça. J'ai adoré ! Le jeu d'acteur est à la hauteur et je découvre un Alexander Skarsgard que je ne connaissais pas loin de ses rôles de séries TV (True Blood) ou de ses petits seconds rôles au cinéma. Il est plutôt touchant d'ailleurs.
Certes, j'ai été un peu décontenancée par les flash-back réguliers qui ponctuent le film. Ça m'a un peu perdue par moment. Mais cela n'enlève rien au déroulement de l'histoire qui est pour le moins captivante. Un scénario très classique en soit (une jeune femme en détresse, un héro trop plein de muscles, et un antagoniste vicelard à souhait) mais on se laisse embarquer (pour le plaisir des yeux surtout, car les paysages et les plans dans la jungle avec les animaux sont magnifiques).
Je ne dirais pas que c'est un film incontournable, mais il vaut la peine d'être vu, car il est d'une très belle qualité graphique.
Dragons (premier du nom) était déjà excellent. Une belle découverte et un voyage à dos de dragons qu'on ne veut plus quitter.
Dragons 2 nous a offert une suite magnifique à laquelle on ne s'attendait pas. Encore plus de dragons, un groupe d'amis complètement barrés et soudés. Un second opus très réussi (chose rare dans l'univers du dessin animé) où l'émotion était au rendez-vous et l’émerveillement tout autant.
Mais pour ce qui est de ce troisième épisode, c'est un véritable régal ! Fort du succès de ses deux prédécesseurs, il conserve ce qui en a fait toute la saveur pour y aouter bien plus encore et ravir petits et grands. Dragons 3 en met plein la vue avec ses couleurs et ses graphismes, sans parler de ses personnages haut en couleur et ses dragons en tous genres.
Une très jolie fin comme je l'espérais et qui me laisse encore un léger pincement au cœur. Car cette bande d'amis, autant dragons qu'humains, aussi drôles qu'attachants, va me manquer.
Comme le Dr Seuss sait si bien le faire, ce film n'est pas dénué d'intérêt, pour les petits comme pour les grands. Un joli message sur la famille et le réel sens de la fête de Noël. C'est mignon comme tout et le personnage du Grinch (qui se veut pourtant détestable de prime abord) nous est finalement extrêmement touchant. Max est adorable et Cindy-Lou est à croquer. Des personnages attachants, et drôles, avec qui on voudrait bien passer les fêtes de fin d'année à Chouville.
L'histoire est intéressante en soit : découvrir les véritables origines d'Alita, cette petite androïde qui cherche à retrouver ses souvenirs passés. Les effets spéciaux réalisés sur Rosa Salazar pour lui donner un visage de manga sont impressionnants. Un travail remarquable !
Ravie aussi de voir Christoph Waltz dans un autre registre que celui qu'il arbore d'ordinaire. Et le rôle de gentil lui va plutôt bien. Le jeu d'acteur est bon, même si certains personnages sont assez caricaturaux à mon goût (Zapan en autre).
L'univers est riche, original et captivant. Le visuel est splendide, avec une inspiration manga SF qui fonctionne bien. Les scènes de combat sont époustouflants, les ralentis magnifiques. Cependant, cela ne fait pas tout.
Notre jeu héroïne est un tantinet tête brûlée et immature sur certains aspects. Sa relation avec Hugo est prévisible. Et pour le reste, il faut bien avouer que c'est violent plus que nécessaire. C'est dommage.
Cet aspect SF n'est pas exploité jusqu'au bout. On nous appâte avec certaines brides du passé d'Alita, mais ça ne va pas plus loin. Pourquoi ? On ne cesse de nous parler de " l'effondrement ", de cette guerre contre Mars qui a ravagé le monde pour le laisser dans l'état où il est, ou encore de ce curieux monde qu'est Zalem ; mais ça s'arrête là.
Notre curiosité est éveillée sans que nos questions ne trouvent de réponse. Comment Alita est-elle réellement née ? Qui est cette autre cyborg avec qui elle était avant la guerre ? Comment s'est-elle retrouvé dans la décharge de Zalem ? Y est-t-elle vraiment allée avant ?...
