Michael Bay a encore fait du bon travail... au niveau des explosions. Après, au niveau du scénario, il faut accepter que la légende arthurienne se mélange aux Transformers, que Merlin devienne un pochtron incapable, qu'on perde encore du temps à développer l'histoire de Yeager et des Transformers planqué, qu'on se trouve une gamine de seize ans aux fringues ultra-moulantes pour courir pendant qu'on a une vue sur son décolleté (malsain quand même sur le coup) et que l'univers de Cybertron soit encore survolé... le tout avec encore une défaite de Mégatron.
C'est efficace, et c'est tout ce qu'on pouvait demander.

Luc Besson ne cesse de m'intriguer, toujours touche à tout et jamais dans le même genre d'un film à l'autre et pour celui-là, on va dans un univers tellement riche que j'y ai trouvé mon compte sans problème.
Les univers développées sont travaillés, tout comme les espèces qu'on croise tout le long de l'aventure. Si on pouvait avoir cette qualité dans tous les films qui se passent dans l'espace, je suis preneur.
L'histoire est sympa et les personnages intéressants même si j'aurais volontiers vu d'autres acteurs que ces deux là dans ce genre de rôle.
Pas le meilleur de la filmographie de Besson, mais clairement dans le peloton de tête.

Il y a des MARVEL qui se laissent regarder, d'autres qui sont bons et on a Black Panther qui non content d'être le meilleur (selon moi) du MCU pour le moment, propose plein de nouveautés, un univers très développée bien plus intéressant que les sempiternels Etats-Unis attaquées par le reste de l'Univers.
On change enfin de continent et en plus, on ne s'intéresse pas uniquement au Black Panther du film mais à son origine, son histoire, la manière dont il le devient, son royaume, les différents peuples qui le compose, le tout en réussissant à donner une importance aux proches de T'challa.
On a donc dans un MARVEL des personnages développées en un seul film, sur un nouveau continent et avec enfin un rôle intéressant donné aux femmes (Natacha se sentira moins seule comme ça). Et non content d'avoir des combattantes, la soeur de T'challa est une scientifique de génie. Merci Ryan Coogler d'avoir enfin donné un rôle intéressant à des femmes, autre que celui habituel de cogneuse en tenue de cuir ultra-moulante.
L'histoire est riche en découverte, le Wakanda est bien développé, l'ensemble marche bien, j'ai hâte de voir un Black Panther 2.

C'est clairement pas bon à cause d'un scénario très faible, de personnages déjà vus, de moments qu'on voit venir à des kilomètres et un développement du tout qui ne marche pas.
Le pauvre Stellan Skasgard fait ce qu'il peut, en père Merrine jeune, ça pouvait marcher mais il aurait fallu une histoire qui va. Là, avec l'histoire du prêtre qui a perdu la foi à cause des horreurs de la guerre mais la retrouve miraculeusement quand il en a besoin, c'est déjà pas terrible mais avec les "surprises" qu'on voit venir à des kilomètres, ça ne pouvait que se planter. Qui n'a pas déjà pensé dés le début que la personne possédée n'allait pas être celle qu'on nous présentait depuis le début?
Quant à Pazuzu, toujours rien sur lui. C'est bien de vouloir retourner au origines du Mal mais il ne fallait pas rester à la porte. Un petit aperçu de ce qui s'est passé pour en arriver aux évènements du film et c'est tout. Tout ce temps perdu pour une possession et un personnage principal qu'on a déjà croisé dans tous les autres films du même genre.
A voir pour Stellan Skasgard, sinon, passez votre chemin, c'est pas ici que vous trouverez un semblant de peur.

