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Commentaires de films faits par JaneSlytherin

Répliques de films par JaneSlytherin

Commentaires de films appréciés par JaneSlytherin

Répliques de films appréciées par JaneSlytherin

date : 07-01
Derrière sa nature de film de Noël tout doux et tout mignon, Wonka n’hésite pas à éveiller une certaine noirceur thématique, finalement très en phase avec l’œuvre de Dahl. King pioche d’ailleurs dans la nouvelle La Logeuse pour développer son récit, lorsque le confiseur un peu naïf se retrouve prisonnier d’une tenancière d’auberge machiavélique (Olivia Colman, réjouissante dans son cabotinage).

La notion de dette revient souvent, et devient même un élément central, qui freine à plusieurs reprises la progression des personnages. Le réalisateur joue d'une tension passionnante, puisque son film est – à l’instar de son héros – incapable de rester en place, alors que tout pousse à la stagnation.

L’équilibre, c’est de voir l’horreur de ce monde, sans pour autant s’y abandonner. Willy Wonka suit cette trajectoire, en injectant de la magie et de l’espoir dans des vies bien moroses.

De cette façon, Paul King confirme qu’il est bien plus qu’un simple artisan soigné, et que ses longs-métrages sont le fruit d’une poésie singulière. Plutôt que de sombrer dans la béatitude malhonnête d’une machine de studio prônant la croyance indéfectible en ses rêves, Wonka ne cesse de mettre en scène des obstacles, et la résistance permanente que nécessite l'accomplissement de l’individu face à un système écrasant. C’est pour cette raison que l’écriture millimétrée du cinéaste (épaulé par son comparse Simon Farnaby) satisfait par la place de ses personnages secondaires.

Comme à son habitude, King les croque par quelques traits de caractère rapidement identifiables, autant dans leur potentiel que dans leurs entraves dont ils se libèrent au contact du protagoniste.

Et au fond, cette efficacité martèle la sève du cinéma de Paul King : dans des univers réglés comme du triste papier à musique, le héros vient imposer un nouveau tempo et dérégler le statu quo. On en revient à cette brume inaugurale de Wonka : elle annonce le portail, ou plutôt le vaisseau que représente ce personnage dans cette nouvelle musicalité ; une musicalité qui dépend de la rythmique d’une réalisation virtuose.

Comme s’il malaxait une matière de film d’animation dans du live-action, King s’amuse de ses élans burlesques, de ses accumulations de plans improbables, et autres effets de style jouissifs (cette ampoule qui s’allume au-dessus d’une tête en pleine épiphanie). Le timing comique du montage est à l'avenant des scènes de comédie musicale, où tout s’entremêle dans une harmonie faussement foutraque. À l’instar des mots de Roald Dahl, dont l’absurdité récurrente se rendait digne d’un cadavre exquis, le réalisateur aime pousser ses scènes et ses images à leur plein potentiel, à la manière des concoctions du jeune Willy qui fascinent tant sa caméra.

Perclus de mallettes-laboratoires, de systèmes de laverie ingénieux et de caves à chocolat, le film reflète par son utilisation de la mécanique celle de sa propre fabrication. Mais au-delà de son chef d’orchestre derrière l’objectif, Wonka dépend beaucoup de Timothée Chalamet, et de sa propension à apporter sa propre musicalité à l’ensemble. Jusque-là connu pour ses rôles dramatiques, l’acteur s’affirme dans un lâcher-prise salvateur, où ses maniérismes et son travail physique marchent habilement dans les pas de Gene Wilder et de Johnny Depp.

La filmographie exemplaire de Paul King et le jeu d’acteur parfait de Timothée Chalamet amènent sans doute à faire la fine bouche, car Wonka s'impose en film de Noël idéal, qui confirme sous les atours du blockbuster calibré la voix d’un acteur aussi charmant que passionnant.

Vu en VO
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Presque dix ans après le dernier volet de la saga Hunger Games sorti en 2015, la franchise qui a révélé Jennifer Lawrence revient avec un prequel consacré à la jeunesse du méchant président Snow, interprété jusque-là par Donald Sutherland. Toujours mise en scène par Francis Lawrence qui avait réalisé les trois derniers opus, l’histoire se passe désormais 60 ans avant les aventures de Katniss Everdeen. On y découvre un jeune Coriolanus Snow (Tom Blyth), un jeune qui va essayer de tirer son épingle du jeu au sein de l’aristocratie de Panem. À ses côtés, la rebelle du district 12 Lucy Gray (Rachel Zegler) est déterminée à ne pas finir sacrifiée sur l’autel des Hunger Games. Une histoire qu’on n’avait pas demandée, mais qu’on a eue quand même, et ça fait plutôt plaisir.

L'idée d'un nouveau Hunger Games avait de quoi inquiéter : ce nouveau film allait-il être, comme beaucoup de suite ou spin-offs de sagas, un résidu de fond de tiroir colmaté à la va-vite à coups d’effets numériques pour satisfaire quelques fans ? En réalité, le projet était dans les cartons depuis 2017, et il est le résultat d’un travail manifestement rigoureux. En tout cas, c’est le ressenti que donne le résultat final, car très peu de franchises peuvent se targuer de s’être aussi bien maintenues au fil des épisodes, notamment en se risquant à l’exercice du prequel.

Pour parler des qualités du film, il faut déjà noter que malgré sa longueur, jamais le rythme ne lasse ni n’épuise. Si les actes bien distincts donnent parfois l’impression d’une trilogie rentrée au chausse-pied dans un seul film (la transition entre des phases de l’histoire radicalement différentes est parfois perturbante), les personnages sont réellement développés. Les séquences qui requièrent des respirations et du suspense, elles, sont volontiers étirées sans en faire trop (comme la scène de “chasse” en forêt).

Par ailleurs, la direction artistique est à la hauteur de la saga originale, avec un Panem “vintage” inspiré de nos propres années 60 et 70 et des Hunger Games encore peu sophistiqués. Il faut dire que le film est visuellement plutôt réussi, avec une mise en scène solide et élégante. Mention spéciale à la séquence d’attentat dans l’arène et à son plan à 360° qui aligne les explosions. Un pari casse-gueule qui réussit finalement à en mettre plein la figure. Toutes ces qualités ne font pas du film un chef-d'œuvre, tant s’en faut, mais elles sont autant de marqueurs d’un travail honnête (à défaut d’être génial) qui offre aux fans et aux moins fans un blockbuster malin et efficace, dont la saga originale n’a pas à rougir. Ceci étant dit, il est tout de même temps de s’attarder sur les défauts qui tirent le film vers le bas.

Comment ce name-dropping complètement artificiel de Katniss et la citation de sa révérence iconique pouvaient provoquer autre chose qu’un terrible grincement des dents ? Rachel Zegler se repose donc surtout sur des mimiques irritantes, qui rappellent davantage l’immaturité du jeu d’une Keira Knightley dans Pirates des Caraïbes que le charisme d’une Jennifer Lawrence dans les premiers volets de la saga.

Heureusement, autour d’elle, la galerie de personnages secondaires consolide efficacement l’ensemble, Viola Davis et Peter Dinklage en tête. (sans oublier Jason Schwartman en présentateur télé, qui reproduit à merveille les attitudes de Stanley Tucci). Avec des looks impayables et une psychologie fine et intéressante (à tel point que le souhait d’un spin-off sur ces personnages-là se ferait presque sentir), ils apportent tout son sel au film, et renvoient parfaitement la balle au personnage de Snow dont le virage idéologique est plutôt bien écrit et négocié.

La bonne idée étant notamment de faire de Snow le personnage principal, qui subit la misère et l’humiliation qui vont nourrir sa violence, et de permettre au spectateur de s’y identifier pour que chacun puisse voir en soi le risque du glissement vers la haine.