La fin nous laisse sur notre faim. Et on ne peut qu'attendre la suite avec impatience pour savoir si ce duel contre Nova va réellement avoir lieu. Dommage. Je m'attendais vraiment à voir une vraie fin à ce film au vue du déroulement générale de l'histoire. Surtout que c'est long, juste pour nous laisser devant la porte du dénouement... En clair, ce film n'est visiblement qu'une amorce à un second volet qui ne verra peut-être même pas le jour...
Quel gâchis...
Difficile de ne pas arrêter le visionnage avant la fin.
Ron Perlman nous a offert un Hellboy tellement parfait dans les 2 films précédents, qu'il est difficile pour David Harbour de donner sa version au personnage. D'autant que le Hellboy 2019 est extrêmement puéril, balourd et vulgaire...
Le personnage d'Alice et de Daimio sont sympathiques, mais ils sont peu exploités. Quant au reste, ça flanche...
Nimué est très caricaturale malgré le talent d'actrice de Milla Jovovich, son sanglier de compagnie aussi. J'y trouve même beaucoup de ressemblances avec Le Dernier Chasseurs de Sorcières... Bref.
Quand on a vu les deux autres films de 2004 et 2008, celui ci ne passe pas. C'est du gore pour du gore. Je n'ai rien contre la violence et le sanglant dans les films, mais ici c'est poussé beaucoup trop loin. Et ça écœure. C'est même un peu balourd par moment. Hellboy 2019 se prend des dérouillées à chaque fois et ne vainc ses adversaires que par coup de chance. Affligeant...
La version de Guillermo Del Toro est bien plus fine, poétique et harmonieuse. Mise à part la bande son, j'ai beaucoup de mal à trouver du positif à cette nouvelle version de Hellboy...
D'autant que l'histoire est très mal exploitée. Quand ce n'est pas plat et prévisible, c'est hasardeux et bancal. Les pistes lancées au début sont perdues en cours de route. Les détails survolés. Et que dire de certaines scènes, où on sent très bien que le réalisateur s'est fait plaisir mais que ça n'a pas grand intérêt (
Une grosse déception !
Quand on a grandi avec le dessin animé, on attend énormément de ce remake. Et c'est mission réussie.
C'est visuellement beau, on oublie parfois que c'est de la synthèse et on croit y voir de vrais animaux. Les paysages sont incroyables de réalisme. On retrouve les chansons avec un plaisir d'enfant et l'émotion est là comme dans le dessin animé. Un vrai régal à regarder !
Que le scénario ait été revu pour plus de réalisme et de cohérence est un gros plus. De quoi mettre le plus célèbre des Disney au goût du jour pour les jeunes générations. Bravo !
Plongés dans les années 60 avec décors et costumes, nous voilà pris dans une histoire qui nous révolte et nous émeut. De quoi mettre en son et en image le fait que le travail, l'intelligence et la persévérance n'ont pas de couleur !
De prime abord, le jeu des jeunes acteurs n'est pas parfait et leur personnage respectif m'ont semblé manquer de profondeur. Seule Leïla est un peu plus travaillée que les autres. Dommage.
La complexité de l'histoire est perceptible. Mais sur 1h30 de film, sans doute est-il compliqué de mettre en scène une série qui se développe sur 11 tomes. Quoi qu'il en soit, j'ai trouvé l'idée originale et inventive. Et bien que la fin ait été trop vite bâclée, je suis curieuse de voir ce que la suite peut donner.
Je commence sérieusement à me lasser des films DC/Marvel. Ce n'est plus ce que c'était et ça manque cruellement de profondeur scénaristique. Quel dommage. A vouloir faire trop de films de supers héros, ça gâche un peu le plaisir...
Je ne me suis pas vraiment ennuyée, mais si l'action se fait désirer. Diana est critiquable : oui, elle est un peu naïve et tête brûlée. Mais voilà une héroïne avec du caractère et qui sait ce qu'elle veut (quand bien même elle peut avoir tord ou se tromper). Elle n'est pas seulement belle et pour une fois, ça fait du bien de sortir du cliché. Un peu comme Black Widow (qui n'est pas assez exploitée et présentée dans les films à mon goût d'ailleurs).
Diana est avant tout une guerrière. Et dans le contexte dans lequel elle a grandi, il est normal que ses idéaux soient mis à rude épreuve lorsqu'elle rencontre le monde moderne. Pour elle, les légendes sont vraies.