Thor: Ragnarok aura le mérite d'avoir réussi à ajouter des Avengers sans oublier les personnages principaux, comme ce fut le cas dans Captain America: Civil war. Hulk est là pour faire du Hulk, comme d'habitude mais celui qui m'a intrigué, c'est Dr Strange. Si de prime abord, il ne semble être là que pour guider Thor à son père, je me suis demandé comment Odin et Strange se sont rencontrés et pourquoi il a accepté d'aider Odin. Un lien avec les futurs évènements d'avengers: Infinity war ou un besoin de développer les pouvoirs divins de Thor pour gagner contre Thanos?
Le conflit développé entre Thor, Loki et Hela, est bien décrit, il prend son temps pour arriver à cause du temps perdu (pour le moment) chez le Collectionneur mais le rendu final est à la hauteur de l'attente.
C'est drôle, ça développe bien l'univers de Thor, des Avengers et de leur conflit à venir et ça donne un potentiel intéressant au peuple d'Asgard.
Un très bon Marvel.

Je m'attendais à une histoire de fantôme qui hante une maison comme on en voit des dizaines par an mais pas de film de ce genre ici.
L'histoire de Loc, homme qui débarque de nulle part et qui va emménager à côté d'une femme qui vit seule dans un coin perdu est racontée d'une manière qui déboussole les habitués du genre. Le film prend son temps pour développer l'histoire, qui va évoluer autour de Loc qui va avoir trois histoires en une. Du coup, on suit son histoire et on le voit évoluer dans le temps jusqu'à la révélation finale.
Le cinéma "fantomatique" asiatique est déconcertant la première fois mais la manière de raconter et le temps pris pour développer les choses est intéressant à suivre.
Je conseille à tout curieux d'un cinéma différent.

Après le Beowulf avec Christophe Lambert et celui de Robert Zemeckis, je n'attendais pas grand chose de ce film mais il faut croire que dés que qu'un réalisateur du Nord (Islande) s'y met, c'est tout de suite un peu mieux. Point de magie ici, juste des personnages qui vont devoir se battre contre une vengeance venue du passé. Et le monstre n'est pas si monstrueux que ça, ce qui donne à Beowulf et son adversaire une humanité qui n'est pas encore légende.
A voir pour comparer avec les deux autres.

J'avais pas apprécié le premier, je n'attendais pas beaucoup mieux du second et je n'ai pas été déçu. Les blagues ne volent pas haut et ont déjà été entendus partout ailleurs.
Il y a du travail, des références sympa à retrouver par-ci par là mais l'ensemble est lourd.

D'habitude, je suis assez client de ce genre de film mais là, j'ai vraiment tout trouvé d'une lourdeur et d'une lenteur qui m'a donné envie de ne pas continuer jusqu'au bout.
Est-ce parce que je continue de voir Jean Dujardin derrière chacun de ses rôles? Probablement. J'aimerais tellement le voir s'essayer à des rôles plus exigeants, des histoires plus fortes pour voir s'il est capable de mieux que tout ce que j'ai pu voir de sa filmographie jusqu'à présent.
Je reconnais des qualités au film mais c'est clairement pas ma came sur ce coup

Un film qui ne laisse pas indifférent, un peu simple parfois mais tellement humain dans le fond que c'est bon tout de même.
Pascal Duquenne est vraiment bon dans son rôle et c'est bien dommage que les personnes handicapées n'apparaissent pas un peu plus dans le cinéma d'aujourd'hui.
Daniel Auteuil est bon aussi même si j'ai trouvé que son personnage acceptait un peu trop vite Georges. Mais entre lui et ses enfants qu'il ne voit plus, c'est acceptable.
Un bon film!

L'idée de départ est sympa, le côté éloquence tout le long du film, le choc entre la jeune banlieusarde et le prof de haute école marche plutôt bien donc dans l'ensemble, j'ai plutôt apprécié... jusqu'à ce que la jeune étudiante sauve son prof alors qu'elle sait pourquoi il a fait tout ça. D'accord, elle a beaucoup appris grâce à lui, elle a trouvé une force qui lui a permis de continuer et de devenir avocate mais il ne fait pas être rancunier.
A part ce point de détail, c'est un film qui marche plutôt bien et une bonne surprise pour un film français.