Encore une fois, sous le spectacle, c’est une écriture intelligente qui achève de faire de cet Hunger Games un film à la hauteur de ce qu’on pouvait en attendre.

Vu en VO
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date : 11-12-2023
Alors… par où commencer ? Pour moi, c’est une énorme déception.
Je suis allée voir ce film avec un apriori positif, je pensais qu’avec un film américain sur Napoléon, nous aurions quelques erreurs historiques, mais je me suis dis qu’avec Ridley Scott à la barre, et Joaquin Phœnix dans le rôle titre, ça allait le faire…
Premier problème, deux heures et demi pour le général aux 40 victoires, ça fait court. Second challenge, l’acteur a 50 ans, et il est censé jouer un jeune officier de 24 ans au début du film à la bataille de Toulon (je passe sur les détails comme les épaulettes de colonel alors qu’il n’est que capitaine). Quand il rencontre Joséphine qui est censée être plus vieille que lui, forcément, ça coince. Au lieu d’avoir un homme encore jeune et manquant d’expérience, c’est un homme d’un âge certain qui se présente devant Vanessa Kirby, qui, au passage, incarne avec brio l’impératrice Joséphine.
Ma grande crainte était de voir Joaquin Phœnix refaire un personnage perturbé comme l’empereur Commode dans Gladiator. Et… c’est ce qui arrive. L’acteur principal interprète un personnage mal dans son corps, même pendant les batailles, on a le sentiment d’un malaise, alors que Napoléon dans la réalité s’épanoui dans la guerre, il aime la guerre.
Ridley Scott fait l’impasse sur la campagne d’Italie, alors que c’est la période où les lettres de Bonaparte à Joséphine sont les plus torrides, et que cette campagne va révéler Bonaparte à lui-même. L’Egypte… bataille des pyramides en 30 secondes, et retour à Paris.
Ridley Scott n’apporte jamais rien de nouveau dans ce film (il aurait pu par exemple évoquer l’entente de l’Amiral Smith avec Bonaparte afin de le laisser quitter l’Egypte en retirant sa flotte plusieurs jours). Au lieu de quoi il nous offre quelques scènes grotesques, le 19 brumaire, le sacre, et on nous présente un personnage vulgaire et grossier.
Les scènes de bataille ressemblent à des escarmouches moyenâgeuses vues dans les séries Netflix, pas de souffle épique, Ridley Scott se contente de nous passer des scènes de combat vues et revues… et qui sont fausses.
En plus de ça, la bande son n’est vraiment pas à la hauteur, il y a un manque de personnages secondaires qui vient renforcer cette impression de petitesse, dans un film à charge contre la révolution contre Napoléon et bien sûr, contre la France. La grande armée et ses grognards sont effacés, les maréchaux d’empire et la garde impériale toujours en toile de fond pour la décoration.
Ridley Scott n’hésite pas à ridiculiser le corse et traite l’histoire de France avec une désinvolture déconcertante, ce qui tranche avec le traitement accordé aux monarques britanniques dans le milieu cinématographique.
Ce film est un fiasco total car même le côté monstrueux que pouvait avoir l’empereur ne ressort pas (je pense notamment à son insensibilité face aux morts sur un champs de bataille). J’imagine que les détracteurs du « petit caporal » resteront également sur leur faim puisque les fautes les plus graves ne sont pas exploitées. Et là, nous touchons le nœud du problème ; pour pouvoir faire une critique à charge contre un tel personnage il aurait fallu mettre en évidence des qualités qui sont le reflet des défauts que possède l’Empereur. Cela obligeait à mettre en évidence un homme et un pays capable après dix années de révolution de faire danser toute l’Europe encore quinze ans. Et pour le réalisateur cela n’était pas concevable, donc on a préféré la médiocrité à une histoire qui fait de l’ombre aux autres pays…

Vu en VO
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Ce film m’a bouleversé de toutes les manières possibles. C’est un pur chef-d’œuvre. Aucun film n’était encore parvenu à me faire pleurer autant comme j’ai pleuré.
Sous un aspect pourtant très calme et joyeux dès le début, ce film nous réserve bien des surprises.
Je me suis directement attachée aux personnages principaux que sont Neil, Todd et Mr Keating. L’amitié qui se lient entre Todd et Neil est belle à voir. Et je me suis reconnue dans ces deux personnages. Ils m’ont touchés, fait rire et pleurer.
Cependant, le film prend une toute autre tournure lorsque les parents des élèves interviennent dans l’histoire. Neil veut être acteur. C’est sa passion, ce qu’il veut faire à tout prix. J’ai une haine immense envers son père en particulier…
Spoiler(cliquez pour révéler)
Lorsque Neil décide de se donner la mort plutôt que de se morfondre toute sa vie, je me suis effondrée en larmes. Car oui, Neil était vraiment l’un des meilleurs, il avait un don, pour le jeu et pur la poésie. C’est lorsque Todd apprend la nouvelle que l’on voit à quel point ils étaient proches.
Todd se libère peu à peu à la fin, et c’est grâce à Mr Keating et Neil. Il les admirait tous les deux.
Je crois que ce film est devenu le meilleur film que j’ai vu depuis longtemps. Un réel coup de cœur. Bien entendu, le revoir sera toujours excellent, mais évidemment, les émotions seront différentes… peut-être plus profondes.
La beauté de ce film est partout. Dans les images, les lumières, les musiques, les personnages et leurs poèmes. Au fond, ce film est une vraie leçon de vie. En le regardant, nous faisons, nous aussi, partie du Cercle des poètes disparus. Alors j’aimerais finir mon commentaire par ces mots : Oh, Captain, my Captain. Carpe Diem. Seize the Day.

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S’attaquer à poursuivre une saga aussi culte que celle d’Indiana Jones, c’est marcher sur un fil tendu entre héritage à respecter et renouveau à inventer.
C’est donc sans surprise qu’Indiana Jones et le Cadran de la Destinée joue de la nostalgie, et prouve que le récit peine à se réinventer au-delà de ses propres poncifs. Les méchants sont des nazis comme dans le premier et le troisième volet, et tout l’enjeu sera de courir plus vite qu’eux pour atteindre un énième artefact historique, jusqu’à une confrontation finale qui pose un pied dans le fantastique. On connaît la musique.
D’ailleurs, le film met en scène sa propre nostalgie et appuie sur le rajeunissement d’Harrison Ford pour la séquence d’ouverture : le plan de découverte du personnage, toujours important dans les films de la saga.
À cela s’ajoutent un discours général sur le passé, l’héritage historique ou familial, et un petit paquet de références émouvantes aux anciens films. Pourtant, ce cinquième opus n’est pas du tout qu’un come-back car malgré ses défauts, Indiana Jones et le Cadran de la Destinée est une continuation cohérente et efficace aux aventures de notre professeur d’archéologie préféré.

Certaines séquences ont un potentiel trop peu exploité et s’avèrent décevantes, comme la scène de plongée qui effleure à peine tout ce qu’elle aurait pu avoir de stressant, d’effrayant et d’esthétique, ou encore la scène de poursuite en voiture, trop longue.
Néanmoins, d’autres moments parfaitement exécutés ont de quoi intégrer la liste des séquences cultes de la saga. La scène de la course-poursuite à cheval dans une parade pacifiste en plein centre-ville, par exemple, est aussi haletante que belle à voir, et d’une symbolique puissante pour le personnage vieillissant de Ford qui apparaît comme un cowboy sorti d’un western au milieu de combats modernes auxquels il n’appartient plus.