Certes sa réaction envers Steve à la fin est puérile et incompréhensible, mais elle sait rebondir et s'adapter pour arriver à celle qu'elle est destinée à devenir.
Les décors (et effets spéciaux + fond vert) sont plutôt réussis dans l'ensemble. Disons qu'ils passent mieux que pour "Aquaman". J'ai beaucoup aimé le début, avec ce peuple de femmes guerrière sur leur île paradisiaque. Pour une fois que ce ne sont pas uniquement les hommes pleins de muscles et de testostérones qui sont mis en avant et qui occupe tout l'espace...
Les scènes de combat sont bien pensés. Personnellement, j'ai trouvé les ralentis géniaux et les cascades très bien réalisés (surtout pour les Amazones). Seul bémol, il y a beaucoup d'explosions et de scènes trop bourrines par la suite. Sans doute sont-elles de trop.
La vérité sur le Dieu de la Guerre est attendue, pressentie. Ce serait trop simple que l'intuition de départ de Diana se révèle être la bonne. Évidemment. Et sa véritable identité terrestre est surprenante. On ne s'attend pas vraiment à ça. Néanmoins, je n'imaginais pas Ares ainsi.
En ce qui concerne les grands méchants de l'histoire, j'en attendais un peu plus. Dommage. Mais ils font leur office. Quant au petit groupe qui accompagne Diana, il est sympathique bien qu'on ne s'attache pas vraiment.
Bref, un film qui n'est pas tout à fait désagréable à regarder et qui nous permet enfin d'avoir les prémices d'une super-héroïne à l'écran. Au milieu de cette multitude de films du genre qui sont sortis ces dernières années, et qui ne sont pas forcément une réussite, "Wonder Woman" est un film de super-héro(ïne) qui se laisse regarder et qui peut se vanter de faire partie des moins décevants malgré ses défauts.
Alors, à quand l'opus sur Black Widow chez Marvel ?
Superman est un chouinard perpétuel. Batman a plus d'Iron Man que du personnage d'origine, et son sadisme est lourd. Leur duel est une vaste plaisanterie et ne sert à rien. Le fils Luthor est un antagoniste minable. Un kitch summum-issime. Une prévisibilité à pleurer. Les cauchemars de Bruce sont difficilement compréhensible par les novices. Une surenchère d'effets spéciaux et d'explosions en tout genre. Et je ne parlerais pas des incohérences...
Un film qui dure 2h30 pour un résultat quasi nul... Je me suis ennuyée ferme. Et à ce stade, je ne sais pas si je suis déçue, dégoûtée ou en colère...
Loin du Marvel classique très manichéen (et parfois un peu lassant), on plonge ici dans un univers plein de nuances où Shuri devient le personnage central. A travers elle, on oscille entre deuil, tristesse, colère et désir de vengeance ; introspection et raison. Je n'en dirais pas davantage sans dévoiler tout le film.
J'aime cette vision où ultra modernité côtoie le traditionnel. Ça m'avait déjà plu dans le premier volet, et j'ai adoré retrouver ce contraste justement dosé dans cette suite. On pourrait même parler de relève, car Black Panther est au delà de l'homme, au delà du héro incarné. C'est une entité, immuable et impérissable.
J'émets quelques réserves sur le scénario. Certaines choses auraient pu être abordées différemment, certaines confrontations évitées aussi. Il arrive parfois que les personnages se laissent trop gagner par leurs sentiments avant d'agir. Mais dans l'ensemble, ça reste cohérent et les principaux protagonistes évoluent aussi de part leurs choix et leurs décisions (bons ou mauvais).
Le thème du deuil est le cœur du film suite au décès de l'acteur emblématique du premier volet. Jamais jusqu'à présent un Marvel ne m'avait touché autant. Le départ de Chadwick Boseman a été traité avec intelligence et l'hommage qui lui est rendu est palpable, sensible, poignant. Les images de l'acteur durant le générique de Marvel Studios dans le silence ne laissent vraiment pas indifférent. Bien plus que l'histoire en elle-même, c'est sans doute cet aspect là qui m'a le plus émue.
J'ai aimé l'évolution de Shuri et la place qu'elle prend petit à petit sans le savoir. Je m'y attendais car c'est dans la logique des choses, comme une évidence, un héritage. Revoir Nakia était espéré, et la fin donne tout son sens au film.
