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Deux ans après l'apparition des premières mutations de l'homme vers l'animal, la société s’adapte, prend en charge et tente de soigner ses “créatures”. C’est le cas de Lana, la mère d’Emilie, qui va bientôt intégrer un centre spécialisé, en périphérie d’une petite ville sans histoire. Pour rester auprès d’elle, Emilie et son père François déménagent en attendant son transfert. Mais le convoi a un accident, et les créatures se dispersent dans la nature…
On a une super intrigue, on est à fond dedans, et puis la fin 🧍 Aucune résolution, elle nous laisse une impression qu'on à juste perdue notre temps à regarder ce film. Spoiler(cliquez pour révéler)et le moment où le perso principal retrouve sa mère était chiant à mourir 🤡
On avait vraiment une super idée, mais l'histoire est partie en couille et vraiment j'ai limite envie de la réécrire 🧍
N'empêche que les acteurs ont très bien joué, et les images étaient tout aussi bien.
Mais bref, ce film avait du potentiel c'est dommage, heureusement que je ne l'ai pas vu au cinéma prcq sinon j'aurais voulu être remboursé.
(on sait même pas si il va y avoir une suite, mais si il en a une je pense que j'essaierai de la voir quand même car je veux des réponses sur quelques éléments 😭)
Un film magnifiquement réalisé. Romain Duris est bouleversant. J'ai adoré ce film de belle qualité et original de par le sujet et le traitement. Superbe !
C'est du fantastique mais réaliste, il y a des passages où je me suis pas sentie bien ça se rapprochait de la tension d'un film d'horreur. Heureusement il y a aussi quelques belles scènes plus joyeuses mais dans l'ensemble c'est bien sombre. La scène de la traque est incroyable. Romain Duris est excellent. L'ado je suis partagé car au niveau jeu physique il est bon mais quand il parle ça passe beaucoup moins bien, après il joue un ado donc c'est sûrement voulu mais à côté de Romain Duris ça faisait une différence de niveau un peu trop flagrante lors des dialogues. J'ai failli pleurer à un moment, franchement ce film m'a marqué mais je ne pense pas que je le reverrai. Trop d'angoisse pour moi !
Une claque cinématographique ! D'abord visuellement, la plupart des scènes se déroulent dans un décor naturel vraiment sublime, mais les prothèses porter par les acteurs rendent les images magnifiques et bluffantes. Le duo que forment Romain Duris et Paul Kircher est sublime. Mais aussi philosophique. Les questions soulevées par le scénario ne relèvent pas seulement de la science-fiction, elles concernent également l'actualité, concernant l'acceptation des différences, les changements sociaux, la modification corporelle, le retour à la nature, la perte d’un être cher ou les relations aux autres. Les effets spéciaux et les prises de vue nous font prendre parti pour les animaux. On s'attache à leur survie et on se questionne sur leur avenir. C'est une fable extraordinaire qui nous retourne complètement !
Après avoir manqué la diffusion du film au cinéma à sa sortie, j'ai été ravie de le retrouver dans la sélection du festival cinéma Télérama. Un vrai petit bijou, la majorité des scènes se déroulent dans des écrins de nature magnifiques.
On alterne entre les questionnements adolescents classiques sur la modification corporelle, les relations aux autres (amis, parents,...) et la tension initiée par une situation inédite où plusieurs avis s'opposent. Faut-il privilégier la cohabitation ou le naturel plus sauvage ou bien éliminer la nouveauté jugée comme bizarre ?
Une belle façon d'aborder l'altérité par une fable fantastique où les métamorphoses successives se déroulent nous plongeant au fur et à mesure dans l'univers.
Cette progression je l'ai aussi vécue au cours du visionnage, en prenant peu à peu partie pour les créatures alors que j'avais du mal à accrocher au début.
Je suis rentré directement dans le film et j’ai surkiffé, parce que c’est bien plus facile dans ces conditions…
J’ai tout de suite accepté l’existence des créatures et les ai trouvés d’autant mieux faites tout au long du film, un mélange très réussi d’humain et d’animal, d’effets spéciaux et de maquillage.
J’ai tout de suite accroché à la relation père-fils et j’ai donc accepté d’un bout à l’autre le gamin qui se force à obéir à son père, qui subit les changements, les émotions du père paternaliste et protecteur. Et j’ai trouvé le jeu très subtil de l’un et de l’autre, la précision de Paul Kircher et la justesse de Duris.