Par ailleurs, le nouvel atout majeur de l’univers d’Indiana Jones est sans aucun doute Helena Shaw, la filleule sortie du chapeau et incarnée par Phoebe Waller-Bridge. L’écriture d’Helena et de sa relation amour-haine avec Jones est beaucoup plus réussie et savoureuse que ce qui avait été fait autour du personnage de Mutt dans Le Crâne de Cristal, et Helena agit efficacement comme un rappel de ce qu’était Jones dans sa jeunesse, maintenant qu’il porte un regard mûr sur sa vie passée.

Mais le vrai coup de maître du film réside dans ses dernières séquences. À travers une grosse prise de risque qui ne plaira sûrement pas à tout le monde, le récit offre la meilleure résolution possible à l’arc de Jones qui court depuis cinq films : son obsession parfois égoïste pour la réalité matérielle de l’Histoire et de ses artefacts. À force de courir après la dimension mystique du passé, le professeur va en connaître une démythification étonnante, qui donnera un sens à toutes ses aventures passées.
À toujours flirter avec le fantastique, Jones franchit ici un pas décisif qui le fait passer de l’autre côté de la barrière, le point magistral et logique qu’il apporte à la longue histoire d’amour entre Jones et surnaturel vaut le coup. Comme souvent dans les films de la saga, le discours est un poil maladroit, un poil épais, et la mise en scène peine à donner la même prestance aux éléments fantastiques qu’à son héros. Mais, dans l’ensemble, l’enthousiasme est tel qu’il conquiert le spectateur malgré tout.

En somme, Indiana Jones et le Cadran de la Destinée referme les portes de la saga avec une excellente compréhension et progression des thématiques fondamentales des films et de leur personnage central. Pas un chef d’œuvre, mais tout de même un film tout à fait à la hauteur de son héritage. Mangold parvient haut la main à reprendre le flambeau de Spielberg en respectant l’esprit tout en faisant valoir son propre savoir-faire. Une conclusion réussie et méritée pour l’aventurier au chapeau.

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Je dois dire que je me méfie de plus en plus des nouveaux Marvels. Et pourtant, je suis allée voir ce troisième opus des Gardiens de la Galaxie sans trop me poser de questions. Je savais à peu près à quoi m’attendre, un film où on en apprend plus sur le passé de Rocket, un volet où on retrouve Gamora… Et finalement, j’ai adoré. Si depuis Endgame, très peu de films Marvel ne m’a mis la larme à l’œil, je dois dire que celui-ci a réussi à m’arracher quelques larmes.

Depuis 2014, on suit les Gardiens de la Galaxie partout dans leurs aventures plus ou moins intéressantes, et le casting reste encore une fois parfait. Chris Pratt sait définitivement comment interpréter son rôle de Peter Quill à merveille, et les autres acteurs sont tous aussi excellents les uns que les autres. Pas un seul jeu d’acteur ne m’a dérangé dans ce film. Mais évidemment, la performance qui m’a le plus touché, c’est celle de Bradley Cooper pour Rocket.

Ce film, on le sait, est centré sur Rocket, et même si le long métrage commence rapidement avec une scène d’action qu’on peut avoir du mal à comprendre, on se laisse prendre au jeu. Adam Warlock, celui qui était censé être le « méchant » du film apparaît dès les premières minutes, mais on l’oublie peu à peu au fur et à mesure du film, où il s’efface pour laisser place au Maître de l’Evolution, un méchant des plus sinistres, qui indigne autant par sa cruauté que ses desseins vains et immoraux.

On voit dans ce film trois grands thèmes qui se démarquent. L’évolution, l’émancipation, et la guérison. L'introduction du film nous le montre bien, avec Rocket qui chantonne tristement le morceau Creep de Radiohead, pendant que Quill noie encore son chagrin dans l'alcool et le déni. On le sait, Peter Quill a subit de nombreuses pertes depuis le début des aventures des Gardiens. Il a perdu Yondu, celui qu’il considérait comme son père, et dernièrement Gamora, dans Avengers Endgame.

Si les films des Gardiens de la Galaxie sont notamment connus pour leur humour, ce dernier volet a parfaitement su contrôler les moments de rires et de pleurs. L'humour excessif chez Marvel est devenu une norme, chaque moment un tant soit peu grave ou sérieux devant automatiquement être désamorcé par une raillerie. Mais ici, il n’est pas question de ruiner le passé déchirant et la douleur que Rocket renferme. Ce film prend donc une dimension profondément triste et sérieuse.

Pour moi, les flashbacks sur la vie de Rocket sont les parties les plus intéressantes et déchirantes de ce film, ces segments prennent l'ascendant sur le reste de l'histoire, située dans le présent.

Avec Marvel, on a été habitué à des scénarios où les héros sauvent une planète ou le Multivers, où ils doivent arrêter un méchant qui menace le monde, mais ici, dans ce film, tout prend une autre tournure. Il s’agit de sauver l'un des leurs. Tout simplement. Rocket.

Les Gardiens de la Galaxie 3 est sans doute l'un des meilleurs films produits par Marvel depuis longtemps, et je suis tout simplement heureuse d’avoir pu voir un Marvel à la hauteur de mes attentes.

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Louis Tomlinson a toujours fait partie de ma vie. De mon monde. Il m’a sauvé par sa musique, mais aussi par la personne qu’il est. Pour moi, il est bien plus qu’un chanteur.
Ce documentaire… c’est bien plus qu’un film que l’on regarde au cinéma. C’est un moment que l’on passe aux côtés de Louis, dans sa vie, ses hauts et ses bas. Même si je connaissais déjà une grande partie de sa vie, j’ai appris des choses, et certaines m’ont brisé le cœur. Il à toujours été fort, et il l’a prouvé à de nombreuses reprises, notamment lorsqu’il a perdu sa mère et sa sœur.
Ce film nous plonge complètement dans le monde de Louis, ce monde duquel je n’arrive pas à sortir. Le film m’a énormément bouleversée. J’ai pleuré, ris, chanté, j’ai beaucoup tremblée. J’ai toujours adoré Louis et j’ai toujours été très fière de lui. Mais aujourd’hui, ce que je ressens est encore plus fort. Je ne serais à jamais reconnaissante pour tout ce qu’il a fait pour moi, même s’il ne sait pas qui je suis.
Il aime ses fans, et oui, si nous avons toujours été là pour lui, même dans les moments les plus difficiles, il m’a sauvé en étant là pour moi quand personne ne l’était. Il ne le sait pas, mais il est la raison pour laquelle je suis encore là. La vie est injuste avec tout le monde, mais il faut être fort, l’accepter et avancer. Ne jamais baisser les bras. Toujours continuer. Louis m’a appris ça. Il m’a appris à être forte, à avoir plus confiance en moi, à pardonner l’impardonnable. Toutes ces années de bonheur, de tristesse, et de souffrance, je les ai passés avec lui. Pendant ces années, il a été la personne sur qui je pouvais m’appuyer. J’ai vécu trop de choses inexplicables et horribles, mais il a toujours été là, sans même le savoir, dans mon cœur, et c’est ce qui m’a permis de me battre, encore et encore, jusqu’à aujourd’hui.
Avec ce film, on est complètement plongé dans le monde de Louis, et j’ai eu plusieurs fois la sensation d’être avec lui, aux concerts. La relation qu’il a eu avec sa mère est extrêmement touchante, tout comme celle qu’il a avec ses sœurs et ses grands parents. Quant à la relation entre Freddie et lui… elle est juste magnifique et très touchante. Freddie est la copie parfaite de Louis, et il a énormément de chance d’être son fils.
Je suis allée voir All Of Those Voices un samedi, et comme il le dit si bien, les samedis enlèvent la douleur.
Pour chacune de mes questions, Louis était ma réponse.