Oublions un instant l'ombre énorme projetée par les Studios Ghibli et voyons ce que Mr Yonebayashi a réussi à faire pour un premier dans ses nouveaux studios.
Le niveau des dessins est vraiment bon, à la fois simple dans l'ensemble mais parfois vraiment travaillés.
Lhistoire manque de profondeur, surtout dans le pouvoir de Mary et dans l'explication finale du personnage du début. En fait, 1h38, c'est vraiment trop court pour un film pareil.
Après, quand on suivi toutes les oeuvres des studios Ghibli, on ne peut s'empêcher de comparer et de trouver beaucoup de ressemblances et c'est bien dommage car le film reste agréable à voir tout de même.
Laissons la chance aux studios Ponoc de se détacher des studios Ghibli. Pour ma part, je guette déjà les prochains projets.

Robert Rodriguez, c'est toujours barré mais là, ça monte encore en gamme. Le problème, c'est que ça promettait déjà du grand n'importe quoi dés le début alors que le troisième film n'est pas encore sorti et je reste donc sur ma faim.
Après le côté n'importe quoi décomplexé reste maîtrisé et les références à d'autres films agréable à (re)découvrir.

Il est rare qu'une saga arrive encore à proposer des choses intéressantes après trois volets mais Insidious: La dernière clé, quatrième volet, arrive à proposer une histoire originale qui donne enfin une plus grande profondeur au personnage de Lise mais également une famille qui lui manquait, le tout avec un démon intéressant.
L'histoire est très bien construite, avance bien et si l'histoire du sifflet que la mère avait donné à son fils avait été mené jusqu'au bout, j'aurais encore mieux apprécié l'histoire, surtout si Lise avait dû se lier avec sa mère et sa nièce pour arriver à vaincre.
Une très bonne histoire donc qui donne toute son importance au personnage de Lise. Reste à voir un éventuel cinquième volet pour développer son histoire avec son mari et je serais comblé.

Second volet de la nouvelle trilogie et pour le moment, j'ai peur que le troisième soit un peu court pour tout expliquer, que ce soit sur le fameux pouvoir de Kylo Ren qui fait tant peur à Luke, celui de Rey qui se développe très vite, trop peut être pour ne pas voir un final qui changera beaucoup de choses, Luke qui disparaît à la fin de son combat contre son ancien apprenti et Leïa qui est encore là sans raison vraiment apparente.
Pour moi, l'importance de l'histoire se joue entre ces quatre là parce que les autres, je vois déjà à peu près quel pourrait être leur rôle dans l'avenir. Sauf Finn, ,je vois toujours pas à quoi il sert. J'espère qu'il aura une importance dans l'épisode suivant parce que, pour le moment, je vois vraiment pas ce qu'il peut apporter aux forces Rebelles.
Après, le film en lui-même est pas mal, l'humour ne marche pas toujours mais passons, les endroits "visités" proposent des univers intéressants, que ce soit la retraite de Luke (ses habitants, l'Arbre où se trouvent les livres ou les endroits où Rey ressent plus intensément la Force) ou Canto-Bight (Le casino, le champ de course et tous l'esclavage montré et les esclaves plein d'espoir après le passage de Rose) et les différents combats sont bien menés. La fin laisse présager beaucoup de bonnes choses, espérons qu'ils arrivent à boucler l'histoire de manière satisfaisante pour laisser une importance à tous le monde.

Tim Allen, Sigourney Weaver (habituée de l'espace) et Alan Rickman ensemble, ça me suffit pour me tenter de regarder cette comédie et au final, même si les films de Dean Parisot ne volent jamais bien haut, j'ai trouvé l'idée originale et l'ensemble acceptable. Ce n'est pas toujours drôle, certaines blagues ne fonctionnent pas mais les personnages ont tous une personnalité qui fait qu'on reste quand même, histoire de voir où tout ça va nous mener.

J'ai entraperçu un potentiel au niveau de l'histoire qui aurait mérité d'être un peu plus développée mais c'est tout. Pour arriver à faire une histoire acceptable avec le matériau de base, la mythologie de cet univers, il aurait fallu beaucoup plus de temps que ça (et des acteurs un peu plus crédible dans leurs rôles). Pas de développement du Devilman, de Satan, des autres créatures, pourtant la base de l'oeuvre, ça donne forcément un film pas terrible et qui laisse tellement de question que soit on se plonge dans l'oeuvre originale pour comprendre la richesse du tout soit on laisse ce film être ce qu'il est, 1h52 de temps perdu pour pas grand chose.

