The Master
Réalisateur
- Paul Thomas Anderson (Réalisateur)
Thèmes
Drameréplique
"Que faîtes-vous ?
- Je suis écrivain, médecin, physicien nucléaire et philosophe théorique. Mais avant tout, un homme. Tout comme vous"
Afficher en entierCommentaires récents
Après le Joker, aillant connu Joaquin Phoenix que du film ''Her'' au départ, je suis sorti du cinéma en aillant en tête d'écouter tous les films de Joaquin. Pourquoi? Parce que sa performance était extraordinaire. J'avais déjà vu ''Her'' et appréciée, j'ai aussi découvert qu'il faisait en grande partie des films uniques, des films dramatiques, des films profonds et parfois même déconcertants et tous ces types de films me rejoignent.
Il est bon acteur pour les scènes sombres, non seulement il est talentueux pour faire semblant, mais son visage est également très prononcé et presque ténébreux. Le rôle et le physique se mêlent bien quant à lui je trouve.
J'ai pu apprécier The master grâce au personnage complexe et perdu de Freddie. Mais si ça n'avait pas été de lui (soit Joaquin), je n'aurais su aimer. Parce qu'en effet, c'est un film long. Tout se passe lentement. Le début est très accrocheur selon moi, puisqu'on entre dans un contexte nouveau et bizarre, on apprend sur la personnalité de Freddie. Mais au bout d'une heure il n'y a plus de surprise, alors on se lasse car il n'y a pas de péripéties bouleversantes ou troublantes qui se produisent.
L'on dirait que rien ne se produit du tout. Je l'ai, de plus, écouté en anglais, ce qui complique un peu les choses n'étant pas ma langue natale.
Bref, si quelqu'un a une théorie révolutionnaire pour la conclusion de ce film, ne vous gênez pas de m'écrire ! Je suis ouverte à comprendre, j'ai tout de même passé 2h18 à essayer de suivre le cours de cette histoire qui m'a malheureusement perdue à un certain moment donné. Je l'aurais bien arrêté, mais Joaquin était à l'écran... C'aurait été un péché.
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Rien a reprocher a la mise en scène de PTA, c'est absolument brillant, splendide, tout ce qu'on veut, cependant je ne suis que très rarement rentré dans le film.
La faute a un rythme inexistant, tout se passe avec une langueur extrêmement usante, seule quelques scènes jouissant d'une forte intensité.
Alors même si la mise en scène est brillante, Joaquin Phoenix transcendant, et que le sujet est bien traité, c'est assez chiant par moment.
En parlant du traitement du sujet je regrette assez l'angle adopté par PTA qui choisi un point de vue plus psychologique que sociologique, qui certes permet un voyage comme il les aiment au cœur de l'âme torturé de son personnage principal mais délaisse trop a mon goût les enjeux sectaire, supprimant ainsi pas mal d'enjeu qui aurait pu donner plus d’intérêt au film.
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Dès les premières images, on est subjugué par la parfaite maîtrise de la mise en scène, des plans parfaitement composés et le jeu halluciné de Joaquin Phoenix puis des autres acteurs.Malheureusement, le film ne tient pas toutes ses promesses, des longueurs assumées font que l'ennui gagne parfois le spectateur. Mais, on lui pardonne facilement ces faiblesses tant le réalisateur est talentueux.
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La télévision m'a permis de revoir ce film un seconde fois. Ne l'ayant ni compris ni apprécié la première fois , je pensais qu'une seconde vision allait remettre les choses en place. En dépit des critiques toujours dithyrambiques, je n'ai toujours rien compris à ce film. Par ailleurs la seconde vision fut rapidement interrompue.
Il y a-t-il quelque leçon ou message à percevoir dans la déchéance de ce soldat démobilisé? Si oui, quelqu'un pourrait-il me l'expliquer?
Hermétique, sans queue ni tête!
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Date de sortie
The Master
- France : 2013-01-09 (Français)
Activité récente
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Évaluations
Editeurs
Les chiffres
| spectateurs | 39 |
| Commentaires | 4 |
| répliques | 1 |
| Evaluations | 9 |
| Note globale | 7 / 10 |
Synopsis
Dans les années 1950 aux États-Unis. Freddie Quell est un vétéran de la marine qui retourne en Californie, après s’être battu dans le Pacifique. Il vit de petits métiers. Devenu alcoolique, il a des accès de violence irrépressibles. Il prépare des mélanges avec des alcools divers et des diluants qui font des ravages chez ses compagnons de beuverie. Lui-même est émacié, amer, physiquement et mentalement déglingué. C'est alors qu'il rencontre Lancaster Dodd. Un soir qu'il était saoul il monte instinctivement sur le yacht de celui qui se désigne à lui sobrement au matin comme « romancier, docteur en physique nucléaire et philosophe théoricien ». Dodd aurait besoin éventuellement d'un marin supplémentaire sur le bateau. Il vient sur le terrain de Quell en lui réclamant de son breuvage trafiqué. Puis il lui administre une séance de thérapie mentale.
Quell, qui avait adopté jusque là une position d'indifférence narquoise, devient ce jour-là un des compagnons du « Maitre » car, l'homme à demi-détruit qu'il était, sort épanoui et transitoirement transformé de la séance d'auditio. Quell participe désormais à toutes les activités du mouvement militant que dirige Dodd et fait valoir les droits de sa nature complexe et violente en agressant systématiquement les détracteurs de son patron, qui laisse faire. Quell côtoie de près les principaux dirigeants, qui le snobent. Dodd, qu'on presse de renvoyer l'inadapté, n'a de cesse d'obtenir l'amélioration de la condition de celui qu'il a taxé le premier jour de « stupide animal » tout en conservant avec lui des rapports constants de franchise et de quasi amitié. À la fin du film Quell entrevoie peut-être une embellie.
Dodd est un idéologue ambitieux qui prétend révolutionner le mental humain et la sorte de secte qu'il dirige dans une relative paranoïa entre en conflit avec les autorités et les personnalités influentes.
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