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date : 19-03-2023
Encore un Spielberg réussi !
J’ai toujours été très intéressée par la vie du réalisateur, autant pour sa vie en tant que tel, mais également pour son envie de le devenir.
En apprenant que Spielberg réalisait un biopic, j’ai tout de suite eu envie de le voir. C’était un réel plaisir pour moi de découvrir cette semi-autobiographie. Je ne connaissais pas vraiment la vie et l’enfance de Spielberg.
En rencontrant Sam Fabelman et sa famille, on découvre l’enfance de Spielberg, et sa passion. Cette passion qui l’anime, pour laquelle il vit presque.
Le film est vraiment très intéressant et très bien réalisé. Visuellement, ce film est parfait, avec des plans très bien adaptés aux différentes scènes. J’ai bien aimé le concept d’assister aux tournages des tous premiers films de Sam, avec les films dans le film. On est tout de suite plongé dans le décor des années 50-60. Évidemment, c’est l’époque d’après guerre, avec la condition des femmes encore difficiles. Ce film nous le montre d’ailleurs très bien, avec la mère de Sam, qui n’a pas eu la carrière de pianiste, concertiste qu’elle aurait dû, et le mariage avec un homme qu’elle n’aime plus comme elle le devrait. Le scénario est simple mais retrace tout de même une bonne partie de la vie de Sam, et donc de Spielberg. On comprend mieux certaines choses, notamment certaines références de sa propre vie dans ses films. On est vraiment projeté dans la vie des Fabelmans, et on remarque notamment la difficulté de Sam pour se faire intégrer dans son école après avoir déménagé. Le film est intéressant du début à la fin, tant par le scénario et le visuel que par le casting. Michelle Williams est encore une fois parfaite et Paul Dano joue très bien. Grâce à ce film, j’ai pu découvrir Gabriel LaBelle dans le rôle de Sam. Je l’ai trouvé incroyablement bon dans son rôle. Sincèrement, c’est un excellent acteur. J’attends de voir sa carrière futur, je pense qu’il en aura une belle, et surtout avec cette lancée dans ce biopic de Spielberg.
C’est un très beau film, avec de très bons acteurs et un excellent scénario. Même si le film comporte quelques longueurs, il n’en reste pas moins très interessant. A voir, donc.

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date : 19-02-2023
J’ai regardé ce film parce que je trainais sur Prime Video, n’ayant absolument rien d’autre à voir. J’ai vu l’affiche, Sebastian Stan, puis le thème, et enfin la bande-annonce. Cette bande-annonce m’a vraiment donné envie de découvrir l’histoire de Pits.
Et finalement, j’ai passé un très bon moment devant L’ultime Sacrifice. Déjà, le casting est parfait, et le scénario m’a happé. Un soldat américain mort pendant la guerre du Vietnam en sauvant ses frères d’armes et qui n’a pas reçu la médaille d’honneur. Malheureusement, je pense que ce film n’est pas assez connu, et je pense aussi que peu de personnes connaissent cette histoire pourtant réelle.
Ce que j’ai aimé dans ce film, même si je l’ai trouvé long à certains moments, c’est qu’on découvre vraiment chaque personnages les uns après les autres. On voit leur évolution, et je pense notamment à celle du personnage clé de Sebastian Stan. J’ai aimé cette évolution où on le voit, petit à petit être touché par cette histoire, et mettre sa carrière en jeu pour que William Pitsenbarger obtienne la médaille d’honneur à titre posthume.
J’ai bien aimé découvrir chaque vétéran de la guerre du Vietnam et surtout voir leurs manières de s’en sortir. La fin m’a émue.
Je reverrai ce film avec plaisir. Je vous le conseille vraiment.

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Après une Phase 4 de quasi-transition n'ayant pas franchement conquis le public ou la critique, Marvel relance son MCU avec Ant-Man et la Guêpe : Quantumania. Un troisième volet des aventures d’Ant-Man des Avengers toujours réalisé par Peyton Reed et mené par Paul Rudd dans le rôle d’Ant-Man, accompagné d’Evangeline Lily dans le rôle de la Guêpe, Michael Douglas, Michelle Pfeiffer, et Kathryn Newton. Selon Kevin Feige, ce film est le moyen parfait de lancer la cinquième phase et de présenter le grand méchant succédant à Thanos : Kang le Conquérant, joué par Jonathan Majors.

Depuis 2008, Marvel nous annonce une ribambelle de films, avec des cinéastes plus ou moins intrigants, des promotions plus ou moins alléchantes et des promesses... de moins en moins respectées. Mais même si je ne crois plus trop en Marvel depuis quelques temps, je me plonge toujours dans ces films. Résultat, quasiment à chaque fois depuis Thor : Love and Thunder, on se fait avoir. Et ainsi, ils font disparaître la grande apocalypse du Multivers promise par Doctor Strange 2, ils suppriment le retour des grands méchants de Spider-Man dans No Way Home pour un rassemblement de « méchants » pathétiques et on sacrifie l'aventure épique des premiers films Marvel pour nous offrir une autre version de Star Wars.

Je pourrais parler d’autres films qui m’ont déçu comme ce pauvre Black Panther : Wakanda Forever et de son univers aquatique copié sur Avatar, mais je ne vais pas m’attarder sur ces films.

Marvel et Kevin Feige voulaient nous offrir une aventure inédite dans le royaume quantique et surtout l'arrivée du grand successeur de Thanos avec Kang le Conquérant. En lançant la Phase 5, Ant-Man 3 annonçait le début d'une nouvelle ère et se présentait comme la première brique d'un tout nouvel arc palpitant. Une belle théorie-promesse de plus dans l'univers Marvel qui va rapidement partir en fumée. Je m’attendais vraiment à mieux…

Le fait qu'Ant-Man 3 commence rapidement est pourtant assez engageant, d'autant qu'on pouvait craindre la énième heure perdue sur Terre à se faire des blagues et ressasser les anciens films. J’ai eu parfois peur que le film soit trop centré sur des blagues lourdingues à la Thor 4, mais heureusement, ils ont réussi à plus ou moins doser.

Le film commence vite, et suite à une expérience de Cassie qui tourne mal, la famille se retrouve aspiré dans le royaume quantique. En quelques secondes, les cinq personnages sont séparés en deux groupes : d'un côté, le trio familial de Janet, Hank et Hope, et de l'autre, Scott et Cassie.

Sur le papier, rien de spécialement original, mais Ant-Man et la Guêpe : Quantumania a le mérite de nous transporter aux confins d'un nouvel univers qui sera l'unique décor du reste du film. Visuellement, le film est donc assez inédit dans le MCU, car même si le monde quantique a été exploré à quelques reprises, il n'a jamais eu autant d'espaces pour se dévoiler.

Entre un monstre en forme de soleil, une immense bactérie affamée, des chevaux à trompe, des raies volantes ou des araignées-chiens-démogorgons capables de se dupliquer, Ant-Man 3 propose un petit zoo amusant, déployant peu à peu l'étendue du monde quantique. Il y a quelque chose de particulièrement excitant pour les personnages à explorer cet univers... du moins dans un premier temps.

Au niveau délire, je pense que ce film trouve son apogée dans le personnage de MODOK. Son allure est un échec monumental digne d’un décors de Taika Waititi.

Et si Ant-Man 3 ne ressemble pas à grand-chose, Peyton Reed est sans aucun doute le grand coupable de ce fiasco. Avec son pouvoir, Ant-Man est théoriquement une mine d'or d'idées graphiques. Or, Peyton Reed ne parvient pas à mettre sa mise en scène au service du potentiel de son super-héros.

Finalement, le monde quantique est mal exploité, et parfois on ne distingue plus si Ant-Man est très grand ou très petit, annihilant l'intérêt même de son pouvoir.