Je m'attendais à quelque chose de beaucoup moins bien que ça. D'accord, ce n'est pas l'idée du siècle, on devine assez rapidement comment ça va évoluer, ce qui va arriver à chaque personnage mais contrairement à d'autres films du genre, ça tient plutôt bien l'ensemble et ça m'a donné envie de voir la version de 1958.

Ce film me laisse la bizarre impression d'être passé à côté de quelque chose malgré une histoire pourtant claire et simple, comme s'il me manquait des connaissances sur la culture coréenne ou que le début du film ne savait pas vraiment vers quoi aller.
Après, l'histoire se développe et les liens se tissent entre Namsoon et Sad Eyes malgré leurs oppositions permanentes parce que de deux clans différents et ça devient intéressant de suivre l'évolution des deux personnages jusqu'au dénouement.
Artistiquement pas mal dés qu'on entre dans le vif du sujet, c'est un plaisir de voir évoluer Ha Jiwon (Namsoon) et Gang Dongwon (Sad Eyes) ainsi que les autres acteurs dans cette belle histoire d'amour et de sabre.
Encore un film qui prouve que le cinéma coréen propose des films de qualité.

Le film proposait beaucoup de choses que je ne connaissais pas des techniques de l'époque, le Todd-ao pour ne citer que lui et c'est avec curiosité que j'ai regardé ce film.
Si l'histoire est classique mais prend part dans une époque rarement croisée dans une comédie musicale je n'ai eu qu'un seul regret au final, c'est que mon édition, pourtant collector, ne comprend pas la traduction en français des chansons.
Le spectateur qui ne parle pas anglais ou ne le comprend que très difficilement quand il est chanté, voire même qui est malentendant ne peut pas comprendre l'intégralité de l'histoire alors même que c'est les chansons qui portent toute la comédie.
Du coup, avec cette frustration présente du manque des traductions des chansons, je n'ai eu qu'à apprécier certains personnages, les danses parfois un peu trop longue, les paysages et les décors magnifiques qui font que ce film est une belle découverte de comédie musicale gâchée par un manque de traduction, alors même qu'ils avaient traduits les dialogues et les commentaires du réalisateur. Dommage pour ce défaut.

La bonhomie habituelle de Philippe Noiret et la gentillesse drôle de Michel Galabru sont oubliées le temps d'un film et ça prouve que ces deux acteurs étaient vraiment excellents, peu importe le rôle, pourvu que la qualité du scénario soit présente.
C'est un vrai plaisir de voir Galabru dans son rôle d'homme rude, violent qui tue sans raison et se trouve toujours des excuses, jouant les fous ou le malade devant son juge qui essaie de gagner sa confiance pour lui faire avouer ses crimes et le condamner au maximum de la peine encourue.
Bertrand Tavernier réussit un film noir avec deux acteurs en contre-emploi de ce que je leur connais d'habitude, c'est une réussite et une excellente découverte.

La fin de la trilogie est à la hauteur des deux premiers et même si j'ai eu un petit regret de ne pas voir plus les Juppongatana (les dix sabres), je comprends très bien qu'on ne pouvait pas caser tout le manga sans perdre en force dans l'histoire.
C'est certain qu'un quatrième volet aurait été bien pour développer encore plus la montée en puissance du clan de Makoto Shishio, la difficulté pour les forces de l'ordre de tenir le temps pour Kenshin de revenir et que toutes les parties arrivent à s'unir contre l'ennemi commun mais ça aurait commencé à être un peu trop long, selon moi, pour tenir le rythme de l'histoire.
Donc, il manque quelque chose quand on a adoré les mangas, mais il fallait tenir le rythme des deux premiers volets et c'est une réussite une fois encore.
C'est une trilogie qui rend tout à fait honneur à l'univers de Kenshin que je recommande vivement, surtout à ceux qui ne connaissent pas l'univers des mangas de Nobuhiro Watsuki, l'excellent travail d'adaptation de Keishi Otomo sur la trilogie mais surtout pour le travail de malade de tous les acteurs, surtout Takeru Sato (Kenshin), Tatsuya Fujiwara (Makoto Shishio), Yosuke Eguchi (Saito Hajime) et tous les autres qui ont travaillé pendant des jours et des jours pour ces scènes de combats magistrales.