J’ai bien aimé Adèle Exarchopoulos même si son rôle n’est pas hyper intéressant et Tom Mercier, épatant…
Enfin, si ce film est beau avec ses paysages de forêts, il parle avec intelligence de beaucoup de chose ! Le retour à la nature, l’acceptation de l’autre, le rejet des différence, la difficulté de se faire accepter, la relation père-fils, les premiers émois, la perte d’un être cher…
Voilà un métrage français qui réussit une fois de plus son pari, qui s’attelle à un genre dans lequel il n’est pourtant pas à l’aise, mais qui le fait brillamment ici, nous plongeant dans une fable fantastique extraordinaire, d’un lyrisme et d’une beauté absolument saisissants, qui ne peut laisser clairement indifférent. Nous allons nous immerger dans un univers certes, imaginaire, mais qui paraît extrêmement réaliste, au cœur de notre pays, un pays qui a vu l’émergence d’une nouvelle maladie, des mutations qui touchent au hasard, pour vous transformer peu à peu en animal, retrouver l’instinct sauvage, notre stade le plus primitif possible. Comme un pied de nez de l’environnement que nous avons longtemps maltraité, comme si notre propre planète se retournait contre nous, nous faisant vivre les propres souffrances que nous lui avons infligées, alors, est-ce pour autant une punition ou peut-être une seconde chance, celle de s’adapter à un nouveau monde, d’y vivre en totale alchimie. Alors, à travers ce bouleversement immense, ce sont des sujets forts qui seront proposés, qui mettent sous le microscope ce dont l’Homme est capable, méprisant toujours plus ce qu’il ne connait pas, l’intolérance dont il fait preuve au quotidien, même si la peur est une émotion normale, il faut apprendre à l’appréhender, plutôt qu’à la rejeter, à crier aux monstres, plutôt que de les apprivoiser, à les cacher, plutôt qu’à tenter de vivre simplement ensemble. La réalisation de Thomas Cailley est absolument magistrale, somptueuse, sublime, il n’y a pas de mot plus fort, face à son travail, une œuvre d’art à part entière, il maîtrise son sujet et nous plonge dans cet environnement foisonnant, qui sature nos sens, qui explose à tout point de vue. Visuellement, c’est un véritable tableau, les couleurs de la nature, toute la vie qui en ressort, les sons, on a presque la sensation d’en sentir les odeurs également, c’est un véritable cocon qui fourmille à chaque instant, qui nous offre la beauté la plus pure, la plus naturelle et qui nous livre un spectacle simplement bouleversant. En ce qui concerne le scénario, là encore, il se dégage par sa maîtrise, par son excellence, par son originalité bien sûr, en aucun cas, on cherchera à percer le mystère de ces mutations, là n’est pas le but premier de ce récit, il est avant tout riche d’humanité, dans ses plus beaux instants, autant que dans les plus terribles. C’est une histoire d’amour extraordinaire, celui d’un père dans l’acceptation la plus totale, celui d’un mari aussi, d’une mère, qui reconnaîtra son enfant envers et contre tout, mais aussi celui d’un fils, qui peut compter sur ses piliers pour traverser le pire, une famille entière au cœur de ce tourment, mais dont l’espoir, la tolérance viendra faire valser tous les préjugés du monde. Quant au casting, il est d’une force extraordinaire, Romain Duris est d’une efficacité redoutable, bien que je ne sois pas spécialement fan d’Adèle Exarchopoulos, elle fait un second rôle convaincant, mais c’est Paul Kircher qui livre une performance absolument magistrale.
En bref : Un film fantastique d’une beauté à couper le souffle, une fable d’une intensité extraordinaire, sublime à tous points de vue, elle nous livre un spectacle d’une puissance saisissante, nous plongeant au cœur d’une nature plus sauvage que jamais, dans laquelle nous avons une place primordiale, retrouvant notre instinct le plus primitif, un véritable tableau aux mille couleurs et sensations, qui nous fait partager un récit absolument bouleversant, une histoire d’amour aux multiples visages, dans l’acceptation la plus pure !
Avis complet sur le blog : https://vampiloufaitsoncinma.com/2023/11/16/le-regne-animal/
Synopsis
Deux ans après l'apparition des premières mutations de l'homme vers l'animal, la société s’adapte, prend en charge et tente de soigner ses “créatures”. C’est le cas de Lana, la mère d’Emilie, qui va bientôt intégrer un centre spécialisé, en périphérie d’une petite ville sans histoire. Pour rester auprès d’elle, Emilie et son père François déménagent en attendant son transfert. Mais le convoi a un accident, et les créatures se dispersent dans la nature…
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