En premier lieu, le réalisateur ne fait rien de ses personnages. Alors que Scott et Cassie sont enfin réunis dans un film, leur périple en duo était l'occasion parfaite de développer plus en profondeur leurs regrets, rancoeurs ou nouveaux espoirs. Il n'en est finalement rien, le récit se contentant de phrases toutes faites sur la famille ou l'amour. Même chose pour le trio Hank, Janet et Hope qui se regarde dans le blanc des yeux pendant la moitié du film au gré de ses rencontres avec des personnages secondaires inutiles.

Sur le papier, ce film était une façon d'introduire le grand méchant de la Saga du Multivers qui aurait pu fonctionner, aussi banale et fastidieuse soit-elle. Enfin... si le film n'avait pas révélé le lien entre Janet et Kang dès son introduction.

Pourtant, l’arrivée de Kang était ce qu’il y avait de plus excitant dans ce troisième volet de Ant-Man. Et pour être tout à fait honnête, Jonathan Majors est plutôt bon dans la peau du Conquérant, insufflant un réel charisme au personnage et une stature imposante. L'acteur est indiscutablement le point positif du long-métrage, laissant subsister l'espoir infime d'un sursaut futur pour son arc au sein de la franchise. Mais malheureusement, Kang le Conquérant n'est jamais vraiment effrayant, voire à peine esquissé, dans ce film.

En choisissant d'écarter le côté super-héroïque pour foncer tête baissée dans une aventure de science-fiction guerrière, Ant-Man 3 est une pure expérimentation au sein du MCU. Une idée rafraichissante qui ouvre les portes d'une vraie bizarrerie, dévoilant l'étrangeté de l'univers Marvel comme rarement auparavant. 

Malheureusement, une bonne idée ne fait pas un bon scénario, et malgré de bons acteurs, le film manque d'inventivité, de folie et de singularité à tous les niveaux.

Alors je ne vous cache pas qu’entre les vaisseaux, les pistolets lasers, les bars branchés, les multiples espèces d’aliens, les rebelles en cachette, l'armée gourde d'un Empire autoritaire ou la présence d'un grand méchant maitrisant une simili-Force, j’ai vraiment eu la sensation de regarder un Star Wars. J’ai l’impression que Marvel a espéré renouveler sa franchise en pillant un autre univers. 

Je pense que la deuxième scène post-générique de Ant-Man et la Guêpe : Quantumania est ce qui m’a fait le plus plaisir durant ce film.
Spoiler(cliquez pour révéler)
On retrouve notre cher Loki et Morbus, à la recherche de Kang. Hâte de voir la saison 2 de Loki !


Vu en VO
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Je dois avouer que je suis déçue… Pourtant fan de Marvel depuis de nombreuses années maintenant, j’ai trouvé ce film trop long, et sans réel intérêt à part nous présenter la nouvelle Black Panther et Iron Heart. Mis à part ça, c’était un bel hommage à Chadwick Boseman, même si j’aurais voulu qu’il soit un peu plus approfondi.
Le scénario en lui-même est assez creux, et sincèrement, je n’arrive plus à trouver ce que j’aimais tant dans les précédents films Marvel. A partir d’Endgame, j’ai l’impression que tous les films qui ont suivis ne sont vraiment pas approfondis, ou qu’ils n’appartiennent pas réellement a l’univers Marvel.
Black Panther 2 est au final un film de super-héros sans réel super-héros qui présente une forme plus inhabituelle d'héroïsme en faisant face à la mort du roi du Wakanda, et du Black Panther. Le scénario a en effet donné plus de place au reste de la distribution et principalement aux personnages féminins comme Shuri, Nakia, Okoye et la Reine Ramonda, qui étaient jusqu'ici un peu éclipsés par T'Challa.
Par répercussion, chacune a gagné en nuance et en épaisseur avec une caractérisation plus étoffée. On retient ainsi quelques beaux moments et beaux échanges entre ces femmes qui sont marquées par le deuil et tentent de le surmonter à leur façon.
Seule la scène post-générique était bien car on ressent la réelle peine de Shuri pour son frère, de Letitia Wright pour Chadwick Boseman…
Si la mort de T'Challa est le point de départ du cheminement de Shuri, un autre drame sert de pivot narratif pour l'arc sur Namor. Sauf que cet événement qui devait initialement être central et traumatiser les personnages s'apparente de fait à une simple péripétie puisqu'il perd une grande partie de sa charge sentimentale, entièrement allouée à la mort de T'Challa.
Malgré cet équilibre plus bancal, Marvel a cependant évité le pire (ou presque) avec un film qui n'aurait pas été aussi encombré sans la mort de Chadwick Boseman, mais n'aurait pas été si délicat et riche sur d'autres aspects.

Vu en VO
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date : 10-02-2023
Voir Titanic au cinéma était mon rêve d’enfant… je croyais vraiment que ce rêve ne se réaliserai jamais. Et pourtant, lorsqu’il y a un mois j’ai appris qu’ils ressortaient Titanic au cinéma pour les 25 ans du film… j’ai eu les larmes aux yeux. J’ai vu ce film pour la première fois quand j’avais 6 ans. Et je ne pensais pas, 10 ans après, avoir l’occasion de le voir dans une salle de cinéma. Ce film a marqué des générations, et j’en fais désormais partie. Alors à la première occasion, j’ai réservée des places.
Et hier soir, jeudi 9 février 2023, j’ai vu Titanic au cinéma, et en 3D. C’était juste incroyable. J’adore ce film et franchement, le voir au cinéma… c’était juste très émouvant. J’avoue que même si je le connais par cœur, c’était vraiment émouvant d’être là, à le regarder dans une salle de cinéma ! J’ai pleuré au début tellement j’étais émue, et bon, a la fin, mais ça c’est normal !
C’était extraordinaire ! Déjà, voir le film sur un écran immense, et le voir en 3D ! Je vous promets que c’était sincèrement l'un des plus beau jour de ma vie... je suis encore très émue...
Je trouve ça juste incroyable de pouvoir dire "J'ai vu Titanic au cinema" et bon... voir Leonardo DiCaprio en énorme et en 3D... je ne vous cache pas que c’était aussi une des nombreuses raisons pour lesquelles j’étais impatiente. Et puis le voir en 3D, c’était vraiment merveilleux, il y a vraiment des moments où on se serait cru sur le Titanic avec eux ! Je suis rentrée chez moi a 1h du matin, mais franchement, c’était incroyablement bien. Je suis restée les 3h du film avec un sourire niais sur mon visage mais j'ai adoré ! Mon rêve est enfin devenu réalité. J’ai vu Titanic au cinéma…

Vu en VO & 3D
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date : 07-02-2023
Je ne vais pas vous mentir, j’ai trouvé ce film trop long. Alors oui, on nous offre un film de 2h avec une actrice comme Anya Taylor-Joy et des costumes merveilleux, mais c’était long. Non pas que le scénario n’était pas vraiment approfondi, mais plutôt qu’il a été mal exploité. Au niveau des acteurs, je ne trouve rien à redire. Mais en revanche, j’ai trouvé qu’il n’y avait pas vraiment de rythme dans ce film. Tout arrive à la fin, sans vraiment de surprise.
C’est un bon film, avec de bons acteurs, mais je ne le reverrai pas forcément.

Vu en VO
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J’ai été très déçue… J’adore le Chat Potté, que ce soit dans Shrek, ou dans le premier film Le Chat Potté. Mais là… c’est un non.
Peut-être que je n’ai pas aimé ce film parce que je n’ai pas vu de film d’animation depuis longtemps. Parce que oui, un mixte entre un humour à la Taïka Waititi, des décors à la Fortnite, des scénarios à la Dora, et des combats à la façon animé, franchement… bof.
On ne va pas se mentir, les films d’animation des années précédentes étaient mieux. Le seul point positif de ce film est peut-être la fin, avec l’arrivée à Fort Fort Lointain et un clin d’œil à Shrek.
Je trouve que le scénario de ce film n’est pas très approfondi. J’ai trouvé ça original de retrouver tous les objets des contes et aussi Boucle d’or et les trois ours. Mais sinon, comme je l’ai déjà dis, le scénario était vide.
Seule la fin est bien avec le Chat Potté qui comprend enfin l’important.
Je ne reverrai pas forcément ce film, ou en tout cas, pas avant longtemps.