Même si l'aventure est moins prenante que dans les trois premiers volets, on se prend au jeu de cette course contre la montre. Et le thème est tout indiqué à ce que traverse notre héros.
Ce cinquième chapitre est une percée dans les sentiments d'Indiana, sur sa vie, son passé, son histoire. J'espérais une relève par son fils mais j'ai été presque choquée d'apprendre que Mutt ne serait pas présent (sans vouloir en révéler trop). Ça m'a pas mal chamboulée de voir notre cher aventurier si atteint
[spoiler]La rencontre d'Indiana avec Archimède est bouleversante et ce désir de vouloir rester dans une époque (dans l'Histoire) qu'il n'a pas cessé d'étudier est compréhensible.
Je suis un peu triste que les aventures d'Indiana Jones s'achèvent. J'ai grandi avec la saga et espère que la relève tant espérée se fera. Qui sait.
Si vous avez regardé Les Créatures de l'Esprit avant celui ci, ne restez pas sur votre apriori négatif (car oui, Les Créatures de l'Esprit est un raté et vous pouvez tout bonnement l'oublier): lancez vous pleinement dans l'univers captivant d'Advent Children. Ça n'a clairement rien à voir et vous ne serez pas déçus!
Pour tous les fans de l'univers de Final Fantasy, c'est un régal pour l'âme. Et pour ceux qui découvrent, un plaisir pour les yeux.
Final Fantasy VII (autant le jeu pour ceux qui connaissent que le film) est véritablement le plus réussi de la saga.
Un film d'animation sublime! Les dessins sont d'une richesse et d'un travail impressionnant. C'est magnifique. Et l'histoire est pleine d'émotions. C'est touchant. Il n'y a rien d'autre à dire.
C'est mon préféré de Makoto Shinkai.
Il est magnifique, que ce soit par les décors, le dessin, les personnages, l'histoire, la musique. Le message qu'il transmet plus encore. Bien qu'il puisse être dur par moment, on ne peut le cacher, il reste infiniment beau. Il y a tellement de magie qu'on est ressort enchanté, fasciné, presque transformé. Je ne me lasse pas de le voir, et de le revoir. Ce film d'animation est pour moi un véritable coup de coeur.
Les décors sont superbes, là dessus rien à redire. Mais les personnages ne sont pas forcément attachants, ils sont par moment très déconcertants. L'histoire est simplette, quand elle ne nous perd pas complètement.
Et que dire de cette over-dose de chansons toutes les 5 minutes, sans parler de "Libérée-Délivrée" que je ne supporte plus...
Bref. Un sympathique dessin-animé qui se laisse regarder, au moins une fois.
Ici, on découvre un Logan plus humain. Bien qu'il reste le Wolverine que l'on connait, dur sauvage et glacial, il se montre fragile et touchant à sa façon. De l'action à perdre haleine, de l'émotion (et oui) et des effets superbes, tout ça sur fond de Japon traditionnel. Une interprétation parfaite et quasi habitée de la part de l'acteur principal. J'en redemanderais presque ♥
Je dois dire que j'ai plutôt bien aimé. Un univers proche de celui de Tim Burton, par les décors et les costumes. Les trois jeunes acteurs qui interprètent les enfants sont attachants, leurs personnages intelligents. A côtoyer de grands noms du cinéma tels que Jim Carrey ou Meryl Streep, ils s'en sortent avec brio.
L'histoire est aussi sombre qu'elle est drôle. Un parfait mélange. L'introduction du film est à mourir de rire! Je me souviendrais longtemps du plus petit des gentils lutins. L'oncle Olaf ajoute à cette humour décalé qui me plait. Il est cynique, machiavélique et c'est sans parler de ses plans plus farfelus les uns que les autres.
J'ai parfois trouvé que chaque visite des orphelins chez les oncles et tantes étaient un peu courts, que ça allait trop vite. Mais si le film résume trois tomes, je comprends alors se désire de tout rassembler en un seul épisode. Ça n'enlève rien au plaisir du film. Entre l'ingéniosité des enfants Beaudelaire, leurs aventures rocambolesques, la collection de serpents de l'Oncle Montgomery et les délires de la Tante Aggripine, c'est un régal!
Un bon moment. J'en resterais presque sur ma fin et voudrais voir sortir une suite au cinéma. Car l'énigme de la longue vue n'est pas vraiment résolue.