La suite monte encore en puissance avec l'arrivée de Makoto Shishio et ses sbires et Kenshin va avoir fort à faire et beaucoup à souffrir avant de se mesurer à son adversaire.
On en découvre encore plus sur l'histoire avant l'histoire, ce qui s'est passé depuis que Kenshin a laissé son sabre, ce qui est advenu des autres combattants après l'avènement de la nouvelle ère et tout ce qui en découle depuis. Que ce soit Kenshin, Makoto Shishio, Aoshi et les siens, tout va se joindre pour un combat épique qui va changer beaucoup de choses.
Takeru Sato est toujours excellent dans son rôle et on sent très bien, non seulement l'entraînement qu'il a, mais également la fatigue qui s'installe de plus en plus. Les combats restent très bien chorégraphiés et rythmés mais il y a un tel réalisme dans la difficulté de Kenshin de se battre au fil du film, que j'ai ressenti un énorme respect pour les acteurs qui se sont donnés à fond pour leur rôle de combattant hors du commun.
Bref, c'est une excellente suite au premier, ça monte en tension et ça se termine sur une fin qui reste très ouverte sur un troisième opus qui ne peut qu'être magistral.

Fan du manga, ayant vu les trois animés et la série (les deux premiers coffrets du moins, j'accroche pas au troisième), j'avais peur de voir une énième mauvaise adaptation d'un manga et je suis très heureux du résultat.
D'une, Keishi Otomo a réussi à caser un maximum de détail des mangas pour présenter les personnages sans trop faire perdre le rythme de l'évolution du récit.
Deux, le casting va très, très bien, surtout l'excellente découverte qu'est Takeru Sato, juste parfait dans le rôle de Kenshin. Il allie à la fois une force sous-jacente et une innocence qui va très bien au personnage.
Et trois, les combats sont vraiment bien faits, à la fois restant dans la crédibilité des combats d'êtres humains normaux mais à une vitesse qui montre bien que ce n'est plus tout à fait des samouraïs de base.
Une des meilleures adaptations que j'ai pu voir d'un manga. Je recommande vivement la trilogie.

Les films américains sur les années 60, j'apprécie beaucoup en général mais je ne sais pas vraiment pourquoi je n'ai pas été plus intéressé par celui-là. Peut-être est-ce parce qu'il manque d'une énergie, un peu comme dans "Grease" pour entrer dans l'univers.
Pourtant, l'ensemble n'est pas mauvais, les acteurs sont bons, les musiques vont très bien et c'est bien de voir une période différente mais je n'ai pas réussi à rentrer dans la vie de ces personnages. Cela ressemble plus à un documentaire qu'à un film sur l'insouciance de jeunes qui sont loin de se douter de ce qui va arriver par la suite.
Je regrette presque qu'il n'y ait pas eu une suite pour voir l'évolution des personnages quelques années après, histoire de voir ce que les évènements futurs auraient changé dans leur vie.

Le mythe de l'Anneau du Nibelung en film, j'étais curieux de voir ce que ça allait donner malgré un visuel qui laissait entrevoir un film sans grand budget. Et au final, même si clairement, j'aurais aimé un truc à la hauteur du Seigneur des Anneaux, ça reste vraiment un bon film qui passe sans qu'on s'en rende vraiment compte (près de 3h tout de même).
La mythologie est bien développée, la musique, les décors, les costumes et les paysages choisis nous entraînent facilement dans cet univers et les acteurs sont plutôt convaincants dans leurs rôles.
Un très bon moment de film mythologique nordique!