Vu en VO
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date : 22-01-2023
Le Menu est de ces petits thrillers au dispositif intrigant qui vient susciter notre curiosité. Je dois dire que j’ai regardé ce film sans savoir à quoi m’attendre réellement. J’avais lu le sinopsis il y a quelques temps déjà, et la bande-annonce lors de sa sortie. Pour ainsi dire, je ne savais pas à quoi m’attendre. Donc au départ, on se dit que c’est l’histoire d’un couple invité avec d'autres privilégiés triés sur le volet pour déguster les plats d'un restaurant en vogue, a Hawthorn. L’histoire est bien, et le film peut s'appuyer sur son casting royal avec les merveilleux acteurs que sont Ralph Fiennes, Nicholas Hoult ou encore Anya Taylor-Joy.
J’ai trouvé que The Menu était un film à la hauteur de À couteaux tirés, et la satire horrifique est juste incroyable. Ce que j’ai vraiment aimé, c’est que quelques soit nos suppositions, le film parvient toujours à nous surprendre. Quand l’action arrive enfin, aussi puissant que puisse être le choc sur le moment, il est difficile de se défaire de l'impression que le scénario manque d'ampleur car tout le film est basé sur un simple menu de dégustation dans un restaurant. Le film est rarement ennuyeux.
Le Menu est un thriller hilarant et méchant sur le monde des restaurants haut de gamme, avec une distribution exceptionnelle emmenée par un Ralph Fiennes phénoménal. La mise en place est bonne, et le film est glorieusement tordu. Ce film est en quelque sorte divisé en deux partie, une partie drôle, et une autre est consternante. Le réalisateur Mark Mylod nous propose un scénario intelligent. Il fait équipe avec un ensemble d’acteurs de qualité. Le Menu a retenu mon attention et pendant le film, on peut penser pendant un moment que n'importe quelle issue est possible. Tout les plats qui figurent au menu sont en rapport avec l’histoire, avec les actions qui se passent. La tension est palpable durant tout le film, nous attendons de voir comment tout cela va se dérouler.
Finalement, ce film est un thriller comique, avec un scénario un peu faible mais qui nous tient en haleine, des acteurs encore une fois à l’apogée de leur art, et une fin à la fois étonnante et prévisible.

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date : 15-01-2023
The Pale Blue Eye démarre sur une excellente mise en scène de Cooper, toujours grave et élégante, et parfaitement adéquate à son sujet. Nous sommes directement plongé dans l’univers. Le film démarre avec un rythme efficace et une atmosphère à la fois merveilleuse et glaciale des paysages enneigés. Les décors magnifiques en mettent plein les yeux, les musiques sont parfaites pour nous plonger dans l’ambiance voulue, et le suspense est incroyable. Quand au casting, il est excellent. Comme à son habitude, Christian Bale excelle et parvient à apporter à son personnage la subtilité et l’émotion délicates à transposer depuis l’écrit, tant son personnage est secret et mystérieux. Sa performance confirme qu’il forme avec Scott Cooper un duo particulièrement évident au sein duquel chacun sublime le travail de l’autre. C’est davantage Harry Melling qui m’a très clairement impressionnée. Car étant donné les performances incroyable de Christian Bale, je dois dire que Harry Melling était attendu au tournant dans le rôle du jeune Edgar Allan Poe. Car oui, le seul et unique film dans lequel je l’avais vu n’était autre que dans la saga Harry Potter dans laquelle il interprétait le cousin de Harry Potter. Pourtant, dans ce film, Melling a montré un tout autre visage. Il a brillamment réussit à créer son personnage.
Hormis le casting, les musiques et les décors, l’histoire en elle-même reste excellente. Une enquête intrigante aux suspects nombreux, avec un Christian Bale majestueux, que demander de plus ? Et bien à vrai dire, tout est là. Le rythme, les révélations, les retournements des situations. Tout. Quand le film arrive à sa conclusion, que Landor résout l’affaire, on pense que le film est fini. Mais non, car le jeune et talentueux poète résout finalement les crimes.
La fin est vraiment intrigante, tout comme l’histoire nous tient en haleine. J’ai passé un excellent moment devant ce film et été ravie de me plonger dans cet univers si terrifiant d’un poète maudit.

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date : 08-01-2023
Excellente surprise. Je n’avais entendue parler de ce film que parce que Christian Bale avait perdu beaucoup de poids. Franchement, quand je dis que Christian Bale est l’un des plus grands acteurs de nos jours, je pense notamment à ses performances d’acteurs a toujours interpréter à merveille ses personnages, mais aussi sa volonté de toujours incarner le personnage complètement, en perdant ou prenant du poids, etc.
De plus, ce film est un thriller, et je dirais même un thriller psychologique. Je n’ai pas vraiment pour habitudes de regarder ce genre de film, mais il y avait Christian Bale et j’avais entendu beaucoup de très bon avis concernant The Machinist, alors je me suis lancée.
Tout au long du film, on voit l’état de Trevor se dégrader, et même si on commence par un meurtre, puis avec un flashback, je me suis vite plongée complètement dans l’histoire, et j’ai adoré. Le scénario est juste parfait, avec des éléments par ci par là qui nous font penser que quelqu’un l’observe, ou que quelque chose va arriver. Les plans sont fait d’une telle manière qu’on s’attend toujours à ce que quelque chose arrive. Ce film est stressant, mais en même temps si bien mené que j’ai adoré. Je ne suis vraiment pas habitué au thriller psychologique et j’ai normalement du mal à rester devant un film comme ça, mais là, ça allait. J’ai deviné assez rapidement l’histoire, mais quand on nous révèle tout, c’est juste parfait. On comprend toute l’histoire et pourquoi Trevor est comme ça.
Bref, un film excellent avec un scénario juste incroyable, et un Christian Bale encore une fois excellent. J’ai adoré !

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Une excellente suite ! J’avais adoré le premier volet et étais impatiente de découvrir ce deuxième film. Même si je m’attendais à quelque chose de proche du premier film, je n’ai absolument pas été déçue de voir de la nouveauté dans ce film. On retrouve un Daniel Craig encore une fois magistrale dans son rôle de détective, et un tas d’acteurs qui jouent leur rôle à la perfection.
J’ai bien aimé l’histoire en elles-même du début à la fin, avec l’originalité de refaire le film du point de vue d’un autre personnage très important, puis à la fin, c’est l’apothéose.
Même si, j’avoue, j’avais déjà deviné qui été le meurtrier dès le début, je n’avais pas imaginé une telle histoire derrière.
Je dis bravo pour ce scénario, ce casting, et ce film tout entier qui est dans un tout autre esprit que le premier, et qui reste pourtant tout aussi merveilleux.

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date : 22-12-2022
Excellent film sur l’histoire de trois frères. J’avais envie de voir ce fil depuis un moment étant en adoration devant Brad Pitt et Anthony Hopkins notamment dans Rencontre avec Joe Black. Ce film m’avait déjà tenté il y a quelques années lorsque j’avais entendu la musique principale que je trouve toujours aussi belle. Et maintenant que je l’ai vu, je dois dire que je ne m’attendais pas vraiment à ça, mais c’était un très beau film. J’ai adoré Brad Pitt dans son rôle de Tristan fougueux puis calme, tantôt dominé par l’amour, puis par la haine. L’histoire en elle-même est belle, avec un mélange d’amour, de combat, et de haine. Et aimé du début à la fin, même si je pensais d’abord avoir affaire à un film du type Pearl Harbor avec une histoire nul d’amour avec la promise du défunt. Mais finalement, ce film est bien plus que ça, c’est aussi des combats, des vengeances, des amours impossibles, difficiles, et pour couronner le tout, une musique magnifique avec un jeu d’acteur juste phénoménal.
Je reverrai sans doute ce film avec plaisir, car j’ai passé un excellent moment devant et je n’ai pas du tout vu les 2h passer.

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date : 27-11-2022
Encore un film DC qui me déçoit largement. Dès que DC sort un nouveau film, je le regarde en me disant qu’ils auront compris leurs erreurs, mais non… Ce film, comme tous les autres, est vraiment une déception. Il n’y a que 4 films que j’apprécie, et qui ne sont pas dans le DCU. Il s’agit des 3 films Batman avec Christian Bale et The Batman avec Robert Pattinson. Les autres sont très nuls. Ce que je n’aime pas avec les films de DC, c’est que meme quand le scénario a un potentiel, ils ne savent pas l’exploiter. Mais alors là, dans Black Adam… où est passé le scénario ? Sincèrement, je m’attendais à un film mieux que les autres étant donné que Dwayne Johnson reprenait les choses en mains, mais il n’a pas été à la hauteur, et ça me fais mal de dire ça sachant que j’apprécie cet acteur. Mais franchement, ce film ne vaut vraiment pas la peine. Comme dans tous les films DC, il y a trop d’effets spéciaux, trop de combats inutiles, et surtout, trop de ralentis ! Les musiques sont encore une fois nuls et complètement décalés par rapport au combat ou à la scène qui se déroule, et même si certains acteurs ne sont pas mauvais, on ne s’attache absolument à aucun personnage. Ensuite, j’ai vraiment eu l’impression de regarder un Justice Ligue un peu bizarre. J’ai eu l’impression que DC s’est dit que ce qui n’allait pas dans Justice Ligue était le fait que ce soit des héros connus comme Batman, Superman, Wonder Woman, Flash, Aquaman… mais ils n’ont pas compris que ça ne venait pas des personnages, mais du scénario. Ici, ils nous offrent un autre film comme Justice Ligue, avec de nouveaux héros qui m’ont encore une fois fait pensé à de très pâles copies des super-héros du MCU. Comme dans tous les films du DCU, l’énorme budget est encore passé dans les acteurs et les effets spéciaux. En regardant ce film, j’ai repensé à mon visionnement de Thor 4, l’un des seuls films Marvel qui m’a vraiment déçu avec Les Éternels. Alors j’attends vraiment la sortie de The Batman 2 prévue en 2025 pour que le DCU remonte dans mon estime car a chaque fois que je regarde un film de DC, cet univers ne fait que descendre…
Si j’ai un conseil à vous donner, ne perdez pas votre temps devant ce film. Il n’y a aucun scénario, aucun attachement aux personnages, et même la scène post-générique n’est pas super.
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Car oui, le retour de Henry Cavill en Superman, tout le monde s’y attendait.


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date : 12-11-2022
Mon premier film de David O’Russell et je dois dire que j’ai adoré. Je voulais voir ce film pour le synopsis mais aussi pour le casting incroyable. Christian Bale est encore une fois incroyable dans le rôle de Burt, Margot Robbie est resplendissante en tant que Valérie, et John David Washington est encore une fois parfait pour Harold. J’ai bien aimé retrouver aussi Robert De Niro, Rami Malek, Anya Taylor Joy, Zoe Saldaña, et évidemment, Taylor Swift, même si ce n’est qu’un rôle secondaire.
L’intrigue est très intéressante et l’histoire en elle-même est géniale. J’ai adoré découvrir cette amitié d’abord entre Burt et Harold, puis entre Burt, Harold et Valérie. Les trois meilleurs amis, rencontrés dans des circonstances de guerre, vont vivres leurs plus belles années durant l’entre de guerre, les années folles, à Amsterdam. Ils voudraient vivre de manière insouciante toute leur vie jusqu’à ce que Burt décide de partir pour retrouver sa femme, qui évidemment, ne l’aime pas, puisqu’elle l’a envoyé sur le front.
J’ai bien aimé le concept de commencer aujourd’hui, avec Burt qui retrouve Harold pour cette affaire de meurtre, puis le flashback sur leur rencontre. Taylor Swift n’a pas un très grand rôle mais son personnage reste tout de même important. Ensuite, je dois dire que j’ai trouvé les retrouvailles entre les meilleurs amis touchante, étant donné les douze années qui s’étaient passés sans nouvelles de Valérie. On découvre alors sa réelle identité et son frère, interprété par Rami Malek. C’est à partir de là que l’action commence vraiment.
La rencontre entre les trois amis et le général est cruciale. C’est à ce moment que l’on comprend l’intrigue du film, avec la montée du nazisme en Allemagne et du fachisme en Italie.
J’ai bien aimé la monté en puissance qu’il y avait dans le film, les différents personnages, actions, décors, et musiques du film.
Lorsque le moment crucial arrive, lors du discours du général, on sent le stress monter, et l’importance du discours à un moment comme celui-ci. Finalement, quand la tentative d’assasinat échoue, on voit bien que le général ne perd pas son sang froid. Il est habitué aux menaces, et préfère mourir en défendant son pays plutôt que dans sa maison avec son chien. La scène qui suit est incroyable, avec les différents plans sur le visage de Burt, qui s’est fait tiré dessus mais qui ne ressens rien, et qui nous raconte ce qu’il se passe. Les différentes actions de cette scène et le moment où Valérie pense à tirer sur son frère et sa femme apportent vraiment quelque chose à ce moment.
La fin m’a un peu fait de la peine, avec Harold et Valérie qui partent en bateau, laissant derrière eux un Burt qui aurait affreusement envie de les suivre, mais qui se retient. Et ça m’a un peu brisé le cœur de voir les deux options qui se présentaient à lui, et celle qu’il a finalement choisi.
Avec une fin comme celle-ci, j’attends vraiment une suite, et j’espère qu’elle sera aussi bonne que ce premier volet. Amsterdam est un film vraiment incroyable, je le reverrai sans aucun soucis.

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date : 06-11-2022
Ayant trouvé le premier film excellent, j’attendais cette suite avec beaucoup d’impatience. Je dois dire que je ne suis absolument pas déçue par cette suite !
Je trouve le personnage d’Enola très intéressant et j’ai adoré la retrouver dans ce film. Le casting est encore une fois parfait avec Millie Bobby Brown dans le rôle principal, Henry Cavill endossant le célèbre Sherlock Holmes, et Louis Partridge pour le merveilleux Lord Tewksbury.
Avec la fin du premier volet, je m’attendais à un deuxième film incroyable. Et effectivement, ce film nous en offre plein la vue.
L’histoire est très intéressante, avec la première vraie affaire d’Enola. L’aide de son frère Sherlock lui est précieuse même si elle ne veut pas être dans son ombre éternellement. Elle veut montrer qu’elle, Enola Holmes, en tant que femme et détective professionnel, peut résoudre une affaire seule, et aussi bien que Sherlock.
Quelques évidences de l’affaire m’ont sautés aux yeux, bien que d’autres, apportées par Enola, m’ont surprises. Même si certaines évidences pour moi ne l’étaient pas forcément pour notre jeune détective, j’ai adoré la suivre durant cette aventure et la voir chercher, puis trouver, et mettre les évidences ensemble afin de trouver d’abord la victime, puis le criminel.
Quand l’affaire est résolue, le film n’est pas fini, car une autre arrive. Tout ce qui était comme évident devient suspect et inversement. C’est le cas pour les différentes rencontres d’Enola.
J’ai adoré retrouver mon cher Lord Tewksbury… Depuis le premier film, je l’adore, et j’aime le voir avec Enola. Alors même si dans ce film il est devenu Lord, et qu’Enola préfère résoudre ses affaires plutôt que chercher à comprendre ses sentiments, sa mère lui rappelle ce qu’elle ressent pour lui, et à partir de ce moment, j’ai eu le sourire à chaque fois que je les voyais ensemble.
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quand ils dansent ensemble dans la salle de bain, quand il lui dit qu’il l’aime, qu’elle lui dit aussi, et quand ils s’embrassent… j’ai adoré tout ces moments

L’affaire d’Enola n’était vraiment pas facile, et je dois dire que celle de Sherlock non plus, puisque évidemment, elles sont étroitement liées.
Je m’attendais à retrouver Sam Claflin dans son rôle de Microft, mais il n’aurait effectivement pas eu un grand rôle dans ce film. En tout cas, j’ai été très heureuse de retrouver Helena Boham Carter dans son rôle, et tous les autres acteurs.
Ce film, tout comme le premier, m’a enchanté, et j’ai passé un merveilleux moment avec Enola Holmes. Ce que j’aime vraiment dans ces films, plus que la musique, les costumes, les décors ou les acteurs, c’est vraiment les intrigues et le fait que nous réfléchissions avec l’héroïne, nous résolvons un peu l’affaire avec elle.
Je reverrai ce second volet avec plaisir, et j’ai comme l’impression qu’un troisième film ne sera pas de trop… En tout cas j’espère sincèrement retrouver notre chère détective dans une nouvelle aventure !

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Ce film devient l’un de mes nouveaux films préférés. Les images sont impressionnantes et l'immersion est totale. Le roman de Erich Maria Remarque est bien adapté avec une réalisation nerveuse et des acteurs très impliqués dans leur role. Dans ce film, on assiste à la Première Guerre Mondiale à travers le regard d’un soldat allemand, Paul Baümer, qui nous offre une plongée éprouvante dans l’horreur des tranchées.
La mort n’a rien d’héroïque et la guerre n’est pas un spectacle, mais bien un enfer dont le réalisateur Edward Berger montre tout la monstruosité.
Le film s’ouvre sur des images d’un paysage de campagne à l’aube. Alors que la caméra traverse un nuage, nous sommes plongés dans la guerre, avec un tableau cauchemardesque composé de boue, de morceaux de métal et de nombreux corps inertes qui jonchent le sol gelé. Le silence est soudain brisé par une rafale de mitrailleuse.
Au tout début du film, nous suivons un jeune soldat allemand, Heinrich, lors d’un énième assaut, qui meurt comme de nombreux de ses camarades. Nous suivons alors son uniforme qui est lavé, raccommodé, puis remis en service, jusqu’à arriver entre les mains de Paul Baümer, un jeune homme qui s’est engagé en pensant qu’aller à la guerre était le plus grand honneur possible. Envoyé sur le front de l’ouest, il découvre avec effroi un empire de l’horreur, où les hommes hurlent, s’entre-tuent et meurent pour garder des lignes qui ne bougent presque pas.
La guerre est particulièrement bien dépeinte dans ce film. On passe de la tension nerveuse des tranchées et des combats à des visions naturalistes et des moments de répit, où la mort plane toujours comme une lourde chape au dessus des soldats.
Durant ce film, je me suis attachée à chaque personnages, et surtout à Paul et à son groupe d’ami qui s’est habitué au chaos de la guerre. Je dois dire que j’ai trouvé l’amitié entre Paul et Kat poignante, ainsi que celle avec tous ses amis morts au combat.
J’ai trouvé Felix Kammerer aussi bouleversant qu’épatant dans le rôle de Paul. Pour son premier rôle, il nous a démontré un talent majestueux qui retranscrit les horreurs de la guerre, autant du côté allemand que français, avec le désarroi du héros, sa mélancolie, son désespoir, puis sa robotisation à la guerre et au combat.
Globalement, À l’Ouest rien de nouveau donne une puissance visuelle, émotionnelle et symbolique à la Première Guerre Mondiale.
Je dois bien avouer que la fin m’a brisé le cœur. Un dernier assaut est lancé a 10h45, 15 minutes avant la fin de la guerre a 11h. On sent toute la tension monter à l’écran, avec Paul qui est devenu une machine de guerre. Si tous les combats sont magistraux, le dernier est en plus très émouvant. Allemands et français se bâtent jusqu’à la dernière minute. Dernière minute d’ailleurs fatale pour le héros de ce film…
Je ne cache pas que j’ai pleuré pendant cette dernière scène, et j’ai été extrêmement touché par Paul.
A l’Ouest rien de nouveau est un excellent film qui nous offre des scènes incroyablement effroyables mais nécessaires, avec une pression qui monte à chaque assaut, et a chaque mort. J’espère sincèrement qu’il remportera au moins un oscar, car il le mérite vraiment.

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date : 30-10-2022
Globalement, c’est un bon film sur un sujet très intéressant. J’ai bien aimé me plonger dans ce monde de hackers, avec des acteurs fantastiques comme Benedict Cumberbatch et Daniel Brühl.
Même si j’ai trouvé l’intrigue très intéressante et l’histoire bien menée par une main de mettre par les deux acteurs principaux, j’ai trouvé que ce film était long. On y retrouve beaucoup de scènes intéressantes, et l’arrière décor du gouvernement.
J’ai bien aimer me plonger dans cet univers de WikiLeaks, et même si je ne connaissais pas trop l’histoire avant de regarder ce film, j’ai trouvé très intéressant d’en avoir fait un film. Cela m’a permis de découvrir ce qui s’est passé et pour ça, je dois dire que j’ai bien aimé.
Alors même si le film comporte des longueurs et qu’on se demande quand il va se terminer, il reste bon parce qu’il parle d’un sujet que je trouve très intéressant et pas assez abordé.
En bref, le cinquième pouvoir est un film original qui nous parle de WikiLeaks et de hackers, porté par des acteurs incroyablement magistraux.

Vu en VO
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date : 28-10-2022
Un bon film d’espionnage au cœur de la seconde guerre mondiale. Si j’avais trouvé l’idée intéressante au début, je dois avouer que ce film est bon. Il est bon au niveau de l’histoire en elle-même, mais contient de nombreuses longueurs. Toute la première partie du film dure une bonne heure et demie et la partie la plus intéressante est trop courte à mon goût. Les acteurs sont bons, mais pas non plus excellent. Je dis ça peut-être aussi parce que j’ai vu ce film en français, et je n’ai plus vraiment l’habitude… En tout cas, l’intrigue est bonne, et je trouve ça bien de commencer par la fin, mais sincèrement, j’ai regardé l’heure à plusieurs reprises pendant le film… Alors je l’ai regardé jusqu’au bout parce que la fin m’intéressait et parce que c’est un film sur la Seconde Guerre mondiale. En tout cas, pour une fois, ce film n’est jamais entre-coupé d’action, c’est peut-être aussi pour ça que je l’ai trouvé un peu long.
Pour conclure, je dirai que c’est un bon film, avec de bon acteurs et une bonne intrigue, mais qui mériterai de se focaliser d’avantage sur la deuxième partie. Je ne le reverrai pas forcément, ou alors en VO histoire de voir si je trouve ce film encore trop long.
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En tant que Directionner, j’ai juste adoré ce reportage ! Grâce à ce film, on découvre nos 5 membres préférés Harry, Louis, Niall, Zayn, et Liam sous un autre visage, on apprend à mieux les connaître. Tous les messages qu’ils font passer par leurs musiques sont incroyablement beaux. Même si je les ai découvert trop tard, je les aime infiniment et je ne saurais exprimer à quel point ils comptent tous autant les uns que les autres pour moi.
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